Japon

Dimanche 29 octobre 2023
11:21 -

Coupe du monde : Eddie Jones démissionne de son poste de sélectionneur de l'Australie

Moins d'un an après sa nomination, et alors qu'il était censé redresser les Wallabies en vue de la Coupe du monde 2027 à domicile, l'ancien sélectionneur du Japon et de l'Angleterre a annoncé son départ. Lire la suite sur le figaro

10:19 -

Coupe du monde de rugby: Eddie Jones démissionne de son poste de sélectionneur de l'Australie, après le fiasco des Wallabies

Alors que l'Australie a vécu un énorme fiasco à la Coupe du monde, en se faisant sortir dès la phase de poules, son sélectionneur Eddie Jones, sans surprise, a quitté ses fonctions. Il devrait rebondir au Japon. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

03:00 -

Coupe du monde de rugby : Pieter-Steph du Toit, colosse au pays des hommes forts

Le troisième-ligne sud-africain, déjà décisif il y a quatre ans au Japon, a livré une performance titanesque lors de la finale remportée face aux All Blacks. Lire la suite sur le figaro

00:22 -

Rugby - Finale de la Coupe du monde. Et de quatre pour l'Afrique du Sud !

Lecture zen Un grand bonheur pour les Sprinkboks, champions du monde pour la quatrième fois de leur histoire. - AFP Après les couronnes planétaires de 1995, de 2007 et de 2019, l'Afrique du Sud s'installe sur le trône du rugby mondial en devenant l'équipe la plus titrée de la compétition. Devant les Néo-Zélandais, sacrés en 1987, 2011 et 2015. Les Boks n'ont d'ailleurs jamais perdu en finale de Mondial, ayant dominé -déjà- la Nouvelle-Zélande (15-12 ap) en 1995 puis l'Angleterre (15-6) en 2007 et encore (32-12) en 2019. Ils conservent également la Coupe Webb-Ellis, une première depuis… les All Blacks, auteurs du doublé 2011-2015. Loin des envolées lyriques des coéquipiers des légendes Dan Carter et Richie McCaw, considérés à l'époque comme la plus grande équipe All Black de l'histoire, les Springboks de 2019 et 2023 se sont appuyés sur le jeu au pied de leur ouvreur Handré Pollard (12 points), déjà décisif il y a quatre ans, pour aller chercher un nouveau sacre et se tailler une place éternelle au panthéon du rugby. Pour construire cette victoire mondiale, quatre ans après leur titre au Japon, les têtes pensantes des Boks Rassie Erasmus et Jacques Nienaber ont d'ailleurs pu compter sur ce qui fait leur force : un pack en titane, une conquête intraitable et, surtout, un banc aussi puissant que décisif. Les Sud Africains ont aussi bénéficié d'un brin de chance... Le troisième ligne Deon Fourie, qui peut aussi dépanner au poste de talonneur, éphémère joueur de Lyon et de Grenoble, a ainsi dû entrer en jeu au bout de quatre minutes pour remplacer le seul N.2 de l'effectif Bongi Mbonambi, touché à un genou. Avec succès puisqu'il a signé 21 plaquages, sept de moins que l'omniprésent Pieter-Steph du Toit. Puissance quatre La boule de démolition Ox Nche (52e) ou les colossaux RG Snyman (52e) et Kwagga Smith (60e) ont également jailli du banc pour apporter leur pierre à l'édifice de la nation arc-en-ciel, un temps ébranlée par les exclusions temporaires du capitaine Siya Kolisi (46e), futur joueur du Racing 92, et de l'ailier Cheslin Kolbe (73e), bourreau des Bleus en quart. Ils ont aussi, et surtout, su profiter de l'inhabituelle indiscipline néo-zélandaise, marquée par cinq pénalités concédées mais surtout le carton jaune pour le troisième ligne Shannon Frizell (3e) et celui, transformé en rouge par le bunker, récolté par le capitaine Sam Cane (34e). Redoutables de pragmatisme, les Springboks avaient clairement visé cette Coupe du monde en France, occultant le Rugby Championship. Et qu'importe la défaite face à l'Irlande (13-8), les Boks sont allés ch Lire la suite sur lest-eclair.fr

Samedi 28 octobre 2023
07:55 -

Coupe du monde de rugby : Nouvelle-Zélande – Afrique du Sud, une finale quatre étoiles

Lors de leur dernière confrontation en Coupe du monde, en 2019 au Japon, Beauden Barrett et les All Blacks s'étaient imposés 23-13 contre les futurs champions du monde. - AFPMis en ligne le 28/10/2023 à 07:55 Lecture zen Dans la nuit du Stade de France, il ne pourra en rester qu'un, samedi 28 octobre à Saint-Denis. Qui de l'Afrique Sud ou de la Nouvelle-Zélande va s'installer tout en haut à l'issue de la finale de la Coupe du monde 2023 ? Après sept semaines de compétition, Springboks et All Blacks, nº1 et nº2 du classement World Rugby, luttent donc pour un quatrième titre, un record. Consultez l'actualité en vidéo Les Blacks ont surmonté leur défaite initiale devant les Bleus (13-27), le 8 septembre, pour enchaîner avec un sans-faute, dont la victoire épique en quarts face à l'Irlande (28-24) et une démonstration aux dépens de l'Argentine (44-6) en demies. Un chemin de championne pour une équipe un temps au bord de l'explosion, désignée comme la formation néo-zélandaise la plus faible de l'histoire avant le début de l'épreuve et battue lourdement par sa rivale du soir (7-35) en préparation, en août à Londres. La Nouvelle-Zélande est le dernier pays à avoir brandi la coupe Webb-Ellis deux fois de suite Les Boks, eux, ont démarré leur campagne en dominant l'Écosse (18-3), perdant ensuite contre l'Irlande (8-13) et assommant la France (29-28) puis l'Angleterre (16-15). Quatre ans après leur triomphe, les Sud-Africains, véritables rouleaux compresseurs qui broient les adversaires, ont donc l'occasion de devenir la première nation à conserver la coupe Webb-Ellis depuis… la Nouvelle-Zélande. Nous nous sommes préparés aussi dur que possible, nous savons à quoi nous attendre : il n'y a rien de plus grand. Siya Kolisi, troisième ligne et capitaine de l'Afrique du Sud Mais l'enjeu est autre car c'est bien un quatrième trophée qui attend le vainqueur de cette finale XXL. Un duel au sommet aussi acharné qu'indécis après cinquante jours de tournoi au cours desquels sont tombés, tour à tour, les décevants Australiens, les talentueux Écossais, les hôtes français, les enthousiasmants Fidjiens, les cadors irlandais et enfin les surprenants Anglais. Sept avants sur le banc sud-africain Cette 10eédition va ainsi s'achever sur un classique, un choc de titans. « Nous nous sommes préparés aussi dur que possible, nous savons à quoi nous attendre : il n'y a rien de plus grand. C'est énorme », a assuré le troisième ligne et capitaine Siya Kolisi. Et l'ouvreur Francois « Faf » de Klerk d'abonder : « Ça veut dire beaucoup, notamment en raison de l'histoire entre les deux équipes, comme la finale de 1995. Le fait de pouvoir les affronter à nouveau rappelle beaucoup de souvenirs à beaucoup de gens au pays. » Nous sentons l'excitation monter. Nous essayons de contrôler nos émotions. Ian Foster, sélectionneur de la Nouvelle-Zélande Même son de cloche dans le camp d'en face. « Nous sentons l'excitation monter. Nous essayons de contrôler nos Lire la suite sur paris-normandie.fr

Vendredi 27 octobre 2023
23:10 -

Coupe du monde de rugby : l'Angleterre prend le bronze au forceps contre l'Argentine

Owen Farrell a inscrit quatre pénalités et deux transformations. - AFPMis en ligne le 27/10/2023 à 23:10 Lecture zen L'Angleterre, finaliste il y a quatreans au Japon, a pris la troisième place de la Coupe du monde de rugby en dominant dans la douleur l'Argentine (26-23), hier au stade de France. C'est la première fois que le XV de la Rose monte sur la troisième marche d'un Mondial. ARGENTINE – ANGLETERRE : 23-26 (10-16) LES POINTS – Argentine : 2 essais de Cubelli (36e), Carreras (42e) ; 3 pénalités de Boffelli (24e, 49e), Sanchez (68e) ; 2 transformations de Boffelli (37e, 44e). Angleterre : 2 essais de Earl (8e), Dan (45e) ; 4 pénalités de Farrell (3e, 13e, 30e, 65e) ; 2transformations de Farrell (9e, 46e). Coupe du monde de rugby : l'Angleterre prend le bronze au forceps contre l'Argentine L'Angleterre monte sur le podium d'une Coupe du monde pour la première fois de son histoire. Lire la suite sur paris-normandie.fr

23:07 -

Rugby: l'Angleterre bat l'Argentine et prend la troisième place du Mondial-2023

Lecture zen AFPL'Angleterre, finaliste il y a quatre ans au Japon, a pris la troisième place de la Coupe du monde de rugby en dominant dans la douleur l'Argentine (26-23) vendredi au stade de France. La finale du Mondial-2023 opposera ce samedi 28 octobre l'Afrique du Sud, tenante du titre, à la Nouvelle-Zélande. Consultez l'actualité en vidéo Mis en ligne le 27/10/2023 à 23:07Rugby: l'Angleterre bat l'Argentine et prend la troisième place du Mondial-2023 Le XV de la Rose s'est adjugé la troisième place de la Coupe du monde de rugby, battant difficilement l'Argentine au Stade de France, ce vendredi 27 octobre. Lire la suite sur lest-eclair.fr

23:06 -

CDM 2023 : L’Angleterre s’arrache et gagne la 3e place contre l’Argentine

Dans un duel riche en rebondissements, l’Angleterre a décroché une victoire (26-23) contre l’Argentine lors du match pour la troisième place de la Coupe du Monde, offrant ainsi au XV de la Rose sa première médaille de bronze dans l’histoire du tournoi, quatre ans après avoir perdu la finale au Japon. Le match a été […] Lire la suite sur sport.fr

10:56 -

Rugby - Coupe du Monde : les finalistes exposent leur plan

Même lutte, même combat pour les Sud-Africains de Siya Kolisi (à gauche) et les Néo-Zélandais de Sam Cane. Deux capitaines qui ne rêvent que d'une chose : soulever le trophée Webb Ellis samedi soir. - AFPMis en ligne le 27/10/2023 à 10:56 Lecture zen L'Afrique du Sud, qui affronte la Nouvelle-Zélande en finale de la Coupe du monde, ce samedi (21 heures) au Stade de France, a opté pour un banc avec sept avants. Le reste de la feuille de match est proche de l'équipe qui a battu l'Angleterre (16-15) en demi-finale, en dehors de la charnière formée par Handré Pollard à l'ouverture et Francois de Klerk à la mêlée. Au total, quatorze des vingt-trois joueurs appelés étaient déjà présents au stade ultime en 2019 au Japon contre l'Angleterre (32-12). Consultez l'actualité en vidéo Sur le banc, les Springboks ont décidé de placer les première ligne Deon Fournie, Ox Nche et Trevor Nyakane, les deuxième ligne Jean Kleyn et RG Snyman ainsi que les troisième ligne Kwagga Smith et Jasper Wiese. Le polyvalent trois-quarts Willie Le Roux, qui peut couvrir les postes d'arrière, d'ailier ou d'ouvreur, est le seul arrière suppléant. « Une équipe, ce n'est pas quinze titulaires et huit remplaçants. Une équipe, c'est vingt-trois joueurs. Nous l'avons toujours dit et, quand vous faites vos choix, plein de choses entrent en compte, sur le plan médical ou sur celui de l'analyse de la Nouvelle-Zélande », justifie le sélectionneur, Jacques Nienaber, qui n'a retenu ni le demi d'ouverture Immanuel « Manie » Libbok, ni le demi de mêlée Jacobus « Cobus » Reinach. « Prenez Vincent Koch (pilier droit) : il n'a pas pu s'entraîner lundi et on a une règle qui veut que, si on ne s'entraîne pas, on ne peut pas être sélectionné, donc c'est Trevor (Nyakane) qui entre dans le groupe. Mais il n'y a pas une grande différence de niveau entre les joueurs. » Double Enjeu pour Whitelock Boks ont déjà évolué avec un banc en 7-1, plutôt qu'un 6-2 ou un 5-3 plus traditionnels, à deux reprises : lors de la victoire sur les All Blacks (35-7) en match de préparation, le 25 août à Twickenham, et de la défaite devant l'Irlande (8-13) en phase de poules, le 23 septembre à Saint-Denis. Pour ce qui est des Néo-Zélandais, Brodie Retallick débutera la rencontre à la place de Sam Whitelock. Le deuxième ligne de 32 ans aux 108 sélections ne figurait pas dans la formation de départ la semaine passée lors de la demie facilement gagnée aux dépens des Argentins (44-6). À lire aussi Près de Dieppe, Fabien Galthié et Helena Noguerra photographiés nus sur la plage : le couple porte plainte Joueur le plus capé de l'histoire de son pays (152 sélections), Whitelock (35 ans) deviendra, s'il sort du banc face aux Sud-Africains, le premier rugbyman à avoir disputé trois finales mondiales. Il est sorti vainqueur des deux premières, en 2011 face aux Français (8-7) en Nouvelle-Zélande et en 2015 contre les Australiens (34-17) au Royaume-Uni. Il s'agit là du seul changement opéré Lire la suite sur paris-normandie.fr

Mardi 24 octobre 2023
17:36 -

Vingt-quatre nations disputeront la Coupe du monde de rugby en 2027

Lecture zen En attendant le changement de format dans quatre ans, l'Afrique du Sud défendra son titre mondial samedi contre la Nouvelle-Zélande. - AFPWorld Rugby a officialisé l'élargissement de la Coupe du monde, pour la porter de vingt à vingt-quatre équipes en 2027, ainsi que la création d'une nouvelle compétition biennale organisée, elle, dès 2026, lors des périodes dédiées habituellement aux tournées. À l'occasion du prochain Mondial, organisé du 1er octobre au 13 novembre 2027 en Australie, 24 équipes seront qualifiées et réparties en six poules de quatre avec, modification supplémentaire, l'introduction de huitièmes de finale. Depuis 2003, les vingt sélections qualifiées étaient réparties en quatre groupes de cinq, les deux premiers de chaque poule accédant directement aux quarts de finale. Dans quatre ans, la durée de la compétition sera par ailleurs réduite, passant de sept à six semaines. « Si nous voulons devenir un sport véritablement mondial, nous devons créer plus de pertinence, d'opportunités et de compétitivité pour attirer de nouveaux fans », a expliqué le président de World Rugby, Bill Beaumont, à quatre jours de la finale du Mondial-2023 entre la Nouvelle-Zélande et l'Afrique du Sud, samedi (21 heures) au Stade de France. Une Coupe des nations tous les deux ans Autre changement dans le calendrier : la création d'une Coupe des nations qui sera disputée tous les deux ans à partir de 2026 et se tiendra en juillet et novembre, à la place des tournées actuelles. Elle regroupera les six nations du Tournoi (France, Écosse, Irlande, pays de Galles, Angleterre, Italie), les quatre du Rugby Championship (Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, Australie, Argentine) et deux nations invitées. Selon plusieurs médias, les deux premiers invités en 2026 pourraient être le Japon et les Fidji. Un système de promotion-relégation, avec barrages, sera par ailleurs mis en place, à partir de 2030, avec une deuxième division, également composée de douze équipes. Les rencontres, six par pays, seront programmées lors des fenêtres de juillet dans l'hémisphère Sud et de novembre dans l'hémisphère Nord et pourraient aboutir à une finale fin novembre. Mis en ligne le 24/10/2023 à 17:36Vingt-quatre nations disputeront la Coupe du monde de rugby en 2027 World Rugby a annoncé l'élargissement de la compétition dans quatre ans, ainsi que la création d'une Coupe des nations. Lire la suite sur lest-eclair.fr

Lundi 23 octobre 2023
17:49 -

Coupe du monde de rugby : l'Anglais Wayne Barnes désigné pour arbitrer la finale All Blacks-Afrique du Sud

Que les détracteurs de l'arbitre néo-zélandais Ben O'Keeffe se rassurent. World Rugby a choisi l'Anglais Wayne Barnes pour diriger la finale. Il succède au Français Jérôme Garcès, arbitre de la finale 2019, au Japon.    Lire la suite sur midilibre.fr

Dimanche 22 octobre 2023
06:20 -

« Je n'ai pas dormi pendant deux jours » : Yoann Huget raconte le Mondial 2019 et l'échec en quarts

La Coupe du monde de rugby 2023 touche presque à sa fin. Comme les Bleus cette année, ceux de 2019 avaient échoué en quarts de finale au Japon, d'un tout petit point, face au pays de Galles (20-19).... Lire la suite sur ouest-france.fr

Samedi 21 octobre 2023
23:00 -

L'Afrique du Sud s'impose in extremis et rejoint les All Blacks en finale de la Coupe du monde de rugby

Lecture zen Le remake de la finale de la Coupe du monde 2019 s'est joué sous la pluie ce 21 octobre au Stade de France. Comme il y a quatre ans, les Anglais n'ont pas inscrit d'essai, et comme il y a quatre ans, l'Afrique du Sud a remporté la rencontre et défendra son titre face aux All Blacks. Une victoire in extremis (16-15) alors que les Anglais ont mené jusque dans les dernières minutes. Même pelouse, même arbitre mais pas la même entame ce samedi 21 octobre. Le festival offensif du début de match offert par les Springboks et le XV de France n'a pas eu lieu entre Anglais et Sud-Africains. Aucun essai n'a été marqué lors de la première période. Pollard express Dans ces 40 minutes marquées par les pénalités, ce sont les buteurs qui sont à l'œuvre. Owen Farell inscrit les premiers points de la rencontre. Manie Libbok répond avant que le capitaine anglais ne redonne six points d'avance au XV de la Rose. Le champion du monde 2019 Handré Pollard remplace l'ouvreur sud-africain alors que l'on joue depuis à peine 30 minutes. Deux pénalités plus tard, une de chaque côté, et le XV de la Rose sans être flamboyant vire en tête à la pause (12-6). En seconde période, Farrell, encore lui, met les Anglais à l'abri d'un essai transformé avec un drop excentré. À 10 minutes du terme, Snyman sonne la révolte des Springboks et inscrit le premier et seul essai de la rencontre après un ballon porté. Essai transformé. En tête jusqu'à la 77e minute, Handré Pollard convertit la pénalité de la gagne (16-15). La dernière possession anglaise ne donnera rien, les quinze points d'Owen Farell n'auront pas suffi. Consultez l'actualité en vidéo Les Springboks rejoignent la Nouvelle-Zélande en finale. Non cités parmi les favoris au début de la compétition, vaincus lors du match d'ouverture, les All Blacks disputeront la cinquième finale de leur histoire. Ils ont ravi le trophée Webb-Ellis à trois reprises. Rendez-vous est donné le 28 octobre au Stade de France. La dernière fois, qu'une finale s'est disputée à Saint-Denis, les Springboks l'avaient emporté. C'était en 2007. Mis en ligne le 21/10/2023 à 23:00L'Afrique du Sud s'impose in extremis et rejoint les All Blacks en finale de la Coupe du monde de rugby La deuxième demi-finale offrait un remake de la finale 2019. Comme il y a quatre ans au Japon, les Springboks se sont imposés. Lire la suite sur lest-eclair.fr

14:21 -

Rugby - Coupe du monde. Aux Springboks de sauter sur l'occasion de retourner en finale

Lecture zen Les flankers sud-africains Pieter-Steph du Toit et Kwagga Smith se congratulent après leur victoire sur les Français devant un François Cros effondré. - AFP Pour les Sud-Africains, remplis de confiance après avoir écarté l'hôte français en quarts de finale (29-28), la route d'un quatrième titre mondial – après ceux de 1995, 2007 et 2019 – passe par une victoire sur les Anglais, samedi (21 heures) à Saint-Denis. Si la logique sportive du moment est respectée, l'affaire est entendue : les Néo-Zélandais auront battu les Argentins la veille et les Springboks affronteront les All Blacks pour savoir laquelle de ces deux grandes nations du rugby décrochera une quatrième étoile record. Sur le papier, les coéquipiers de Siya Kolisi, premier capitaine noir de l'histoire des Boks, ne doivent en effet faire qu'une bouchée de ce XV de la Rose peu inspiré, qualifié cahin-caha pour le dernier carré à la faveur d'un tableau aisé et d'un peu de chance, à l'image de sa victoire sans souffle en quarts aux dépens des Fidji (30-24). Mais il n'est jamais aussi fort que lorsqu'il se retrouve dos au mur, et l'adversaire le sait fort bien. « Nous abordons ce match comme n'importe quelle équipe aborderait une demie. Les quatre pays ont encore deux gros matches à jouer pour soulever le trophée. C'est suffisant pour se motiver », a déclaré le deuxième ligne Eben Etzebeth, bourreau des Bleus dimanche dernier. Et l'ancien Toulonnais du RCT (2019-2022) d'ajouter : « Nous savons qu'ils vont nous attendre sur le combat et l'agressivité. Ils seront au rendez-vous samedi mais nous aussi. »   Le souvenir de Yokohama Quelques mois après l'arrivée de Steve Borthwick sur le banc en remplacement de l'Australien Eddie Jones, les Anglais ont, en outre, retrouvé quelques couleurs. « Ils ont un tout nouveau staff et je trouve que Steve a mis en place un modèle de jeu différent de celui d'Eddie. Comme pour tout, il faut du temps pour s'y habituer. Mais, plus ils passent de temps ensemble, plus ils sont à l'aise », a estimé le sélectionneur sud-africain, Jacques Nienaber. Si l'on s'en tient aux seules statistiques, l'Angleterre, qui a terminé première d'un groupe comprenant le Japon, les Samoa, l'Argentine et le Chili, est la seule formation encore invaincue. Sa recette ? Un retour aux sources en s'appuyant sur des hommes d'expérience (Owen Farrell, Tom Curry, Jonny May, Manu Tuilagi…), une discipline retrouvée (moins de huit pénalités concédées par match en moyenne) et un jeu au pied prépondérant, afin de compenser un manque d'ambition offensive. « Les Sud-Africains ne sont pas champion Lire la suite sur lest-eclair.fr

10:18 -

Mondial de rugby 2023 : Afrique du Sud-Angleterre, logique sportive contre esprit de revanche

Ce samedi, au Stade de France, l'Afrique du Sud affronte l'Angleterre en demi-finale de la Coupe du monde de rugby 2023. Si les Springboks, champions du monde en titre, semblent largement favoris, le XV de la Rose compte bien prendre sa revanche de la finale perdue il y a quatre ans au Japon. Lire la suite sur europe1.fr

Vendredi 20 octobre 2023
21:00 -

Coupe du monde de rugby: Angleterre - Afrique du Sud, l'esprit de revanche face à la dure réalité

Lourdement défaits en finale du Mondial 2019 au Japon, les Anglais se retrouvent de nouveau face à l'ogre sud-africain – cette fois-ci en demie (ce samedi 21 octobre à 21h au Stade de France). Pour rivaliser, ils devront faire le match parfait. Lire la suite sur nicematin.com

16:30 -

165 coups de pied, 89% de plaquages réussis… pourquoi le match Angleterre/Afrique du Sud promet d'être âpre et disputé ?

L'Angleterre et l'Afrique du Sud se retrouvent en demi-finale de Coupe du Monde, 4 ans après la finale du mondial au Japon remportée par les Springboks en 2019. Lire la suite sur lerugbynistere.fr

14:47 -

Rugby - Coupe du monde. Large avantage aux Blacks face aux Pumas en demi-finale

Lecture zen L'ascendant dans cette demi-finale pourrait être déjà pris au moment du fameux haka exécuté par les Néo-Zélandais. Mais il semble que ces Argentins, même s'ils n'ont pas fait forte impression, ne soient guère impressionnables. - AFP Nouvelle-Zélande et Argentine évoluent sur des planètes distinctes, qui devront parfaitement s'aligner en demi-finales de la Coupe du monde, vendredi (21 heures) au Stade de France, pour que les Pumas empêchent les All Blacks de se rapprocher un peu plus d'un quatrième sacre historique. La différence de niveau était telle, le week-end dernier en quarts, entre Argentine – Pays de Galles (29-17) d'un côté et Nouvelle-Zélande – Irlande (28-24) de l'autre que l'on pouvait se demander par moments s'il s'agissait bien du même sport. Vérification faite, les quatre équipes se passaient bien un ballon ovale vers l'arrière, mais les Néo-Zélandais l'ont fait avec tant de précision et de talent que l'on voit mal ce qui pourrait les priver de la cinquième finale de leur histoire, en dix éditions. À peine redescendus de leur nuage irlandais, ils ont tout de même joué cette semaine la carte de la prudence devant les micros, avec la bienséance de rigueur en pareille circonstance. Le demi de mêlée Aaron Smith a notamment convoqué le souvenir « douloureux » de la demie perdue contre les Anglais (7-19), il y a quatre ans, au Mondial japonais. « C'est une grande source de motivation pour les gars qui étaient là-bas, a-t-il témoigné. Cette douleur nous a aidés à nous remettre à l'ouvrage après un match riche en émotions (samedi dernier). » « Nous avons appris à avoir le plus grand respect pour les Argentins. Ils ont l'habitude de se surpasser en Coupe du monde et ont réalisé un travail fantastique pour arriver jusque-là », a embrayé le sélectionneur, Ian Foster, au moment de dévoiler sa composition d'équipe. Celle-ci comporte deux changements par rapport au XV aligné devant celui du Trèfle : l'immense Sam Whitelock, Black le plus capé de tous les temps (151 sélections), remplace Brodie Retallick en deuxième ligne et Mark Tele'a retrouve l'aile gauche après avoir été puni pour ne pas avoir respecté un couvre-feu. « Il a purgé sa peine. Il a commis une erreur, accepté ce qui se passait, mais il ne faut pas s'attarder là-dessus. C'est notre meilleur ailier. Nous avons une grande confiance en lui », l'a absous Foster. Une barrière psychologique est tombée Le retour de Tele'a, auteur de trois essais en deux rencontres, ne semble pas inquiéter outre mesure son vis-à-vis argentin Emiliano Boffelli : « Je sais qui c'est, qu'il est rapide et puissant, qu'il a bien joué contre les Français (…), mais je préfère me concentrer sur ce Lire la suite sur lest-eclair.fr

Jeudi 19 octobre 2023
20:35 -

Coupe du monde de Rugby : L'Angleterre veut venger le XV de France

Coupe du monde de Rugby : L'Angleterre veut venger le XV de France

Victorieuse de la France e quart de finale (28-29), l'Afrique du Sud continue son parcours pour espérer défendre son titre remporté en 2019 au Japon. Mais l'Angleterre de Steve Borthwick a bien… Lire la suite sur le10sport.com

18:58 -

Coupe du monde de rugby: les All Blacks en favoris face à l'Argentine

Mis en ligne le 19/10/2023 à 18:58 Lecture zen La Nouvelle-Zélande part nettement favorite dans la demi-finale qui l'oppose à l'Argentine, ce vendredi soir (21 heures) au Stade de France. Nouvelle-Zélande et Argentine évoluent sur des planètes distinctes, qui devront parfaitement s'aligner en demi-finales de la Coupe du monde, ce vendredi (21 heures) au Stade de France, pour que les Pumas empêchent les All Blacks de se rapprocher un peu plus d'un quatrième sacre historique. Consultez l'actualité en vidéo La carte de la prudence côté All Blacks La différence de niveau était telle, le week-end dernier en quarts, entre Argentine – Pays de Galles (29-17) d'un côté et Nouvelle-Zélande – Irlande (28-24) de l'autre que l'on pouvait se demander par moments s'il s'agissait bien du même sport. Vérification faite, les quatre équipes se passaient bien un ballon ovale vers l'arrière, mais les Néo-Zélandais l'ont fait avec tant de précision et de talent que l'on voit mal ce qui pourrait les priver de la cinquième finale de leur histoire, en dix éditions. À peine redescendus de leur nuage irlandais, ils ont tout de même joué cette semaine la carte de la prudence devant les micros, avec la bienséance de rigueur en pareille circonstance. Nous avons appris à avoir le plus grand respect pour les Argentins. Ils ont l'habitude de se surpasser en Coupe du monde et ont réalisé un travail fantastique pour arriver jusque-là Aaron Smith, demi de mêlée de la Nouvelle-Zélande Le demi de mêlée Aaron Smith a notamment convoqué le souvenir « douloureux » de la demie perdue contre les Anglais (7-19), il y a quatre ans, au Mondial japonais. « C'est une grande source de motivation pour les gars qui étaient là-bas, a-t-il témoigné. Cette douleur nous a aidés à nous remettre à l'ouvrage après un match riche en émotions (samedi dernier). » « Nous avons appris à avoir le plus grand respect pour les Argentins. Ils ont l'habitude de se surpasser en Coupe du monde et ont réalisé un travail fantastique pour arriver jusque-là », a embrayé le sélectionneur, Ian Foster, au moment de dévoiler sa composition d'équipe. Deux changements côté néo-zélandais par rapport au XV aligné contre l'Irlande Celle-ci comporte deux changements par rapport au XV aligné devant celui du Trèfle : l'immense Sam Whitelock, Black le plus capé de tous les temps (151 sélections), remplace Brodie Retallick en deuxième ligne et Mark Tele'a retrouve l'aile gauche après avoir été puni pour ne pas avoir respecté un couvre-feu. « Il a purgé sa peine. Il a commis une erreur, accepté ce qui se passait, mais il ne faut pas s'attarder là-dessus. C'est notre meilleur ailier. Nous avons une grande confiance en lui », l'a absous Foster. Les Sud-Américains ont fait tomber une barrière psychologique en dominant les Océaniens à deux reprises, en 2020 et 2022 Le retour de Tele'a, auteur de trois essais en deux rencontres, ne semble pas inquiéter outre mesure son vis-à- Lire la suite sur paris-normandie.fr

Mercredi 18 octobre 2023
18:15 -

"Ô la belle vie" dans les coulisses de la coupe du monde de rugby, quand Toulouse était aux couleurs du Japon

Toulouse, réputée capitale du rugby dans le monde entier, a été le camp de base de la délégation japonaise pendant cette coupe du monde. Comment la ville s'est-elle préparée à cet évènement ? Retour dans les coulisses avec Sophie Jovillard, à l'occasion du match Japon-Chili organisé dans la ville rose. Lire la suite sur francetvinfo.fr

Mardi 17 octobre 2023
17:35 -

Rugby-fauteuil. Coupe internationale. Comme un avant-goût olympique pour Cédric Nankin

Lecture zen Comme à Tokyo, Cédric Nankin (à droite) pourrait retrouver les Australiens lors du tableau finale de cette Coupe internationale. - AFPAlors que XV tricolore en a, déjà, terminé avec sa Coupe du monde, l'équipe de France de rugby fauteuil débute aujourd'hui “sa” Coupe du monde dans l'antre de l'Accor Arena. Les huit meilleures nations de la discipline vont se retrouver pour en découdre et préparer le rendez-vous olympique parisien. « Ce sera notre plus importante compétition avant les Jeux », souligne le Castel Cédric Nankin, inamovible pilier de cette sélection, pour accentuer encore un peu plus l'importance de ce tournoi. La France, double championne d'Europe en titre et 6e à aux Jeux de Tokyo, a, avec cette couronne, décroché son billet pour les Jeux de 2024. « Nous étions qualifiés d'office mais c'était mieux d'aller la chercher sur le terrain », avance l'Axonais. La Grande-Bretagne et le Danemark accompagneront les tricolores sur les installations olympiques prévues sur le Champ-de-Mars au pied de la Tour Eiffel. Enfin en pleine lumière ! En attendant l'utilisation de cette installation éphémère, les Bleus vont découvrir Bercy en espérant bénéficier de l'engouement lié à la Coupe du monde de rugby pour attirer le public. « C'est un sacré coup de projecteur pour notre discipline (la finale sera retransmise sur la TNT), poursuit le joueur du CAP SAAA Paris. À nous de la mettre en valeur du mieux possible. » Et qui aurait-il de mieux pour cela qu'une victoire dimanche prochain ? «  On ne se met pas de pression inutile sur les épaules mais la victoire est notre objectif, confesse le défenseur tricolore. Ce que je vois surtout c'est que nous avons la chance d'affronter les États-Unis (nº1 mondial), le Japon (nº3) et la Nouvelle-Zélande (nº8) voire l'Australie (nº2) et le Canada (nº5) lors du tableau final. Ce sont des nations que nous n'affrontons pas tous les jours et que nous ne rencontrerons plus d'ici les Jeux. Sauf à avoir un mécène pour nous financer un stage dans un de ces pays. » Taper fort d'entrée ! Affronter des nations extra-européennes, c'est peut-être en cela que réside l'intérêt sportif nº1 de cette compétition. « Ce sera intéressant. Cela va nous permettre de voir où nous nous situons, ajoute l'Axonais. D'ailleurs, il faudra taper fort d'entrée, dès le match face aux États-Unis. Ce premier match conditionnera la suite de notre tournoi. » Cédric Nankin compte également profiter de tous ces moments. À 39 ans, le Castel sait que l'essentiel de sa carrière est derrière lui mais l'idée de raccrocher ne l'effleure absolument pas. «  Tant que je m'amuse et que j Lire la suite sur lest-eclair.fr

15:43 -

Eddie Jones a tranché et pose ses conditions !

Le sélectionneur de l'Australie, Eddie Jones est annoncé en contact avancé avec la Fédération Japonaise de Rugby. Bien que lié avec la Fédération Australienne de Rugby jusqu'à la prochaine Coupe du monde qui se jouera en Australie, Eddie Jones n'écarte pas l'idée de quitter son poste pour aller entraîner la sélection du Japon. Mais cette ... Lire la suite sur blog-rct.com

12:49 -

Coupe du Monde de Rugby : L’Australie devrait garder son sélectionneur, sous garanties

Alors que l'Australie a été éliminée pour la première fois de son histoire en phase de poule, le sélectionneur actuel devrait finalement rester en poste. Malgré les rumeurs d'un potentiel départ pour entraîner le Japon, le coach des Wallabies souhaite rester mais exige des garanties. Est-ce vraiment une bonne nouvelle pour l'Australie ? Les critiques […] L'article Coupe du Monde de Rugby : L’Australie devrait garder son sélectionneur, sous garanties est apparu en premier sur We Sport - "Partageons notre passion !". Lire la suite sur wesportfr.com

10:08 -

Coupe du monde 2023 : annoncé au Japon, le sélectionneur de l'Australie Eddie Jones dément toute volonté de départ

Malgré l'élimination précoce et les rumeurs de départ pour reprendre les rênes de la sélection japonaise, l'entraîneur des Wallabies a indiqué qu'il souhaitait rester mais que la décision ne lui appartenait Lire la suite sur sudouest.fr

Lundi 16 octobre 2023
16:44 -

Rugby : Après l'élimination du XV de France, la déception est immense

Toute la déception d'Antoine Dupont dimanche soir après la défaite contre les Springboks, symbole de la désillusion du XV de France. - Photo FRED HASLINMis en ligne le 16/10/2023 à 16:44 Lecture zen Faisons en sorte que ces moments soient notre moteur pour progresser encore et revenir plus forts. » Au lendemain de l'élimination du XV de France contre l'Afrique du Sud (28-29) en quarts de finale de la Coupe du monde, le capitaine des Bleus, Antoine Dupont, s'est ainsi exprimé sur son compte Instagram, surmontant sa désillusion. Après une sortie aussi cruelle contre le pays de Galles au même stade de la compétition (20-19) lors du Mondial 2019 au Japon, ce revers s'est en effet encore joué à rien : un petit point, une transformation contrée sans doute de manière illicite, un en avant sud-africain peut-être volontaire, une mêlée sud-africaine non sanctionnée en fin de match, quelques ballons tombés… Mais cette fois-ci, c'était à domicile, dans une Coupe du monde dont les Bleus comptaient parmi les grands favoris. Comme l'arbitrage du Sud-Africain Jaco Peyper au Japon, celui du Néo-Zélandais Ben O'Keeffe au Stade de France n'a pas été au goût des Français, Dupont estimant qu'il n'avait « pas été au niveau de l'enjeu ». Ben O'Keeffe « n'est pas seul », a réagi pour sa part le sélectionneur Fabien Galthié, dont le mandat court jusqu'en 2028 et qui a été confirmé lundi à son poste par le président de la Fédération française de rugby Florian Grill. « Le TMO (ndlr : l'arbitre vidéo) et les arbitres autour ont le temps de revoir les images comme nous et ont le droit de prendre part à l'arbitrage. » Ces erreurs, les rares coéquipiers de Dupont à se présenter devant la presse après la défaite les ont également évoquées, sans toutefois que cette aigreur ne surpasse l'immense déception. Car là n'est sans doute pas la principale explication de la défaite. « On a encaissé des points trop facilement » « C'est toujours facile de parler de l'arbitrage. Il y a eu des situations assez flagrantes sur le terrain et qui ne semblaient pas l'être pour le corps arbitral », a également relevé le centre Jonathan Danty, avant d'ajouter : « L'erreur est humaine malheureusement, ce n'est pas l'arbitrage qui a fait perdre le match. » « On est tristes, avec ce résultat et ce scénario cruel. On avait mis les ingrédients mais on a encaissé des points trop facilement », a résumé le troisième ligne François Cros. Le XV de France, qui semblait mener le match par le bon bout jusqu'à la mi-temps (22-19) après une première période d'une rare intensité, haletante et magnifique (six essais marqués, une première dans l'histoire d'un quart de finale de Coupe du monde), n'a pas tenu sur la longueur et a payé comptant ses errements. Ainsi, on a vu de grossières erreurs défensives, notamment sur les « turnovers », les ballons perdus ; une faillite sur les ballons hauts ; une inattendue baisse de régime physique en seconde période pas compensée par le banc. Des lacunes qu'on ne voyait pas Lire la suite sur paris-normandie.fr

Dimanche 15 octobre 2023
21:12 -

Coupe du monde rugby 2019

La Coupe du monde de rugby à XV a eu lieu au Japon du 20 septembre au 2 novembre 2019, une première pour le continent asiatique. Le tournoi se déroule dans les 12 villes hôtes : Chofu, Yokohama, Osaka, Toyota, Sapporo, Kobe, Fukuroi, Fukuoka, Oita, Kumamoto, Kumagaya, et Kamaishi. En tant que pays organisateur le Japon est directement qualifié pour la compétition et donne le coup d'envoi de la compétition lors du match d'ouverture face à la Russie le 20 septembre à Tokyo. Les 19 autres nations sont réparties dans quatre poules de cinq équipes. Le XV de France débutera face à l'Argentine le 21 septembre, avant d'affronter les Etats-Unis puis les Tonga les 2 et 6 octobre prochains. La sélection de Guy Novès termine par le XV de la Rose, le 12 octobre, un match finalement annulé en raison d'un typhon frappant le Japon. La France a finalement été éliminée en quart de finale et l'Afrique du Sud a remporté la compétition devant l'Angleterre. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

20:16 -

Rugby – Coupe du monde. L'Angleterre se faufile en demi-finale en écartant les Fidji

Lecture zen Moribonde à l'ouverture de cette Coupe du monde, l'Angleterre a retrouvé des couleurs pour finalement se qualifier pour la sixième demi-finale de son histoire après s'être fait peur jusqu'au bout contre de vaillants Fidjiens (30-24) dimanche à Marseille. Mais il lui faudra sans doute trouver d'autres recettes qu'un buteur fiable (Farrell) pour espérer battre samedi au stade de France le vainqueur du choc entre la France et l'Afrique du Sud. Deux adversaires avec qui ils ont des comptes à régler: la fessée reçue des Bleus à Twickenham dans le Tournoi des Six Nations en mars (53-10) et la correction en finale du Mondial 2019 au Japon (32-12) par les Springboks. «Aux Fidji, les malades reviennent à la vie quand nous gagnons», expliquait cette semaine Seremaïa Baï, entraîneur adjoint fidjien. Mais durant ce Mondial 2023, c'est bien le XV de la Rose qui a ressuscité en sortant invaincu de son groupe D avant d'effacer l'humiliation subie fin août dans leur antre de Twickenham, quand ils s'étaient inclinés pour la première fois de leur histoire (30-22) face aux «Flying Fijians» lors de leur dernier match de préparation. Mais les hommes de Steve Borthwick se sont fait peur jusqu'au bout, laissant les Fidjiens revenir à leur hauteur (24-24) à dix minutes du coup de sifflet final. Après deux essais presque copié-collé de leurs centres, Tuilagi (14) puis Marchant (23), en mode bulldozer, c'est le pied de l'ouvreur Farrell qui a meublé le tableau d'affichage. Et les Fidjiens semblaient trop inconstants pour véritablement les déranger, avec pour seul éclair de magie en première mi-temps cette passe entre les jambes de l'ouvreur Botitu pour l'essai de Mata (28e), à la récupération d'un ballon trainant au sol à une dizaine de mètres de la ligne anglaise. Le XV de la Rose espère maintenant décrocher une cinquième place en finale Mais en l'espace de cinq minutes, tout a failli basculer pour le XV de la Rose. Essai du pilier Ravai en force (64), puis nouvel essai de l'ouvreur Botitu, après une superbe percée plein champ de son deuxième ligne Nasilasila (69): avec les deux transformations, les Fidjiens étaient revenus à hauteur. Et l'Angleterre avait encaissé en un seul match autant d'essais (3) que depuis le début du Mondial, alors que sa défense semblait en place... Mais c'est finalement le pied de l'ouvreur Owen Farrell, avec un drop d'abord (72), puis une dernière pénalité (77), qui envoyait l'Angleterre en demi finale, sous le regard de la Princesse de Galles Kate. Un Farrell qui a encore un peu plus pris le large par rapport à Lire la suite sur lest-eclair.fr

00:26 -

Rugby - Coupe du monde. France – Afrique du Sud, une partie d'échecs

Lecture zen Fabien Galthié a répondu aux cachotteries de son homologue Jacques Nienaber par son coup à lui. - AFP « Pour bien connaître l'Afrique du Sud et son staff, s'ils sont champions du monde (2019), c'est qu'ils ont une approche tactique très pointue et très réfléchie. Ils sortent toujours une stratégie, un plan très bien étudié par rapport à l'adversaire. Ce n'est jamais le hasard qui les pousse à aligner une équipe », explique le sélectionneur du XV de France, Fabien Galthié. « Préparer ces matches-là, c'est un niveau de stratégie poussée à son paroxysme. C'est parfait », a-t-il abondé lorsqu'on l'interrogeait sur les choix opérés par les techniciens Johan Erasmus et Jacques Nienaber. Le duo à la tête des Springboks avait joué le premier coup de ce « jeu d'échecs » en début de semaine en annonçant qu'il dévoilerait sa formation au dernier moment, lui qui avait pris l'habitude de le faire le plus tôt possible. « Nous essayons de ne pas jouer nos cartes trop tôt pour pouvoir décider si nous allons mettre sur le banc sept avants et un arrière ou si nous allons plutôt partir sur une option six-deux ou cinq-trois avec (les ouvreurs) Handré (Pollard) et Manie (Libbok), qui sont tous les deux disponibles », s'était justifié Erasmus, le directeur du rugby sud-africain. Les Bleus auront six avants parmi les remplaçants, pour seulement deux arrières « Ça fait deux semaines qu'ils observent ce qui se passe. Je pense qu'ils nous connaissent très bien. Leur choix d'aligner une composition d'équipe un peu particulière avec quelques changements et leur choix d'un 5-3 est fondé. C'est un jeu d'échecs », allait lui rétorquer Galthié, non sans malice. De fait, Erasmus et Nienaber ont pris tout le monde de court en titularisant les demis de mêlée Jacobus Reinach et d'ouverture Immanuel Libbok à la place de Francois De Klerk et Handré Pollard. Tout comme ils ont surpris en plaçant trois arrières sur leur banc pour cinq avants, abandonnant pour le premier match à élimination directe le « 7+1 » et la garantie de faire rentrer cinq avants d'un coup aux alentours de l'heure de jeu. L'Afrique du Sud, sacrée il y a quatre ans au Japon avec un jeu minimaliste fait de défi physique, d'occupation, de pression défensive et d'un bon buteur, a, face à la France, allégé sa charnière et son banc. « Au vu de ce que va faire la France, pour nous, c'est la meilleure option », selon Nienaber. Et c'est cette dernière, qui, du coup, a densifié son banc. Galthié et ses adjoints ont aligné leur équipe-type mais disposeront de six avants parmi leur remplaçants, pour deux arrières seulement, le troisième ligne Sekou Makalou pouvant couvrir les post Lire la suite sur lest-eclair.fr

Samedi 14 octobre 2023
14:15 -

XV de France – Ramos : « le rugby, c’est en moi »

Dans une interview accordée à RMC Sport, Thomas Ramos a évoqué son énorme progression depuis la dernière Coupe du monde au Japon. « En terme de choix sportif je pense aussi que le fait d’être resté au Stade Toulousain m’a permis d’être là où j’en suis aujourd’hui. Et ensuite, le fait aussi de travailler, de continuer à bosser, […] Lire la suite sur sport.fr