Japon

Dimanche 02 mars 2025
20:18 -

Boxe, golf, canoë… Découvrez ces sports étaient encore interdits aux femmes il y a peu

« Une olympiade femelle serait impratique, inintéressante, inesthétique et incorrecte. » « Femelle » donc… Ce sont les mots, rédigés en français, avec l'aval de ce bon vieux Pierre de Coubertin, le rénovateur des Jeux Olympiques en 1912 sur le compte-rendu officiel de l'édition de Stockholm. Des mots d'une misogynie terrible qui ne sont finalement pas si indissociables de l'actualité moderne. Malheureusement. Dans ces prochaines lignes, vous allez découvrir que certains sports étaient simplement interdits aux femmes il y a encore très peu de temps. Et parfois, les raisons sont très « limite ». PAR RUBEN DIAS. Extrait du WOMEN SPORTS N°31. LE GOLF : LADIES FORBIDDEN ? Inventé en Écosse au cours du XVe siècle, le golf était le sport interdit aux femmes par excellence. Et cela, dès son nom. Le mot « golf » tirerait ses origines d'un acronyme : « Gentlemen Only, Ladies Forbidden », ce qui signifie « Messieurs seulement, femmes interdites ». Bon, ne rêvassez pas trop puisque cette légende urbaine est totalement fausse. Selon le Scottish Golf History, le nom du sport serait plutôt un dérivé d'un vieux mot signifiant « club ». D'ailleurs, avant la création des dictionnaires, il n'existait aucune orthographe standardisée pour ce mot. Les gens écrivaient phonétiquement : Goff, gowf, golf, goif, goiff, gof, gowfe, gouff et golve. Rien à voir aux premiers abords avec une éventuelle interdiction à la gente féminine. D'ailleurs, la première mention sur des femmes jouant au golf se trouve à Bruntsfield Links en 1738… En compétitions officielles pourtant, il a fallu attendre 1990, avant que le golf ne soit officiellement ouvert à ces dernières… La définition d'une blague qui a mal tourné ? LE RUGBY : INTERDIT POUR « PRÉSERVER LA DIGNITÉ DES FEMMES » Pays de l'Ovalie, la France est une pionnière du rugby. Mais si aujourd'hui, selon les chiffres de la fédération, il y a plus de 26 000 joueuses dans le pays, les femmes n'avaient pas le droit de le pratiquer avant les années 20. Précédemment, il était pratiqué de manière clandestine. À cette époque, la docteure en médecine Marie Houdré adapte les règles du rugby pour les femmes. Pourtant, une campagne de presse juge ce sport « inadapté à la morphologie des femmes qui étaient censées devenir des bonnes mères », explique notamment la journaliste Isabelle Collombat dans des propos repris par France Inter. Pour la société, ce sport ne correspond pas à l'image de la femme. D'ailleurs, Suzanne Lenglen, la championne de tennis, elle-même, disait que « ce n'était pas esthétique, pas beau pour les femmes »… Il faudra attendre les années 60 pour que cette vision change. Des étudiantes lyonnaises organisent un événement d'ampleur en proposant aux joueuses de Bourg-en-Bresse de disputer un match et l'événement sera un succès. Le secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports, Marceau Crespin, par le biais d'une lettre au préfet, envoyée dans toute la France, demande de faire en sorte que toutes les infrastructures ne soient pas mises à disposition des femmes… Dis-moi que tu me l'interdis, sans me dire que tu l'interdis. Le rugby féminin se démocratise ensuite comme une activité clandestine. « Les joueuses jouent dans les champs et se lavent dans les rivières, faute de vestiaires », toujours selon Isabelle Collombat. C'est autour de Bourg-en-Bresse, berceau du rugby féminin que les femmes s'organisent, et réalisent même un championnat malgré l'interdiction. Et si aujourd'hui tout cela semble de l'histoire très ancienne, la fédération française de rugby mettra du temps à l'accepter. « Même en 2014, quand la France doit organiser la Coupe du monde de rugby, la fédération n'est pas très enthousiaste », conclut Isabelle Collombat… En 2017, les îles Tonga ont interdit aux filles le rugby, et la boxe, afin de « préserver la dignité des Tongiennes »… Comme quoi, il y a encore du chemin. L'HALTÉROPHILIE AU FÉMININ Les premiers émois de l'haltérophilie féminine datent notamment d'une certaine Pudgy Stockton aux USA dans les années 40. En France, et si ce sport fait parler de lui dès 1840, la pratique ne s'ouvre aux femmes que dans les années 1980. En 1989, elles sont trois-cents à le pratiquer en compétition. En 2016, la fédération comptait environ 31 590 licenciés dont 35% de femmes, en 2022, le constat est une augmentation à 40% selon les chiffres de Sports.Gouv.fr. En compétition officielles, et notamment aux JO, il a fallu attendre 2000 et l'édition de Sydney, pour voir l'haltérophilie, réservée jusqu'alors aux hommes, s'ouvrir aux femmes. LE SAUT À SKI : HISTORIQUEMENT MASCULIN « Ce n'est pas adapté aux femmes d'un point de vue médical », lâchait en 2005 Gian-Franco Kasper, le président de la Fédération internationale de ski… Sauter, se jeter dans les airs, cela était considéré comme bien trop dangereux pour de fragiles guiboles féminines. Certains expliquant même que la décharge de sensations fortes pouvait les rendre stériles… En 1991, le CIO décide enfin que tout nouveau sport doit proposer des épreuves féminines. Presque parfait. Ce n'est qu'en 2014 et les Jeux Olympiques d'hiver à Sotchi que les femmes prennent place pour la première fois en haut des rampes. Alors qu'en 1924, il était déjà autorisé aux hommes. 90 ans d'attente donc. Et comme rien n'est jamais tout rose, en 2022, à Pékin, la FIS a été accusée de « détruire le saut à ski féminin » par l'Allemande Katharia Althaus, vice-championne olympique, disqualifiée comme 4 autres concurrentes pour une combinaison non conforme. Le tout alors qu'aucune concurrente n'avait été disqualifiée lors de l'épreuve individuelle, et aucun homme n'a été disqualifié lors de l'épreuve mixte. Pour le vol à ski, dérivé du saut ou les athlètes volent à plus de 100km/h sur plus de 200 m en l'air, ce n'est qu'à la Coupe du monde 2022/23 que les femmes participeront. Et là encore, c'est encadré, puisque seules celles qui sont majeures peuvent y aller. Pourtant la Slovénie, le Japon, l'Autriche et l'Allemagne avaient posé leur veto. D'ailleurs, cette épreuve ne rentrera pas dans le cadre officiel de la Coupe du monde à cause de la limitation du nombre de sauteuses. Un long combat contre les préjugés pas totalement remporté donc. LA BOXE : SPORT TROP DANGEREUX ? Jugée trop dangereuse, la boxe n'est autorisée aux femmes qu'à partir de 1998. Et si quelques mois auparavant elle est reconnue comme discipline féminine par l'Association internationale de boxe amateur (AIBA), il n'existe toujours pas de compétitions officielles. Pour cela, il faudra encore patienter 3 ans et 2002 pour voir apparaître les premiers championnats du monde féminins. Pour les JO, ce n'est que depuis 2012 et les olympiades de Londres, que les femmes peuvent monter sur un ring. Aujourd'hui, elles sont près de 8 000 licenciées en France selon la FFBoxe. LE CANOË : UN RISQUE POUR DE FUTURES GROSSESSES ? Le canoë a longtemps été interdit aux femmes aux JO. Et cela pour une raison bien particulière. « Concourir à genoux déformerait le bassin et pourrait engendrer des risques pour de futures grossesses », a expliqué Sylvain Landa, historien du sport pour Ouest France. Jusqu'à peu, les femmes ne pouvaient se battre pour l'or qu'en kayak. L'ouverture de ce sport aux femmes ne s'est fait que lors des jeux de 2020, 100 ans après les hommes.Il était peut-être temps. Corps trop frêle, pratiques trop violentes, santé trop fragile… tous les prétextes ont été bons pour interdire aux femmes de pratiquer certains sports.La lutte gréco-romaine est par exemple aujourd'hui toujours interdite aux femmes en compétition. Le combiné nordique (saut à ski et ski de fond) reste lui aussi exclusivement masculin aux JO. Le saut féminin, sur grand tremplin, fera son apparition pour les femmes pour la première fois en 2026…En 1936, Pierre de Coubertin continue de se montrer bien trop hostile à la participation des femmes aux Jeux. « Le seul véritable héros olympique, je l'ai dit, c'est l'adulte mâle individuel. Par conséquent, ni femmes ni sports d'équipes », avait-il lancé. Pourtant les sportifs masculins sont aussi victimes de discriminations. La natation synchronisée et la gymnastique rythmique ne sont pas proposés aux hommes aux JO en raison, d'après le Comité International Olympique, d'un nombre trop peu important de participants. Il y aura donc du travail avant d'atteindre cette fameuse parité aux JO 2024 et 2026 à Paris et Milan. Lire la suite sur sport.fr

Vendredi 21 février 2025
14:42 -

Coupe du monde 2027 – Les Tonga veulent Richie Mo’unga

Actuellement au Japon où il évolue avec la franchise des Toshiba Brave Lupus, l’ouvreur néo-zélandais Richie Mo'unga deviendra éligible à la sélection du pays de naissance de son père, les Tonga, à partir de 2026. La... Lire la suite sur rugbyrama.fr

Vendredi 07 février 2025
17:27 -

Tournoi des Six nations de rugby : la France veut confirmer et s'affirmer face à l'Angleterre

Lecture zen Attaque/défense sur la ligne d'en-but lors de la séance d'entraînement de veille de match à Twickenham. Les Bleus ont bien l'intention de se tenir à distance de la leur et de franchir à plusieurs reprises celle des Anglais pour aplatir. - AFPL'équipe de France de rugby se rend à Londres, samedi, pour y défier l'Angleterre dans le cadre de la deuxième journée du Tournoi des Six nations avec en ligne de mire la volonté de renforcer son statut de favori dans la compétition. L'opposition sera bien plus relevée que l'échauffement face au tendre Pays de Galles (43-0) en ouverture, vendredi dernier à Saint-Denis, quand bien même la précédente visite des Bleus à Twickenham, en 2023, avait tourné au triomphe (10-53). Ce match est déjà hors des mémoires, ont assuré d'une seule et même voix les joueurs et le staff tout au long de la semaine. Dans une année impaire a priori pas favorable aux victoires dans le Tournoi pour eux, les Français ont toujours la pression de soulever un deuxième trophée depuis le début de l'ère Fabien Galthié, en 2020. Et pour s'offrir une éventuelle « finale » contre les Irlandais à Dublin lors de la quatrième levée, la route passe par une victoire chez les Anglais. Un succès permettrait aussi d'étendre la supériorité du XV de France sur celui de la Rose comme rarement : ce serait le quatrième de suite, une série réalisée seulement deux fois dans l'histoire, entre 1975 et 1979 ainsi qu'entre 1995 et 1998. Et pour retrouver la trace de deux matches gagnés consécutivement dans le temple du ballon ovale, il faut remonter à 1981 et 1983. « Notre objectif est de les laisser le plus loin de notre ligne d'en-but, donc d'aller jouer le plus haut possible » Thomas Ramos, arrière L'objectif semble atteignable pour les hommes de Galthié : leurs rivaux restent sur sept revers d'affilée devant des nations de l'élite. Cela a débuté en mars 2024 en France (33-31) et s'est poursuivi le week-end passé en Irlande (27-22). Seul le Japon, battu en juin et en novembre (52-17 et 59-14), a permis de sauver l'honneur du sélectionneur Steve Borthwick dans l'intervalle. Si la France est privée de certains cadres (Charles Ollivon, Gaël Fickou, Thibaud Flament) comme pour sa première sortie, elle récupère Damian Penaud sur l'aile. Sans Romain Ntamack, suspendu après son carton rouge reçu contre les Gallois, Matthieu Jalibert sera aligné à l'ouverture pour une nouvelle page de son histoire contrariée avec l'équipe nationale. Rendez-vous aux chandelles En face, le capitaine Maro Itoje prévient : « Nous voulons être collectivement agressifs, être dans l'avancée, aller au contact et les stopper dans leur élan. » Les partenaires d'Antoine Dupont devront également encore rassurer sur un secteur : la réception des coups de pied sur les chandelles. Depuis le désastre observé dans ce domaine lors du quart de finale de la Coupe du monde 2023 à domicile perdu face à l'Afrique du Sud (28-29), le doute persiste sur ses ballons à double tranchant. Il Lire la suite sur lunion.fr

Jeudi 23 janvier 2025
14:10 -

L’ouvreur argentin Nicolas Sanchez annonce sa retraite

Recordman de points avec les Pumas, Nicolas Sanchez annonce sa retraite. L'ouvreur argentin évoule au Japon avec le Tokyo Sungoliath. L'ouvreur international argentin, Nicolas Sanchez, détenteur du record du nombre de points marqués avec les Pumas, a annoncé sa retraite via son compte Instagram."Après de nombreuses années de dévouement, d'efforts et de passion, j'ai décidé de me retirer du rugby, un sport qui m'a formé en tant que joueur, mais aussi en tant que personne" a déclaré Sanchez (36 ans) et comptant 104 sélections et 902 points. De 2010 à 2023, Sanchez, qui a joué pour Bordeaux-Bègles, Toulon et le Stade français en Top 14 "Tu vas nous manquer, Nico", a posté le compte X des Pumas en hommage. Formé à Tucuman, Sanchez a marqué tous les points lors de la victoire historique contre la Nouvelle-Zélande (25-15) le 14 novembre 2020, la première fois que l'Argentine battait les All Blacks. La dernière apparition de Sanchez avec l'équipe d'Argentine a eu lieu lors du match pour la troisième place de la Coupe du monde 2023, perdu face à l'Angleterre. Suite à cela, il a rejoint le club japonais des Tokyo Sungoliath. 🇦🇷 Nicolas Sanchez, demi d'ouverture aux 104 sélections avec les Pumas, met un terme à sa carrière à 36 ans. Il aura marqué de son empreinte la sélection argentine avec 902 points inscrits.En club, Sanchez est notamment passé par l'UBB, Toulon, le Stade Français et Brive. pic.twitter.com/ZkYD6ZzM0o— Sud Radio Rugby (@SudRadioRugby) January 23, 2025 Lire la suite sur sport.fr

Dimanche 05 janvier 2025
17:18 -

Boxe, golf, canoë… Ces sports étaient encore interdits aux femmes il y a peu

« Une olympiade femelle serait impratique, inintéressante, inesthétique et incorrecte. » « Femelle » donc… Ce sont les mots, rédigés en français, avec l'aval de ce bon vieux Pierre de Coubertin, le rénovateur des Jeux Olympiques en 1912 sur le compte-rendu officiel de l'édition de Stockholm. Des mots d'une misogynie terrible qui ne sont finalement pas si indissociables de l'actualité moderne. Malheureusement. Dans ces prochaines lignes, vous allez découvrir que certains sports étaient simplement interdits aux femmes il y a encore très peu de temps. Et parfois, les raisons sont très « limite ». PAR RUBEN DIAS. Extrait du WOMEN SPORTS N°31. LE GOLF : LADIES FORBIDDEN ? Inventé en Écosse au cours du XVe siècle, le golf était le sport interdit aux femmes par excellence. Et cela, dès son nom. Le mot « golf » tirerait ses origines d'un acronyme : « Gentlemen Only, Ladies Forbidden », ce qui signifie « Messieurs seulement, femmes interdites ». Bon, ne rêvassez pas trop puisque cette légende urbaine est totalement fausse. Selon le Scottish Golf History, le nom du sport serait plutôt un dérivé d'un vieux mot signifiant « club ». D'ailleurs, avant la création des dictionnaires, il n'existait aucune orthographe standardisée pour ce mot. Les gens écrivaient phonétiquement : Goff, gowf, golf, goif, goiff, gof, gowfe, gouff et golve. Rien à voir aux premiers abords avec une éventuelle interdiction à la gente féminine. D'ailleurs, la première mention sur des femmes jouant au golf se trouve à Bruntsfield Links en 1738… En compétitions officielles pourtant, il a fallu attendre 1990, avant que le golf ne soit officiellement ouvert à ces dernières… La définition d'une blague qui a mal tourné ? LE RUGBY : INTERDIT POUR « PRÉSERVER LA DIGNITÉ DES FEMMES » Pays de l'Ovalie, la France est une pionnière du rugby. Mais si aujourd'hui, selon les chiffres de la fédération, il y a plus de 26 000 joueuses dans le pays, les femmes n'avaient pas le droit de le pratiquer avant les années 20. Précédemment, il était pratiqué de manière clandestine. À cette époque, la docteure en médecine Marie Houdré adapte les règles du rugby pour les femmes. Pourtant, une campagne de presse juge ce sport « inadapté à la morphologie des femmes qui étaient censées devenir des bonnes mères », explique notamment la journaliste Isabelle Collombat dans des propos repris par France Inter. Pour la société, ce sport ne correspond pas à l'image de la femme. D'ailleurs, Suzanne Lenglen, la championne de tennis, elle-même, disait que « ce n'était pas esthétique, pas beau pour les femmes »… Il faudra attendre les années 60 pour que cette vision change. Des étudiantes lyonnaises organisent un événement d'ampleur en proposant aux joueuses de Bourg-en-Bresse de disputer un match et l'événement sera un succès. Le secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports, Marceau Crespin, par le biais d'une lettre au préfet, envoyée dans toute la France, demande de faire en sorte que toutes les infrastructures ne soient pas mises à disposition des femmes… Dis-moi que tu me l'interdis, sans me dire que tu l'interdis. Le rugby féminin se démocratise ensuite comme une activité clandestine. « Les joueuses jouent dans les champs et se lavent dans les rivières, faute de vestiaires », toujours selon Isabelle Collombat. C'est autour de Bourg-en-Bresse, berceau du rugby féminin que les femmes s'organisent, et réalisent même un championnat malgré l'interdiction. Et si aujourd'hui tout cela semble de l'histoire très ancienne, la fédération française de rugby mettra du temps à l'accepter. « Même en 2014, quand la France doit organiser la Coupe du monde de rugby, la fédération n'est pas très enthousiaste », conclut Isabelle Collombat… En 2017, les îles Tonga ont interdit aux filles le rugby, et la boxe, afin de « préserver la dignité des Tongiennes »… Comme quoi, il y a encore du chemin. L'HALTÉROPHILIE AU FÉMININ Les premiers émois de l'haltérophilie féminine datent notamment d'une certaine Pudgy Stockton aux USA dans les années 40. En France, et si ce sport fait parler de lui dès 1840, la pratique ne s'ouvre aux femmes que dans les années 1980. En 1989, elles sont trois-cents à le pratiquer en compétition. En 2016, la fédération comptait environ 31 590 licenciés dont 35% de femmes, en 2022, le constat est une augmentation à 40% selon les chiffres de Sports.Gouv.fr. En compétition officielles, et notamment aux JO, il a fallu attendre 2000 et l'édition de Sydney, pour voir l'haltérophilie, réservée jusqu'alors aux hommes, s'ouvrir aux femmes. LE SAUT À SKI : HISTORIQUEMENT MASCULIN « Ce n'est pas adapté aux femmes d'un point de vue médical », lâchait en 2005 Gian-Franco Kasper, le président de la Fédération internationale de ski… Sauter, se jeter dans les airs, cela était considéré comme bien trop dangereux pour de fragiles guiboles féminines. Certains expliquant même que la décharge de sensations fortes pouvait les rendre stériles… En 1991, le CIO décide enfin que tout nouveau sport doit proposer des épreuves féminines. Presque parfait. Ce n'est qu'en 2014 et les Jeux Olympiques d'hiver à Sotchi que les femmes prennent place pour la première fois en haut des rampes. Alors qu'en 1924, il était déjà autorisé aux hommes. 90 ans d'attente donc. Et comme rien n'est jamais tout rose, en 2022, à Pékin, la FIS a été accusée de « détruire le saut à ski féminin » par l'Allemande Katharia Althaus, vice-championne olympique, disqualifiée comme 4 autres concurrentes pour une combinaison non conforme. Le tout alors qu'aucune concurrente n'avait été disqualifiée lors de l'épreuve individuelle, et aucun homme n'a été disqualifié lors de l'épreuve mixte. Pour le vol à ski, dérivé du saut ou les athlètes volent à plus de 100km/h sur plus de 200 m en l'air, ce n'est qu'à la Coupe du monde 2022/23 que les femmes participeront. Et là encore, c'est encadré, puisque seules celles qui sont majeures peuvent y aller. Pourtant la Slovénie, le Japon, l'Autriche et l'Allemagne avaient posé leur veto. D'ailleurs, cette épreuve ne rentrera pas dans le cadre officiel de la Coupe du monde à cause de la limitation du nombre de sauteuses. Un long combat contre les préjugés pas totalement remporté donc. LA BOXE : SPORT TROP DANGEREUX ? Jugée trop dangereuse, la boxe n'est autorisée aux femmes qu'à partir de 1998. Et si quelques mois auparavant elle est reconnue comme discipline féminine par l'Association internationale de boxe amateur (AIBA), il n'existe toujours pas de compétitions officielles. Pour cela, il faudra encore patienter 3 ans et 2002 pour voir apparaître les premiers championnats du monde féminins. Pour les JO, ce n'est que depuis 2012 et les olympiades de Londres, que les femmes peuvent monter sur un ring. Aujourd'hui, elles sont près de 8 000 licenciées en France selon la FFBoxe. LE CANOË : UN RISQUE POUR DE FUTURES GROSSESSES ? Le canoë a longtemps été interdit aux femmes aux JO. Et cela pour une raison bien particulière. « Concourir à genoux déformerait le bassin et pourrait engendrer des risques pour de futures grossesses », a expliqué Sylvain Landa, historien du sport pour Ouest France. Jusqu'à peu, les femmes ne pouvaient se battre pour l'or qu'en kayak. L'ouverture de ce sport aux femmes ne s'est fait que lors des jeux de 2020, 100 ans après les hommes.Il était peut-être temps. Corps trop frêle, pratiques trop violentes, santé trop fragile… tous les prétextes ont été bons pour interdire aux femmes de pratiquer certains sports.La lutte gréco-romaine est par exemple aujourd'hui toujours interdite aux femmes en compétition. Le combiné nordique (saut à ski et ski de fond) reste lui aussi exclusivement masculin aux JO. Le saut féminin, sur grand tremplin, fera son apparition pour les femmes pour la première fois en 2026…En 1936, Pierre de Coubertin continue de se montrer bien trop hostile à la participation des femmes aux Jeux. « Le seul véritable héros olympique, je l'ai dit, c'est l'adulte mâle individuel. Par conséquent, ni femmes ni sports d'équipes », avait-il lancé. Pourtant les sportifs masculins sont aussi victimes de discriminations. La natation synchronisée et la gymnastique rythmique ne sont pas proposés aux hommes aux JO en raison, d'après le Comité International Olympique, d'un nombre trop peu important de participants. Il y aura donc du travail avant d'atteindre cette fameuse parité aux JO 2024 et 2026 à Paris et Milan. Lire la suite sur sport.fr

Jeudi 21 novembre 2024
19:51 -

France - Argentine de rugby, pour finir sur une bonne note

Lecture zen Dernière séance d'entraînement sous la neige jeudi pour les sélectionnés tricolores. Il va falloir s'adapter aux conditions météos. - AFPDans cette tournée d'automne, pour les Français, les matches de novembre sont en grande partie une réussite qu'une défaite ne viendrait pas gâcher, mais tout de même assombrir. Ce petit point d'avance (30-29) face à la Nouvelle-Zélande permet de voir le verre à moitié plein, après un Tournoi 2024 terminé deuxième, mais qui avait entraîné des critiques sur le jeu des Bleus. « Je vous trouve dur sur 2024 », a répondu Fabien Galthié. « Pour le moment nous sommes la meilleure nation européenne » sur l'année, la France n'ayant subi que deux défaites, tout comme l'Irlande, contre sept pour l'Angleterre». « C'est une année de transition post-Coupe du monde qui est à la fois très riche et très difficile à traverser » Fabien Galthié., Sélectioneur du XV de France Parmi ces deux défaites, se trouve notamment l'Argentine, le 13 juillet (33-25), dans un contexte lourd après l'arrestation d'Hugo Auradou et d'Oscar Jegou, qui toujours inculpés pour viol aggravé. La belle victoire lors du premier test-match en Argentine (28-13) a aussi été éclipsée par les dérives hors du terrain. Concurrence Ce constat est vrai pour quelques joueurs qui ont subi un net déclassement, le dernier en date étant le troisième ligne centre Grégory Alldritt, même pas dans le groupe, alors qu'il avait joué le Tournoi en tant que capitaine. Matthieu Jalibert, déclassé dans la hiérarchie des ouvreurs, n'a lui même pas fait la dernière semaine à Marcoussis pourrait à la place jouer samedi à Vannes, avec son club de l'Union Bordeaux-Bègles. Le troisième ligne Charles Ollivon, pas dans le groupe contre le Japon puis remplaçant face à la Nouvelle-Zélande, est lui de retour comme titulaire, preuve que les rétrogradations ne sont pas un chemin sans retour. « On arrive tous à prendre conscience du fait qu'il y a beaucoup de monde à tous les postes, du fait aussi que ce n'est pas forcément des punitions ou des choses définitives, qu'il faut aller de l'avant, s'accrocher, ne pas lâcher et que les portes finissent par se rouvrir derrière » a soulignéson binôme de chambre Gabin Villière. Il le sait bien : titulaire aux deux premiers matches du Mondial-2023, il n'a porté de nouveau le maillot bleu qu'un an après contre la Nouvelle-Zélande. L'année a permis aussi l'éclosion de nouveaux joueurs, comme Louis Bielle-Biarrey et Paul Boudehent, trois essais chacun en novembre et qui seront titulaires. Les Bleus n'ont eu que six jours de récupération, un de moins que l'Argentine, après deux matches très énergivores, avec plus de 200 plaquages réalisés à chaque fois. Les Français connaissent notamment les Argentins du Top 14, dont l'arrière Juan Cruz Mallia, auteur d'un spectaculaire essai contre l'Irlande et d'une année 2024 de grande qualité avec le Stade toulousain. Dix joueurs du Top 14 sont sur la feuille de match d'une équipe qui a très peu Lire la suite sur lunion.fr

15:59 -

Les grandes affaires du rugby : Eben Etzebeth, une virée nocturne qui aurait pu coûter cher

En août 2019, à la veille de partir pour la Coupe du Monde au Japon, Eben Etzebeth fit face à de graves accusations au sujet d’une bagarre de bistrot. Sa carrière aurait pu en souffrir, mais il a à ce jour échappé à... Lire la suite sur rugbyrama.fr

Samedi 16 novembre 2024
23:52 -

Rugby : le XV de France arrache une troisième victoire de suite contre les All Blacks

C’est un match qui a les ingrédients pour être aussi fondateur que la victoire de 2021 (40-25). Car après la démonstration contre le Japon (52-12), cette victoire nettement plus marquante permet d’effacer une partie des doutes nés des prestations après la Coupe du monde, lors du Tournoi des six nations. Et offre quelques certitudes en vue de 2027.Les Bleus ont eu du coeur car les All Blacks, sa... Lire la suite sur lavoixdunord.fr

08:30 -

Rugby. Des Blacks dominants, la première de Buros… les enjeux de France-Nouvelle-Zélande

Après sa victoire facile face au Japon samedi dernier, le XV de France reçoit la Nouvelle-Zélande, finaliste de la Coupe du monde, samedi au Stade de France lors du deuxième match de la tournée d'automne (21h10). Voici le décryptage de ce choc. Lire la suite sur bienpublic.com

06:05 -

Rugby - Test-matches. Japon, Tonga, Etats-Unis, Uruguay...Quatre nations nouvelles générations à Chambéry

C'est le jour J au Chambéry Savoie Stadium pour les deux test-matches internationaux d'automne enchaînés entre quatre formations du Top 20 mondial. Japon et Uruguay ouvriront le bal (14 h 30), lancés, comme les Tonga et les États-Unis à 17 h30, dans un rajeunissement de leurs cadres afin de bien figurer lors de la prochaine Coupe du monde en 2027. Lire la suite sur ledauphine.com

Vendredi 15 novembre 2024
20:00 -

Rugby. Tournée d'automne : les Bleus au révélateur des All Blacks

Après sa balade face au Japon, le XV de France s’attaque à du très lourd ce samedi (21h10) avec la réception au Stade de France de la Nouvelle-Zélande, finaliste de la dernière Coupe du monde et toujours invaincue depuis le début de sa tournée européenne. Un choc qui devrait permettre aux Bleus de savoir où ils en sont vraiment. Lire la suite sur lejsl.com

16:27 -

Le XV de France vise la passe de trois contre la Nouvelle-Zélande

Lecture zen Un sacré baptême du feu que celui que s'apprête à vivre Romain Buros, l'un des choix forts de Fabien Galthié. - AFPEn 2021, la victoire flamboyante de la France aux dépens de la Nouvelle-Zélande (40-25) avait été un moment marquant du mandat de Fabien Galthié, annonçant une année 2022 exceptionnelle, que la sélection avait achevée invaincue, Grand Chelem à la clé lors du Tournoi des Six nations. Celle de 2023, en ouverture de la Coupe du monde dans l'Hexagone, avait été conquise dans la douleur (27-13), annonciatrice de certaines lacunes, notamment en défense. Des faiblesses qui allaient coûter cher dès le quart de finale, perdu (28-29) devant l'Afrique du Sud, future lauréate de l'épreuve planétaire. Un succès aux dépens des All Blacks version 2024, aujourd'hui (21 h 10) à Saint-Denis, offrirait quelques certitudes à des Bleus impuissants lors du Tournoi face à l'Irlande (38-17), mis en échec par l'Italie (13-13), vainqueurs de l'Angleterre (33-31) en tremblant et toujours en recherche d'un match référence cette année. La partie trop facile contre le Japon, éparpillé (52-12) le week-end passé, n'a pas pu donner beaucoup d'enseignements mais a servi de « match de préparation », des mots mêmes de Galthié, avec quelques bribes d'un jeu davantage porté sur la possession du ballon qu'auparavant. La leçon pourrait prendre une autre tournure face aux Blacks, « une équipe en train de régler ses comptes après avoir vécu certaines années difficiles. Ils veulent reprendre le leadership mondial », a prévenu le technicien des Bleus, jeudi à Marcoussis (Essonne), en annonçant la composition d'équipe. « Ça fait longtemps qu'on n'a pas joué les All Blacks à ce niveau-là. Le défi est immense... » Fabien Galthié Finalistes malheureux du dernier Mondial, 2es du Rugby Championship, les hommes de Scott Robertson semblent avoir trouvé la bonne carburation cet automne. Implacables dans le combat, redoutables d'efficacité sur leurs ballons d'attaque, les Néo-Zélandais ont rappelé qu'il ne fallait pas les enterrer trop vite, gagnant avec autorité en terrain anglais (22-24) et sur le sol irlandais (13-23). La Nouvelle-Zélande est « capable de répondre à toutes les formes de rugby, c'est une équipe qui est très bonne sur les phases de conquête pure, dans le combat, sur le jeu au sol, le jeu aérien, et avec toujours autant de vitesse », a énuméré Galthié. « Ça fait longtemps qu'on n'a pas joué les All Blacks à ce niveau-là. Le défi est immense. » Comme celui qui se présente à Romain Buros, balancé dans le grand bain pour sa première cape, un des choix majeurs de Galthié que ce match doit valider. Ce dernier a écarté les inquiétudes sur ce saut dans l'inconnu, plutôt que de reconduire Léo Barré. Cette rencontre, Matthieu Jalibert aurait forcément aimé la disputer. Rentré à Bordeaux, l'ouvreur de l'UBB ne sera pas sur la feuille, autre décision forte. La lourde tâche d'occuper l'ouverture face à Beauden Barrett (132 sélections, meilleur joueur du monde Lire la suite sur lunion.fr

Mercredi 13 novembre 2024
14:35 -

XV de France : Costes blessé à l’entraînement, Flament de retour

Touché ce mercredi à l’entraînement, Paul Costes ne sera pas de la partie ce week-end face aux All Blacks. Lors de l'entraînement de mercredi à Marcoussis, Paul Costes, le trois-quarts centre du Stade Toulousain, a dû quitter le terrain prématurément en raison d’une blessure à la cheville. Positionné au centre lors de l'opposition entre les 42 joueurs du XV de France, Costes a été touché dès la première action, nécessitant l'intervention du staff médical. Malgré un premier soin au bord du terrain, il a dû renoncer à poursuivre l’entraînement. La gravité de sa blessure n’est pas encore confirmée, mais son retour pour la reprise du Top 14 contre Perpignan reste incertain. En revanche, Thibaud Flament, également surveillé pour une blessure subie face au Japon, a pu participer à l'intégralité de l'entraînement sans problème. Ménagé en début de semaine, il a affirmé en conférence de presse que les soins reçus avaient porté leurs fruits, le rendant disponible pour le match crucial contre la Nouvelle-Zélande (samedi à 21h10). La composition finale du XV de France sera annoncée ce jeudi à 11h, avec Flament espéré dans le XV de départ, aux côtés de Buros, Villière, Fickou et Dupont. Le XV de France probable contre la Nouvelle-Zélande :  Buros – Villière, Fickou, Moefana, Bielle-Biarrey – Ramos, Dupont – Roumat, Alldritt, Boudehent – Meafou, Flament – Tatafu, Mauvaka, Gros 🇫🇷 🇳🇿 Le 6 octobre 2007, la France retrouve la Nouvelle-Zélande en ¼ de finale de la coupe du monde à Cardiff.Au terme d'un match d'anthologie, le #XVdeFrance l'emporta sur le fil 20 à 18, et s'offrît un des plus gros exploits de l'histoire de notre équipe 🤩🙌 Du haka, au… pic.twitter.com/COqwL7q6dd— France Rugby (@FranceRugby) November 13, 2024 Lire la suite sur sport.fr

Dimanche 10 novembre 2024
17:10 -

Isabelle Ithurburu, le changement radical

Un an après avoir animé l'émission de la Coupe du monde de rugby sur TF1, Isabelle Ithurburu a retrouvé l'équipe de France d'Antoine Dupont, samedi lors du match contre le Japon, en présentant la rencontre depuis le terrain du Stade de France. Lire la suite sur sports.fr

06:08 -

XV de France - Les bleus mettent le Japon à terre

Un an après leur élimination en quart de finale de Coupe du monde de rugby et après un été catastrophique, les Bleus ont réussi leur retour au Stade de France samedi soir. Ils se sont imposés largement et facilement 52 à 12 face au Japon. Lire la suite sur francebleu.fr

Samedi 09 novembre 2024
19:10 -

En direct, France-Japon : suivez la première journée de la tournée d’automne de rugby

Un an après sa cruelle élimination en quarts de finale de la Coupe du monde, le XV de France retrouve la pelouse du Stade de France, samedi. Les hommes de Fabien Galthié affrontent les Brave Blossoms d’Eddie Jones. Lire la suite sur lemonde.fr

17:10 -

Rugby / France-Japon : "Un nouveau cycle s'ouvre" affirme Michalak

Le XV de France accueille le Japon, ce samedi soir en ouverture de l'Automn Nation Series. L'ancien ouvreur des Bleus (et actuel coach des arrières du Racing 92) Frédéric Michalak pense que le XV de France doit viser les 3 victoires pour ce nouveau cylce vers la coupe du monde 2027. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

13:11 -

Le Stade de France sera loin d'être plein pour le match du XV de France contre le Japon !

Le XV de France va enfin renouer avec le Stade de France. Le dernier match des Bleus disputé dans le Stade de France remonte à il y a un peu plus d'un an. C'était le quart de finale de Coupe du monde perdu contre l'Afrique du Sud. Depuis, les Bleus ont joué leur Tournoi des ... Lire la suite sur blog-rct.com

12:13 -

France-Japon: à quelle heure et sur quelle chaine regarder le test-match des Bleus

Après un Tournoi des VI Nations 2024 décevant puis une tournée en Amérique du Sud cauchemardesque, le XV de France d'Antoine Dupont veut lancer samedi contre le Japon un nouveau cycle avec déjà la Coupe du monde 2027 dans un coin de la tête. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

11:15 -

XV de France : pourquoi les matchs de novembre sont diffusés sur TF1

La chaîne, qui était déjà le principal diffuseur de la dernière Coupe du monde de rugby, il y a un an, continue de miser sur le ballon ovale avec les trois test-matchs du XV de France en novembre, contre le Japon, la Nouvelle-Zélande et l’Argentine. Lire la suite sur leparisien.fr

09:15 -

Rugby : plus d'un an après son dernier match, Antoine Dupont retrouve le XV de France avec beaucoup d'appétit

Le XV de France affronte ce samedi soir le Japon, au Stade de France, pour débuter la tournée d'automne. Une tournée durant laquelle les Bleus affronteront la Nouvelle-Zélande et l'Argentine. Plus d'un an après son dernier match, un quart de finale perdu face à l'Afrique du Sud en Coupe du monde, Antoine Dupont retrouve la sélection avec beaucoup d'appétit.  Lire la suite sur europe1.fr

09:05 -

Rugby - Autumn Nations Series. France - Japon : le XV de France doit lancer son histoire

Au crépuscule d'une année 2024 mitigée sportivement et marquée par des troubles extra-sportifs durant l'été, les Bleus retrouvent le Stade de France ce samedi (21h10) pour défier le Japon. Une rencontre qui doit permettre au XV de France de lancer enfin son nouveau cycle, à trois ans de la Coupe du monde. Lire la suite sur ledauphine.com

08:30 -

Rugby - Autumn Nations Series. Le XV de France a le regard tourné vers l’avenir

Au crépuscule d’une année 2024 mitigée sportivement et marquée par des troubles extra-sportifs durant l’été, les Bleus retrouvent le Stade de France ce samedi (21h10) pour défier le Japon. Une rencontre qui doit permettre au XV de France de lancer enfin son nouveau cycle, à trois ans de la Coupe du monde. Lire la suite sur lejsl.com

08:30 -

Rugby - Autumn Nations Series. Le XV de France a le regard tourné vers l'avenir

Au crépuscule d'une année 2024 mitigée sportivement et marquée par des troubles extra-sportifs durant l'été, les Bleus retrouvent le Stade de France ce samedi (21h10) pour défier le Japon. Une rencontre qui doit permettre au XV de France de lancer enfin son nouveau cycle, à trois ans de la Coupe du monde. Lire la suite sur republicain-lorrain.fr

06:00 -

France - Japon : pour les Bleus, c'est une nouvelle histoire qui commence

Après une saison post-Coupe du monde en demi-teinte, ponctuée par l'affaire de Mendoza, cette tournée automnale qui commence ce samedi soir face au Japon doit lancer la dynamique vers 2027 Lire la suite sur sudouest.fr

Vendredi 08 novembre 2024
19:00 -

Rugby. Antoine Dupont : « Il s’est passé beaucoup de choses depuis la Coupe du monde... »

Un an après l’élimination de la Coupe du monde, Antoine Dupont retrouve les Bleus, le capitanat et le Stade de France, où il a décroché l’or aux JO. À la veille du match face au Japon (ce samedi, 21h10), il est revenu sur son retour, très attendu, en se projetant sur le cycle de trois ans qui s'ouvre. Lire la suite sur lejsl.com

19:00 -

Rugby. Antoine Dupont : « Il s'est passé beaucoup de choses depuis la Coupe du monde... »

Un an après l'élimination de la Coupe du monde, Antoine Dupont retrouve les Bleus, le capitanat et le Stade de France, où il a décroché l'or aux JO. À la veille du match face au Japon (ce samedi, 21h10), il est revenu sur son retour, très attendu, en se projetant sur le cycle de trois ans qui s'ouvre. Lire la suite sur republicain-lorrain.fr

17:40 -

XV de France – Dupont : “Le but ultime reste la Coupe du monde”

De passage en conférence de presse ce vendredi, Antoine Dupont a répondu à de nombreuses questions avant France – Japon (samedi à 21h10). Sur son association avec Thomas Ramos : “C’est un joueur différent de Romain (Ntamack), mais dans l’identité de jeu qu’on prône à Toulouse et ici, il y a beaucoup de similitudes. Je ne suis pas inquiet. Ça se passera très bien demain.” Sur ce qu’il a appris avec l’équipe de France à 7 : “Il y a beaucoup de similitudes. Même si c’est une discipline différente, beaucoup de choses sont pareilles. J’ai retrouvé certains choses que j’avais délaissées, le jeu de duel, le jeu dans les espaces. J’étais moins à l’aise au début. Il y a aussi tout le jeu de ruck. J’ai dû mettre l’accent dessus et je pense que ça m’a servi à mon retour à XV.” Sur sa motivation après avoir tout gagné : “C’est instinctif, quelque chose que j’ai en moi. Quand je suis sur le terrain j’ai envie de gagner. J’ai encore des objectifs à aller chercher. J’ai du mal à concevoir le fait d’être moyen ou pas bon, donc je mets tous les ingrédients nécessaires.” Sur son statut après les JO : “Dans mon quotidien de club, il n’y a pas vraiment de changements. Ils étaient contents pour un pote. Dans la rue, la notoriété a grandi, on sait l’ampleur des JO. Ça a un petit peu changé mais ça n’a pas été une révolution non plus, j’avais déjà une notoriété assez présente avant.” Sur la nouvelle charte du XV de France : “C’était déjà le cas avant. Quand on représente l’équipe de France, on sait qu’on a une image publique à tenir et des responsabilités, que ce soit sur le terrain ou en dehors. Il n’y a pas vraiment de changements sur ça. Il y aura juste plus de clarté sur ce qu’on a le droit de faire ou ne pas faire, des moments qui seront choisis pour être des moments de convivialité ou non. On a tout de suite été aligné là-dessus, ça s’est fait naturellement.” Sur son premier match avec les Bleus depuis la Coupe du monde : “On est dans contexte différent par rapport à la Coupe du monde. On est dans un nouveau cycle avec de nouveaux objectifs et la motivation de gagner les matchs et de prendre du plaisir. Tout le monde a été frustré du Tournoi des VI Nations malgré la deuxième place. On sait les ingrédients qu’il faut mettre pour prendre du plaisir. J’espère que ça se verra dès demain.” Sur l’objectif de la Coupe du monde 2027 : “A chaque fois, le but ultime reste la Coupe du monde. On a l’expérience pour se dire que ce qu’on travaille aujourd’hui est dans le but d’être performant dans trois ans. On sent une nouvelle énergie, un nouveau staff, pas mal de nouveaux joueurs qui commencent presque à nous faire sentir vieux.” Sur sa longue période sans jouer cet été : “Il y a quasiment quatre semaines où je n’ai rien fait après les Jeux. Après, c’était plus du ludique, jouer avec mes potes, faire quelques entraînements avec le club quand j’étais de passage à Toulouse. Les deux dernières semaines avant de rentrer en France j’avais un gros programme. J’ai fait en sorte d’être le mieux possible et ça s’est plutôt bien passé.” 🔥😍 Samedi, vos Bleus 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 au @StadeFrance ! 🇫🇷🇯🇵#XVdeFrance #NeFaisonsXV #FRAJPN pic.twitter.com/GrycYXve2z— France Rugby (@FranceRugby) November 7, 2024 Lire la suite sur sport.fr

16:56 -

"On a une image publique et des responsabilités": le capitaine Dupont réagit à la nouvelle charte du XV de France

De retour sous le maillot du XV de France pour la première fois depuis la Coupe du monde 2023, ce samedi face au Japon (21h10), Antoine Dupont a réagi à l'instauration d'une nouvelle charte pour encadrer le comportement de l'équipe de France de rugby. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Jeudi 07 novembre 2024
16:34 -

XV de France : Fabien Galthié change de cap pour rallier la Coupe du monde 2027

Le sélectionneur a renoncé à sa théorie de l’équipe premium et écarté certains cadres pour lancer des jeunes face au Japon. Son nouveau mantra : l’émulation. Lire la suite sur lefigaro.fr