L'arbitre appelle la vidéo... par téléphone : scène insolite lors de la Coupe de monde U20 de rugby
Scène insolite lors du match Afrique du Sud-Australie à la Coupe du monde U20 : l'arbitre japonais Katsuki Furuse a été contraint d'appeler son assistant à la vidéo par téléphone, à cause d'un bug de micro. Lire la suite sur lequipe.fr
L'arbitre appelle la vidéo… par téléphone - Rugby - Coupe du monde U20
Scène insolite lors du match Afrique du Sud-Australie à la Coupe du monde U20 : l'arbitre japonais Katsuki Furuse a été contraint d'appeler son assistant à la vidéo par téléphone, à cause d'un bug de micro. - sports.orange.fr Lire la suite sur sport.orange.fr
Nouvelle-Zélande : Savea quitte les Moana Pasifika et file au Japon
Ardie Savea va retourner au Japon, un an après son départ des Kobelco Kobe Steelers. Le troisième-ligne des All Blacks va revenir en 2027, avant la Coupe du monde. Lire la suite sur quinzemondial.com
Le Stade Toulousain prolonge le bail de Naoto Saito (off.)
Le Japonais, Naoto Saito vient de prolonger son contrat avec le Stade Toulousain jusqu'en juin 2026. Bonne nouvelle pour le Stade Toulousain qui vient d'annoncer la prolongation de contrat de son demi de mêlée international japonais, Naoto Saito. Ce dernier étend ainsi son bail jusqu'en juin 2026 et il aura la lourde tâche de remplacer Antoine Dupont en début de saison prochaine. La star des Bleus victime d'une rupture des ligaments croisés du genou droit en mars en début de saison prochaine. Auteur de bonnes prestations depuis son arrivée, il est logiquement récompensé, lui qui a disputé 19 rencontres cette saison, la plupart du temps comme remplaçant. Naoto Saito compte 21 sélections avec le Japon, avec qui il a pris part à la dernière Coupe du monde, comme titulaire au poste de demi de mêlée... https://twitter.com/StadeToulousain/status/1930596418902745253 Lire la suite sur sport.fr
Boxe, golf, canoë… Découvrez ces sports étaient encore interdits aux femmes il y a peu de temps
« Une olympiade femelle serait impratique, inintéressante, inesthétique et incorrecte. » « Femelle » donc… Ce sont les mots, rédigés en français, avec l'aval de ce bon vieux Pierre de Coubertin, le rénovateur des Jeux Olympiques en 1912 sur le compte-rendu officiel de l'édition de Stockholm. Des mots d'une misogynie terrible qui ne sont finalement pas si indissociables de l'actualité moderne. Malheureusement. Dans ces prochaines lignes, vous allez découvrir que certains sports étaient simplement interdits aux femmes il y a encore très peu de temps. Et parfois, les raisons sont très « limite ». PAR RUBEN DIAS. Extrait du WOMEN SPORTS N°31. LE GOLF : LADIES FORBIDDEN ? Inventé en Écosse au cours du XVe siècle, le golf était le sport interdit aux femmes par excellence. Et cela, dès son nom. Le mot « golf » tirerait ses origines d'un acronyme : « Gentlemen Only, Ladies Forbidden », ce qui signifie « Messieurs seulement, femmes interdites ». Bon, ne rêvassez pas trop puisque cette légende urbaine est totalement fausse. Selon le Scottish Golf History, le nom du sport serait plutôt un dérivé d'un vieux mot signifiant « club ». D'ailleurs, avant la création des dictionnaires, il n'existait aucune orthographe standardisée pour ce mot. Les gens écrivaient phonétiquement : Goff, gowf, golf, goif, goiff, gof, gowfe, gouff et golve. Rien à voir aux premiers abords avec une éventuelle interdiction à la gente féminine. D'ailleurs, la première mention sur des femmes jouant au golf se trouve à Bruntsfield Links en 1738… En compétitions officielles pourtant, il a fallu attendre 1990, avant que le golf ne soit officiellement ouvert à ces dernières… La définition d'une blague qui a mal tourné ? LE RUGBY : INTERDIT POUR « PRÉSERVER LA DIGNITÉ DES FEMMES » Pays de l'Ovalie, la France est une pionnière du rugby. Mais si aujourd'hui, selon les chiffres de la fédération, il y a plus de 26 000 joueuses dans le pays, les femmes n'avaient pas le droit de le pratiquer avant les années 20. Précédemment, il était pratiqué de manière clandestine. À cette époque, la docteure en médecine Marie Houdré adapte les règles du rugby pour les femmes. Pourtant, une campagne de presse juge ce sport « inadapté à la morphologie des femmes qui étaient censées devenir des bonnes mères », explique notamment la journaliste Isabelle Collombat dans des propos repris par France Inter. Pour la société, ce sport ne correspond pas à l'image de la femme. D'ailleurs, Suzanne Lenglen, la championne de tennis, elle-même, disait que « ce n'était pas esthétique, pas beau pour les femmes »… Il faudra attendre les années 60 pour que cette vision change. Des étudiantes lyonnaises organisent un événement d'ampleur en proposant aux joueuses de Bourg-en-Bresse de disputer un match et l'événement sera un succès. Le secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports, Marceau Crespin, par le biais d'une lettre au préfet, envoyée dans toute la France, demande de faire en sorte que toutes les infrastructures ne soient pas mises à disposition des femmes… Dis-moi que tu me l'interdis, sans me dire que tu l'interdis. Le rugby féminin se démocratise ensuite comme une activité clandestine. « Les joueuses jouent dans les champs et se lavent dans les rivières, faute de vestiaires », toujours selon Isabelle Collombat. C'est autour de Bourg-en-Bresse, berceau du rugby féminin que les femmes s'organisent, et réalisent même un championnat malgré l'interdiction. Et si aujourd'hui tout cela semble de l'histoire très ancienne, la fédération française de rugby mettra du temps à l'accepter. « Même en 2014, quand la France doit organiser la Coupe du monde de rugby, la fédération n'est pas très enthousiaste », conclut Isabelle Collombat… En 2017, les îles Tonga ont interdit aux filles le rugby, et la boxe, afin de « préserver la dignité des Tongiennes »… Comme quoi, il y a encore du chemin. L'HALTÉROPHILIE AU FÉMININ Les premiers émois de l'haltérophilie féminine datent notamment d'une certaine Pudgy Stockton aux USA dans les années 40. En France, et si ce sport fait parler de lui dès 1840, la pratique ne s'ouvre aux femmes que dans les années 1980. En 1989, elles sont trois-cents à le pratiquer en compétition. En 2016, la fédération comptait environ 31 590 licenciés dont 35% de femmes, en 2022, le constat est une augmentation à 40% selon les chiffres de Sports.Gouv.fr. En compétition officielles, et notamment aux JO, il a fallu attendre 2000 et l'édition de Sydney, pour voir l'haltérophilie, réservée jusqu'alors aux hommes, s'ouvrir aux femmes. LE SAUT À SKI : HISTORIQUEMENT MASCULIN « Ce n'est pas adapté aux femmes d'un point de vue médical », lâchait en 2005 Gian-Franco Kasper, le président de la Fédération internationale de ski… Sauter, se jeter dans les airs, cela était considéré comme bien trop dangereux pour de fragiles guiboles féminines. Certains expliquant même que la décharge de sensations fortes pouvait les rendre stériles… En 1991, le CIO décide enfin que tout nouveau sport doit proposer des épreuves féminines. Presque parfait. Ce n'est qu'en 2014 et les Jeux Olympiques d'hiver à Sotchi que les femmes prennent place pour la première fois en haut des rampes. Alors qu'en 1924, il était déjà autorisé aux hommes. 90 ans d'attente donc. Et comme rien n'est jamais tout rose, en 2022, à Pékin, la FIS a été accusée de « détruire le saut à ski féminin » par l'Allemande Katharia Althaus, vice-championne olympique, disqualifiée comme 4 autres concurrentes pour une combinaison non conforme. Le tout alors qu'aucune concurrente n'avait été disqualifiée lors de l'épreuve individuelle, et aucun homme n'a été disqualifié lors de l'épreuve mixte. Pour le vol à ski, dérivé du saut ou les athlètes volent à plus de 100km/h sur plus de 200 m en l'air, ce n'est qu'à la Coupe du monde 2022/23 que les femmes participeront. Et là encore, c'est encadré, puisque seules celles qui sont majeures peuvent y aller. Pourtant la Slovénie, le Japon, l'Autriche et l'Allemagne avaient posé leur veto. D'ailleurs, cette épreuve ne rentrera pas dans le cadre officiel de la Coupe du monde à cause de la limitation du nombre de sauteuses. Un long combat contre les préjugés pas totalement remporté donc. LA BOXE : SPORT TROP DANGEREUX ? Jugée trop dangereuse, la boxe n'est autorisée aux femmes qu'à partir de 1998. Et si quelques mois auparavant elle est reconnue comme discipline féminine par l'Association internationale de boxe amateur (AIBA), il n'existe toujours pas de compétitions officielles. Pour cela, il faudra encore patienter 3 ans et 2002 pour voir apparaître les premiers championnats du monde féminins. Pour les JO, ce n'est que depuis 2012 et les olympiades de Londres, que les femmes peuvent monter sur un ring. Aujourd'hui, elles sont près de 8 000 licenciées en France selon la FFBoxe. LE CANOË : UN RISQUE POUR DE FUTURES GROSSESSES ? Le canoë a longtemps été interdit aux femmes aux JO. Et cela pour une raison bien particulière. « Concourir à genoux déformerait le bassin et pourrait engendrer des risques pour de futures grossesses », a expliqué Sylvain Landa, historien du sport pour Ouest France. Jusqu'à peu, les femmes ne pouvaient se battre pour l'or qu'en kayak. L'ouverture de ce sport aux femmes ne s'est fait que lors des jeux de 2020, 100 ans après les hommes.Il était peut-être temps. Corps trop frêle, pratiques trop violentes, santé trop fragile… tous les prétextes ont été bons pour interdire aux femmes de pratiquer certains sports.La lutte gréco-romaine est par exemple aujourd'hui toujours interdite aux femmes en compétition. Le combiné nordique (saut à ski et ski de fond) reste lui aussi exclusivement masculin aux JO. Le saut féminin, sur grand tremplin, fera son apparition pour les femmes pour la première fois en 2026…En 1936, Pierre de Coubertin continue de se montrer bien trop hostile à la participation des femmes aux Jeux. « Le seul véritable héros olympique, je l'ai dit, c'est l'adulte mâle individuel. Par conséquent, ni femmes ni sports d'équipes », avait-il lancé. Pourtant les sportifs masculins sont aussi victimes de discriminations. La natation synchronisée et la gymnastique rythmique ne sont pas proposés aux hommes aux JO en raison, d'après le Comité International Olympique, d'un nombre trop peu important de participants. Il y aura donc du travail avant d'atteindre cette fameuse parité aux JO 2024 et 2026 à Paris et Milan. Lire la suite sur sport.fr
Rugby : «Un événement à ne pas manquer», l'EPCR confirme le lancement d'une Coupe du monde des clubs en juin 2028
Cette nouvelle compétition réunira les huit meilleures équipes de la Champions Cup et d'autres en provenance du Super Rugby Pacific et du Japon. Lire la suite sur le figaro
Rugby : La Coupe du Monde des Clubs débarque en 2028 en Europe
Attendue depuis plusieurs mois, la Coupe du monde des clubs de rugby verra le jour en 2028. Cette nouvelle compétition rassemblera l'élite des clubs européens, sud-africains, japonais et océaniens pour un rendez-vous mondial inédit. Lire la suite sur quinzemondial.com
International-Australie: Joe Schmidt prolonge son contrat avec les Wallabies jusqu’en 2026
La Fédération australienne de rugby a confirmé ce mardi la prolongation de Joe Schmidt à la tête des Wallabies jusqu’en 2026. Cette décision surprenante intervient alors que Les Kiss, l’actuel entraîneur des Reds, a été nommé pour prendre la relève lors de la Coupe du monde 2027, après la fin de la saison de Super […] Publications similaires : Transfert Top 14-RCT: Matthias Halagahu prolonge son contrat jusqu'en 2027 Le Rugby Club Toulonnais a annoncé la prolongation de contrat... Transfert Top 14: Clermont renforce son effectif avec cinq nouvelles recrues Des renforts pour l’ASM Clermont L’ASM Clermont Auvergne a officialisé... Transferts Top 14-UBB: Cyril Cazeaux prolonge son aventure jusqu’en 2029 Dans une annonce qui ravira les supporters de l’Union Bordeaux-Bègles... W6N: La composition des bleues avec le grand chelem en vue Les Bleues visent la victoire en Italie Ce samedi à... Black ferns: Portia Woodman-Wickliffe sort de sa retraite internationale avec la Coupe du monde en vue À 33 ans, la joueuse néo-zélandaise Portia Woodman-Wickliffe a annoncé... Super Rugby: Harry Potter (Western Force) brille avec un essai rapide et audacieux Lors de la 11e journée de Super Rugby, le joueur... Top 14-ASM: Folau Fainga’a prolonge son aventure jusqu’en 2027 Le club de rugby de Clermont-Ferrand a annoncé la prolongation... Top 14-RCT:Swan Rebbadj prolonge jusqu’en 2028 Prolongation au Rugby Club Toulonnais Le Rugby Club Toulonnais a... Transfert Top 14-UBB: Jon Echegaray Prolonge jusqu’en 2027 Le jeune arrière de rugby Jon Echegaray a officiellement prolongé... Transferts Top 14-Bayonne: Le Wallaby Rob Leota sur les tablettes Dans un contexte de transferts agités, l’Aviron Bayonnais semble s’intéresser... Transferts Pro D2: Mont-de-Marsan s’active pour renforcer son effectif Le Stade montois, en quête de maintenir sa position en... International-All Blacks: Mark Tele’a en partance pour le Japon Mark Tele’a annonce son départ pour le Japon L’ailier néo-zélandais... Pro D2-Béziers: L’International Uruguayen Baltazar Amayae arrive L’AS Béziers Hérault a annoncé ce mardi l’arrivée de Baltazar... Santé: Comment la Boxe lutte Contre les Commotions Cérébrales Les commotions cérébrales représentent un enjeu crucial dans les sports... W6N:Les Bleues s’imposent face à l’Italie et sont toujours en course pour le grand chelem Un Match Laborieux Les Bleues ont commencé leur rencontre face... EPCR: Lyon accueillera les finales européennes en 2027 Le rugby européen se prépare à un événement marquant, alors... Transfert Top 14-Aviron Bayonnais : Emerick Setiano pour les deux prochaines saisons Ce vendredi, l’Aviron Bayonnais a annoncé une nouvelle recrue de... Economie-Top 14/Pro D2: Des pertes record pour nos clubs professionnels Pertes d’exploitation record dans le rugby français La saison 2023-2024... Lions Britanniques: Johnny Sexton rejoint le staff pour cet été L’ancien ouvreur irlandais Johnny Sexton a été nommé entraîneur adjoint... Affaire Rocky Elsom : La défense conteste la procédure de condamnation Rocky Elsom, ancien international australien de rugby et ex-président du... Lire la suite sur rugby-transferts.com
Le gros raté de Cheslin Kolbe au Japon !
Cheslin Kolbe, ailier sud-africain qui avait contré une transformation de Thomas Ramos en quart de finale de la dernière Coupe du monde, a commis une grosse bourde au moment de marquer un essai avec son équipe japonaise du Sungoliath. Une bourde comme maigre lot de consolation des supporters français amers. Cheslin Kolbe (31 ans), l'un […] L'article Le gros raté de Cheslin Kolbe au Japon ! est apparu en premier sur Minute Sports. Lire la suite sur minutesports.fr
Le gros raté de Cheslin Kolbe au Japon !
Cheslin Kolbe, ailier sud-africain qui avait contré une transformation de Thomas Ramos en quart de finale de la dernière Coupe du monde, a commis une grosse bourde au moment de marquer un essai avec son équipe japonaise du Sungoliath. Une bourde comme maigre lot de consolation des supporters français amers. Cheslin Kolbe (31 ans), l'un ... Lire la suite sur blog-rct.com
L'énorme bourde de Cheslin Kolbe, cauchemar vivant du XV de France depuis son contre sur Thomas Ramos
Cheslin Kolbe, ailier sud-africain qui avait contré une transformation de Thomas Ramos en quart de finale de la dernière Coupe du monde, a commis une grosse bourde au moment de marquer un essai avec son équipe japonaise du Sungoliath. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com
Black ferns: Portia Woodman-Wickliffe sort de sa retraite internationale avec la Coupe du monde en vue
À 33 ans, la joueuse néo-zélandaise Portia Woodman-Wickliffe a annoncé son retour sur la scène internationale, avec l’ambition de représenter les Black Ferns lors de la prochaine Coupe du monde à XV, qui se déroulera en Angleterre du 22 août au 27 septembre 2025. Après avoir pris sa retraite après les JO de Paris, sa […] Publications similaires : W6N: La composition des bleues avec le grand chelem en vue Les Bleues visent la victoire en Italie Ce samedi à... Top 14-RCT: Dan Biggar, figure emblématique du rugby gallois, annonce sa retraite Dan Biggar, l’ancien ouvreur du pays de Galles et des... Comment le Top 14 est devenu le championnat le plus compétitif du monde C'est en 2005 que le championnat de France de rugby... Transfert Top 14: Clermont renforce son effectif avec cinq nouvelles recrues Des renforts pour l’ASM Clermont L’ASM Clermont Auvergne a officialisé... International-All Blacks: Mark Tele’a en partance pour le Japon Mark Tele’a annonce son départ pour le Japon L’ailier néo-zélandais... All Blacks: Rieko Ioane rejoint le Leinster Rieko Ioane signe au Leinster Le Leinster vient de frapper... L’ancien international australien Jordan Petaia fait le grand saut et rejoint les Los Angeles Chargers en NFL L’ailier australien Jordan Petaia, qui a récemment participé à la... Top 14-USAP: Nicolas Mas et Mathieu Cidre rejoignent le staff pour la saison prochaine Ce jeudi, l’USAP (Union Sportive Arlequins Perpignanais) a annoncé des... Top 14- Stade Rochelais: Tolu Latu prolonge Jusqu’en 2026 Le Stade Rochelais a annoncé que le talonneur australien Tolu... Transferts Top 14 : Hugo N'Diaye (Stade Français) rejoint Nevers en prêt Dans un mouvement stratégique pour renforcer leur ligne de front,... Investec Champions Cup-Demi-finales : les stades dévoilés L’EPCR a confirmé les stades qui accueilleront les demi-finales de... Transferts Pro D2 : L'US Dax Accueille Naïm Ben Alla pour Deux Saisons Ce jeudi, l'US Dax a officialisé la signature de son... Transferts Top 14-UBB: Cyril Cazeaux prolonge son aventure jusqu’en 2029 Dans une annonce qui ravira les supporters de l’Union Bordeaux-Bègles... Investec Champions Cup: Northampton écrase Castres et file en demi-finale Un match à Franklin’s Gardens Les Castrais savaient qu’ils allaient... Challenge cup-Racing 92: Wame Naituvi suspendu quatre semaines Suspension de Wame Naituvi Le joueur du Racing 92, Wame... Santé: Comment la Boxe lutte Contre les Commotions Cérébrales Les commotions cérébrales représentent un enjeu crucial dans les sports... Transfert Top 14-UBB: Jon Echegaray Prolonge jusqu’en 2027 Le jeune arrière de rugby Jon Echegaray a officiellement prolongé... Top 14-Stade Toulousain: Inquiétude autour de Naoto Saito blessé à la cheville Le Stade Toulousain a remporté une victoire précieuse face au... Top 14-RC Vannes: Prolongation de Goulven Le Garrec jusqu’en 2028 Un avenir prometteur pour le RCV Le Rugby Club Vannes... Pro D2-Béziers: L’International Uruguayen Baltazar Amayae arrive L’AS Béziers Hérault a annoncé ce mardi l’arrivée de Baltazar... Lire la suite sur rugby-transferts.com
Mark Telea rejoint un club japonais et dit adieu au All-Blacks !
Séisme en Nouvelle-Zélande. L'ailier international Néo-Zélandais Mark Telea a fait le choix de quitter les Auckland Blues pour jouer avec un club japonais en 2026. Une décision qui, d'après le règlement de la Fédération néo-zélandaise, l'empêchera de disputer des matchs avec les All Blacks. Énorme coup dur en vue de la Coupe du monde 2027 pour les Blacks. Du haut de 19 sélections, 13 essais, Mark Telea était un joueur d'avenir pour la Nouvelle-Zélande. Sauf que ce dernier a annoncé sur ses réseaux quitter son club des Auckland Blues pour rejoindre le championnat japonais en 2026, sans préciser le club. Aie… "J'ai vécu une expérience extraordinaire, avec des souvenirs fantastiques et des gens extraordinaires... Mais après mûre réflexion, j'ai décidé qu'à partir de l'année prochaine je jouerai mon rugby au Japon". Une décision pouvant sembler anonyme mais qui ne l'est pas. Avec ce choix de carrière, Mark Telea ne pourra plus porter le maillot de la Nouvelle-Zélande. Le pays interdit l'équipe nationale aux joueurs qui ne sont pas sous contrat dans le pays pour pouvoir renforcer son championnat local. Il ne pourra donc plus être appelé en sélection lorsqu'il évoluera au Japon. Une règle qui lui coûtera probablement la Coupe du monde 2027. Seul petit espoir, le combat mené par le sélectionneur néo-zélandais, Scott Robertson pour mettre fin à cette obligation. Lire la suite sur sport.fr
Rugby : Mark Telea jouera au Japon en 2026
La Nouvelle-Zélande devrait être privée d'un joueur clé à la prochaine Coupe du monde. Son ailier, Mark Telea, va s'engager dès l'année 2026 au Japon et sera donc indisponible pour les All-Blacks Lire la suite sur sudouest.fr
Dan Carter : le numéro 10 parfait
Élégant, précis et décisif, Dan Carter a marqué de son empreinte l'histoire du rugby mondial. Retour sur la carrière d'un maître du jeu au pied d'or et au regard toujours tourné vers l'excellence. Dan Carter restera à jamais une légende du rugby mondial. Né le 5 mars 1982 à Southbridge, en Nouvelle-Zélande, l'ouvreur des All Blacks a marqué son époque par son élégance, sa précision au pied et son sens du jeu hors du commun. Les débuts prometteurs Carter fait ses débuts professionnels en 2002 avec les Canterbury Crusaders en Super Rugby. Très vite, il se distingue par ses qualités techniques et sa capacité à gérer le tempo d'un match. Dès 2003, il rejoint les All Blacks et s'impose rapidement comme un cadre de la sélection, à seulement 21 ans. Une carrière dorée avec les All Blacks Sous le maillot noir, Carter a disputé 112 matchs internationaux et inscrit 1 598 points dont 29 essais, un record pour un joueur néo-zélandais. Il a remporté deux Coupes du monde (2011 et 2015), bien que blessé pendant la phase finale du Mondial 2011. Son chef-d'œuvre restera la finale de la Coupe du monde 2015, où il a brillé face à l'Australie, inscrivant 19 points et menant la Nouvelle-Zélande à un troisième sacre mondial dans son histoire après 1987 et 2011. Il sera d'ailleurs élu meilleur joueur de la finale et Joueur World Rugby de l'année pour la troisième fois, après 2005 et 2012, un record égalé avec Richie McCaw. Une influence au-delà de la Nouvelle-Zélande En club, Carter a aussi marqué les esprits : multiple champion avec les Crusaders, il a tenté des expériences à l'étranger, notamment à Perpignan et au Racing 92 en France, avec qui il remporte le Top 14 en 2009 avec les Catalans et 2016 avec les Franciliens. Il a également terminé sa carrière au Kobelco Steelers (2018-2020) au Japon. Un joueur respecté, un homme admiré Au-delà de son palmarès, Dan Carter incarne le fair-play, l'humilité et l'élégance dans le rugby. Son influence dépasse le terrain, et il reste un modèle pour les générations futures. En 2021, il annonce sa retraite définitive, laissant derrière lui un héritage colossal. Dan Carter, c'est plus qu'un numéro 10. C'est un symbole de rigueur, d'intelligence et de classe, qui restera à jamais gravé dans l'histoire du rugby mondial. Pourquoi Dan Carter est le GOAT ultime du rugby #RUGBY pic.twitter.com/wSN06JlCfQ— Rugby World Cup FR 🇫🇷 (@RugbyWorldCupFR) February 6, 2025 Lire la suite sur sport.fr
Qatar, Golfe et Mondial 2035 : et si la prochaine Coupe du monde de rugby se jouait… dans le désert ?
Asia Rugby rêve en grand : après le Japon en 2019, direction le désert cette fois. Entre promesses d'infrastructures prêtes et chocs culturels à prévo... Lire la suite sur lerugbynistere.fr
RUGBY. Ce 10 électrique veut rejouer une Coupe du monde… mais pas forcément avec les All Blacks
Deux ans après son départ au Japon, Richie Mo'unga ne veut pas tirer un trait sur le rugby international. À 30 ans, l'ancien maestro des Crusaders rêv... Lire la suite sur lerugbynistere.fr
Boxe, golf, canoë… Découvrez ces sports étaient encore interdits aux femmes il y a peu
« Une olympiade femelle serait impratique, inintéressante, inesthétique et incorrecte. » « Femelle » donc… Ce sont les mots, rédigés en français, avec l'aval de ce bon vieux Pierre de Coubertin, le rénovateur des Jeux Olympiques en 1912 sur le compte-rendu officiel de l'édition de Stockholm. Des mots d'une misogynie terrible qui ne sont finalement pas si indissociables de l'actualité moderne. Malheureusement. Dans ces prochaines lignes, vous allez découvrir que certains sports étaient simplement interdits aux femmes il y a encore très peu de temps. Et parfois, les raisons sont très « limite ». PAR RUBEN DIAS. Extrait du WOMEN SPORTS N°31. LE GOLF : LADIES FORBIDDEN ? Inventé en Écosse au cours du XVe siècle, le golf était le sport interdit aux femmes par excellence. Et cela, dès son nom. Le mot « golf » tirerait ses origines d'un acronyme : « Gentlemen Only, Ladies Forbidden », ce qui signifie « Messieurs seulement, femmes interdites ». Bon, ne rêvassez pas trop puisque cette légende urbaine est totalement fausse. Selon le Scottish Golf History, le nom du sport serait plutôt un dérivé d'un vieux mot signifiant « club ». D'ailleurs, avant la création des dictionnaires, il n'existait aucune orthographe standardisée pour ce mot. Les gens écrivaient phonétiquement : Goff, gowf, golf, goif, goiff, gof, gowfe, gouff et golve. Rien à voir aux premiers abords avec une éventuelle interdiction à la gente féminine. D'ailleurs, la première mention sur des femmes jouant au golf se trouve à Bruntsfield Links en 1738… En compétitions officielles pourtant, il a fallu attendre 1990, avant que le golf ne soit officiellement ouvert à ces dernières… La définition d'une blague qui a mal tourné ? LE RUGBY : INTERDIT POUR « PRÉSERVER LA DIGNITÉ DES FEMMES » Pays de l'Ovalie, la France est une pionnière du rugby. Mais si aujourd'hui, selon les chiffres de la fédération, il y a plus de 26 000 joueuses dans le pays, les femmes n'avaient pas le droit de le pratiquer avant les années 20. Précédemment, il était pratiqué de manière clandestine. À cette époque, la docteure en médecine Marie Houdré adapte les règles du rugby pour les femmes. Pourtant, une campagne de presse juge ce sport « inadapté à la morphologie des femmes qui étaient censées devenir des bonnes mères », explique notamment la journaliste Isabelle Collombat dans des propos repris par France Inter. Pour la société, ce sport ne correspond pas à l'image de la femme. D'ailleurs, Suzanne Lenglen, la championne de tennis, elle-même, disait que « ce n'était pas esthétique, pas beau pour les femmes »… Il faudra attendre les années 60 pour que cette vision change. Des étudiantes lyonnaises organisent un événement d'ampleur en proposant aux joueuses de Bourg-en-Bresse de disputer un match et l'événement sera un succès. Le secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports, Marceau Crespin, par le biais d'une lettre au préfet, envoyée dans toute la France, demande de faire en sorte que toutes les infrastructures ne soient pas mises à disposition des femmes… Dis-moi que tu me l'interdis, sans me dire que tu l'interdis. Le rugby féminin se démocratise ensuite comme une activité clandestine. « Les joueuses jouent dans les champs et se lavent dans les rivières, faute de vestiaires », toujours selon Isabelle Collombat. C'est autour de Bourg-en-Bresse, berceau du rugby féminin que les femmes s'organisent, et réalisent même un championnat malgré l'interdiction. Et si aujourd'hui tout cela semble de l'histoire très ancienne, la fédération française de rugby mettra du temps à l'accepter. « Même en 2014, quand la France doit organiser la Coupe du monde de rugby, la fédération n'est pas très enthousiaste », conclut Isabelle Collombat… En 2017, les îles Tonga ont interdit aux filles le rugby, et la boxe, afin de « préserver la dignité des Tongiennes »… Comme quoi, il y a encore du chemin. L'HALTÉROPHILIE AU FÉMININ Les premiers émois de l'haltérophilie féminine datent notamment d'une certaine Pudgy Stockton aux USA dans les années 40. En France, et si ce sport fait parler de lui dès 1840, la pratique ne s'ouvre aux femmes que dans les années 1980. En 1989, elles sont trois-cents à le pratiquer en compétition. En 2016, la fédération comptait environ 31 590 licenciés dont 35% de femmes, en 2022, le constat est une augmentation à 40% selon les chiffres de Sports.Gouv.fr. En compétition officielles, et notamment aux JO, il a fallu attendre 2000 et l'édition de Sydney, pour voir l'haltérophilie, réservée jusqu'alors aux hommes, s'ouvrir aux femmes. LE SAUT À SKI : HISTORIQUEMENT MASCULIN « Ce n'est pas adapté aux femmes d'un point de vue médical », lâchait en 2005 Gian-Franco Kasper, le président de la Fédération internationale de ski… Sauter, se jeter dans les airs, cela était considéré comme bien trop dangereux pour de fragiles guiboles féminines. Certains expliquant même que la décharge de sensations fortes pouvait les rendre stériles… En 1991, le CIO décide enfin que tout nouveau sport doit proposer des épreuves féminines. Presque parfait. Ce n'est qu'en 2014 et les Jeux Olympiques d'hiver à Sotchi que les femmes prennent place pour la première fois en haut des rampes. Alors qu'en 1924, il était déjà autorisé aux hommes. 90 ans d'attente donc. Et comme rien n'est jamais tout rose, en 2022, à Pékin, la FIS a été accusée de « détruire le saut à ski féminin » par l'Allemande Katharia Althaus, vice-championne olympique, disqualifiée comme 4 autres concurrentes pour une combinaison non conforme. Le tout alors qu'aucune concurrente n'avait été disqualifiée lors de l'épreuve individuelle, et aucun homme n'a été disqualifié lors de l'épreuve mixte. Pour le vol à ski, dérivé du saut ou les athlètes volent à plus de 100km/h sur plus de 200 m en l'air, ce n'est qu'à la Coupe du monde 2022/23 que les femmes participeront. Et là encore, c'est encadré, puisque seules celles qui sont majeures peuvent y aller. Pourtant la Slovénie, le Japon, l'Autriche et l'Allemagne avaient posé leur veto. D'ailleurs, cette épreuve ne rentrera pas dans le cadre officiel de la Coupe du monde à cause de la limitation du nombre de sauteuses. Un long combat contre les préjugés pas totalement remporté donc. LA BOXE : SPORT TROP DANGEREUX ? Jugée trop dangereuse, la boxe n'est autorisée aux femmes qu'à partir de 1998. Et si quelques mois auparavant elle est reconnue comme discipline féminine par l'Association internationale de boxe amateur (AIBA), il n'existe toujours pas de compétitions officielles. Pour cela, il faudra encore patienter 3 ans et 2002 pour voir apparaître les premiers championnats du monde féminins. Pour les JO, ce n'est que depuis 2012 et les olympiades de Londres, que les femmes peuvent monter sur un ring. Aujourd'hui, elles sont près de 8 000 licenciées en France selon la FFBoxe. LE CANOË : UN RISQUE POUR DE FUTURES GROSSESSES ? Le canoë a longtemps été interdit aux femmes aux JO. Et cela pour une raison bien particulière. « Concourir à genoux déformerait le bassin et pourrait engendrer des risques pour de futures grossesses », a expliqué Sylvain Landa, historien du sport pour Ouest France. Jusqu'à peu, les femmes ne pouvaient se battre pour l'or qu'en kayak. L'ouverture de ce sport aux femmes ne s'est fait que lors des jeux de 2020, 100 ans après les hommes.Il était peut-être temps. Corps trop frêle, pratiques trop violentes, santé trop fragile… tous les prétextes ont été bons pour interdire aux femmes de pratiquer certains sports.La lutte gréco-romaine est par exemple aujourd'hui toujours interdite aux femmes en compétition. Le combiné nordique (saut à ski et ski de fond) reste lui aussi exclusivement masculin aux JO. Le saut féminin, sur grand tremplin, fera son apparition pour les femmes pour la première fois en 2026…En 1936, Pierre de Coubertin continue de se montrer bien trop hostile à la participation des femmes aux Jeux. « Le seul véritable héros olympique, je l'ai dit, c'est l'adulte mâle individuel. Par conséquent, ni femmes ni sports d'équipes », avait-il lancé. Pourtant les sportifs masculins sont aussi victimes de discriminations. La natation synchronisée et la gymnastique rythmique ne sont pas proposés aux hommes aux JO en raison, d'après le Comité International Olympique, d'un nombre trop peu important de participants. Il y aura donc du travail avant d'atteindre cette fameuse parité aux JO 2024 et 2026 à Paris et Milan. Lire la suite sur sport.fr
Coupe du monde 2027 – Les Tonga veulent Richie Mo’unga
Actuellement au Japon où il évolue avec la franchise des Toshiba Brave Lupus, l’ouvreur néo-zélandais Richie Mo'unga deviendra éligible à la sélection du pays de naissance de son père, les Tonga, à partir de 2026. La... Lire la suite sur rugbyrama.fr
Tournoi des Six nations de rugby : la France veut confirmer et s'affirmer face à l'Angleterre
Lecture zen Attaque/défense sur la ligne d'en-but lors de la séance d'entraînement de veille de match à Twickenham. Les Bleus ont bien l'intention de se tenir à distance de la leur et de franchir à plusieurs reprises celle des Anglais pour aplatir. - AFPL'équipe de France de rugby se rend à Londres, samedi, pour y défier l'Angleterre dans le cadre de la deuxième journée du Tournoi des Six nations avec en ligne de mire la volonté de renforcer son statut de favori dans la compétition. L'opposition sera bien plus relevée que l'échauffement face au tendre Pays de Galles (43-0) en ouverture, vendredi dernier à Saint-Denis, quand bien même la précédente visite des Bleus à Twickenham, en 2023, avait tourné au triomphe (10-53). Ce match est déjà hors des mémoires, ont assuré d'une seule et même voix les joueurs et le staff tout au long de la semaine. Dans une année impaire a priori pas favorable aux victoires dans le Tournoi pour eux, les Français ont toujours la pression de soulever un deuxième trophée depuis le début de l'ère Fabien Galthié, en 2020. Et pour s'offrir une éventuelle « finale » contre les Irlandais à Dublin lors de la quatrième levée, la route passe par une victoire chez les Anglais. Un succès permettrait aussi d'étendre la supériorité du XV de France sur celui de la Rose comme rarement : ce serait le quatrième de suite, une série réalisée seulement deux fois dans l'histoire, entre 1975 et 1979 ainsi qu'entre 1995 et 1998. Et pour retrouver la trace de deux matches gagnés consécutivement dans le temple du ballon ovale, il faut remonter à 1981 et 1983. « Notre objectif est de les laisser le plus loin de notre ligne d'en-but, donc d'aller jouer le plus haut possible » Thomas Ramos, arrière L'objectif semble atteignable pour les hommes de Galthié : leurs rivaux restent sur sept revers d'affilée devant des nations de l'élite. Cela a débuté en mars 2024 en France (33-31) et s'est poursuivi le week-end passé en Irlande (27-22). Seul le Japon, battu en juin et en novembre (52-17 et 59-14), a permis de sauver l'honneur du sélectionneur Steve Borthwick dans l'intervalle. Si la France est privée de certains cadres (Charles Ollivon, Gaël Fickou, Thibaud Flament) comme pour sa première sortie, elle récupère Damian Penaud sur l'aile. Sans Romain Ntamack, suspendu après son carton rouge reçu contre les Gallois, Matthieu Jalibert sera aligné à l'ouverture pour une nouvelle page de son histoire contrariée avec l'équipe nationale. Rendez-vous aux chandelles En face, le capitaine Maro Itoje prévient : « Nous voulons être collectivement agressifs, être dans l'avancée, aller au contact et les stopper dans leur élan. » Les partenaires d'Antoine Dupont devront également encore rassurer sur un secteur : la réception des coups de pied sur les chandelles. Depuis le désastre observé dans ce domaine lors du quart de finale de la Coupe du monde 2023 à domicile perdu face à l'Afrique du Sud (28-29), le doute persiste sur ses ballons à double tranchant. Il Lire la suite sur lunion.fr
L’ouvreur argentin Nicolas Sanchez annonce sa retraite
Recordman de points avec les Pumas, Nicolas Sanchez annonce sa retraite. L'ouvreur argentin évoule au Japon avec le Tokyo Sungoliath. L'ouvreur international argentin, Nicolas Sanchez, détenteur du record du nombre de points marqués avec les Pumas, a annoncé sa retraite via son compte Instagram."Après de nombreuses années de dévouement, d'efforts et de passion, j'ai décidé de me retirer du rugby, un sport qui m'a formé en tant que joueur, mais aussi en tant que personne" a déclaré Sanchez (36 ans) et comptant 104 sélections et 902 points. De 2010 à 2023, Sanchez, qui a joué pour Bordeaux-Bègles, Toulon et le Stade français en Top 14 "Tu vas nous manquer, Nico", a posté le compte X des Pumas en hommage. Formé à Tucuman, Sanchez a marqué tous les points lors de la victoire historique contre la Nouvelle-Zélande (25-15) le 14 novembre 2020, la première fois que l'Argentine battait les All Blacks. La dernière apparition de Sanchez avec l'équipe d'Argentine a eu lieu lors du match pour la troisième place de la Coupe du monde 2023, perdu face à l'Angleterre. Suite à cela, il a rejoint le club japonais des Tokyo Sungoliath. 🇦🇷 Nicolas Sanchez, demi d'ouverture aux 104 sélections avec les Pumas, met un terme à sa carrière à 36 ans. Il aura marqué de son empreinte la sélection argentine avec 902 points inscrits.En club, Sanchez est notamment passé par l'UBB, Toulon, le Stade Français et Brive. pic.twitter.com/ZkYD6ZzM0o— Sud Radio Rugby (@SudRadioRugby) January 23, 2025 Lire la suite sur sport.fr
Boxe, golf, canoë… Ces sports étaient encore interdits aux femmes il y a peu
« Une olympiade femelle serait impratique, inintéressante, inesthétique et incorrecte. » « Femelle » donc… Ce sont les mots, rédigés en français, avec l'aval de ce bon vieux Pierre de Coubertin, le rénovateur des Jeux Olympiques en 1912 sur le compte-rendu officiel de l'édition de Stockholm. Des mots d'une misogynie terrible qui ne sont finalement pas si indissociables de l'actualité moderne. Malheureusement. Dans ces prochaines lignes, vous allez découvrir que certains sports étaient simplement interdits aux femmes il y a encore très peu de temps. Et parfois, les raisons sont très « limite ». PAR RUBEN DIAS. Extrait du WOMEN SPORTS N°31. LE GOLF : LADIES FORBIDDEN ? Inventé en Écosse au cours du XVe siècle, le golf était le sport interdit aux femmes par excellence. Et cela, dès son nom. Le mot « golf » tirerait ses origines d'un acronyme : « Gentlemen Only, Ladies Forbidden », ce qui signifie « Messieurs seulement, femmes interdites ». Bon, ne rêvassez pas trop puisque cette légende urbaine est totalement fausse. Selon le Scottish Golf History, le nom du sport serait plutôt un dérivé d'un vieux mot signifiant « club ». D'ailleurs, avant la création des dictionnaires, il n'existait aucune orthographe standardisée pour ce mot. Les gens écrivaient phonétiquement : Goff, gowf, golf, goif, goiff, gof, gowfe, gouff et golve. Rien à voir aux premiers abords avec une éventuelle interdiction à la gente féminine. D'ailleurs, la première mention sur des femmes jouant au golf se trouve à Bruntsfield Links en 1738… En compétitions officielles pourtant, il a fallu attendre 1990, avant que le golf ne soit officiellement ouvert à ces dernières… La définition d'une blague qui a mal tourné ? LE RUGBY : INTERDIT POUR « PRÉSERVER LA DIGNITÉ DES FEMMES » Pays de l'Ovalie, la France est une pionnière du rugby. Mais si aujourd'hui, selon les chiffres de la fédération, il y a plus de 26 000 joueuses dans le pays, les femmes n'avaient pas le droit de le pratiquer avant les années 20. Précédemment, il était pratiqué de manière clandestine. À cette époque, la docteure en médecine Marie Houdré adapte les règles du rugby pour les femmes. Pourtant, une campagne de presse juge ce sport « inadapté à la morphologie des femmes qui étaient censées devenir des bonnes mères », explique notamment la journaliste Isabelle Collombat dans des propos repris par France Inter. Pour la société, ce sport ne correspond pas à l'image de la femme. D'ailleurs, Suzanne Lenglen, la championne de tennis, elle-même, disait que « ce n'était pas esthétique, pas beau pour les femmes »… Il faudra attendre les années 60 pour que cette vision change. Des étudiantes lyonnaises organisent un événement d'ampleur en proposant aux joueuses de Bourg-en-Bresse de disputer un match et l'événement sera un succès. Le secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports, Marceau Crespin, par le biais d'une lettre au préfet, envoyée dans toute la France, demande de faire en sorte que toutes les infrastructures ne soient pas mises à disposition des femmes… Dis-moi que tu me l'interdis, sans me dire que tu l'interdis. Le rugby féminin se démocratise ensuite comme une activité clandestine. « Les joueuses jouent dans les champs et se lavent dans les rivières, faute de vestiaires », toujours selon Isabelle Collombat. C'est autour de Bourg-en-Bresse, berceau du rugby féminin que les femmes s'organisent, et réalisent même un championnat malgré l'interdiction. Et si aujourd'hui tout cela semble de l'histoire très ancienne, la fédération française de rugby mettra du temps à l'accepter. « Même en 2014, quand la France doit organiser la Coupe du monde de rugby, la fédération n'est pas très enthousiaste », conclut Isabelle Collombat… En 2017, les îles Tonga ont interdit aux filles le rugby, et la boxe, afin de « préserver la dignité des Tongiennes »… Comme quoi, il y a encore du chemin. L'HALTÉROPHILIE AU FÉMININ Les premiers émois de l'haltérophilie féminine datent notamment d'une certaine Pudgy Stockton aux USA dans les années 40. En France, et si ce sport fait parler de lui dès 1840, la pratique ne s'ouvre aux femmes que dans les années 1980. En 1989, elles sont trois-cents à le pratiquer en compétition. En 2016, la fédération comptait environ 31 590 licenciés dont 35% de femmes, en 2022, le constat est une augmentation à 40% selon les chiffres de Sports.Gouv.fr. En compétition officielles, et notamment aux JO, il a fallu attendre 2000 et l'édition de Sydney, pour voir l'haltérophilie, réservée jusqu'alors aux hommes, s'ouvrir aux femmes. LE SAUT À SKI : HISTORIQUEMENT MASCULIN « Ce n'est pas adapté aux femmes d'un point de vue médical », lâchait en 2005 Gian-Franco Kasper, le président de la Fédération internationale de ski… Sauter, se jeter dans les airs, cela était considéré comme bien trop dangereux pour de fragiles guiboles féminines. Certains expliquant même que la décharge de sensations fortes pouvait les rendre stériles… En 1991, le CIO décide enfin que tout nouveau sport doit proposer des épreuves féminines. Presque parfait. Ce n'est qu'en 2014 et les Jeux Olympiques d'hiver à Sotchi que les femmes prennent place pour la première fois en haut des rampes. Alors qu'en 1924, il était déjà autorisé aux hommes. 90 ans d'attente donc. Et comme rien n'est jamais tout rose, en 2022, à Pékin, la FIS a été accusée de « détruire le saut à ski féminin » par l'Allemande Katharia Althaus, vice-championne olympique, disqualifiée comme 4 autres concurrentes pour une combinaison non conforme. Le tout alors qu'aucune concurrente n'avait été disqualifiée lors de l'épreuve individuelle, et aucun homme n'a été disqualifié lors de l'épreuve mixte. Pour le vol à ski, dérivé du saut ou les athlètes volent à plus de 100km/h sur plus de 200 m en l'air, ce n'est qu'à la Coupe du monde 2022/23 que les femmes participeront. Et là encore, c'est encadré, puisque seules celles qui sont majeures peuvent y aller. Pourtant la Slovénie, le Japon, l'Autriche et l'Allemagne avaient posé leur veto. D'ailleurs, cette épreuve ne rentrera pas dans le cadre officiel de la Coupe du monde à cause de la limitation du nombre de sauteuses. Un long combat contre les préjugés pas totalement remporté donc. LA BOXE : SPORT TROP DANGEREUX ? Jugée trop dangereuse, la boxe n'est autorisée aux femmes qu'à partir de 1998. Et si quelques mois auparavant elle est reconnue comme discipline féminine par l'Association internationale de boxe amateur (AIBA), il n'existe toujours pas de compétitions officielles. Pour cela, il faudra encore patienter 3 ans et 2002 pour voir apparaître les premiers championnats du monde féminins. Pour les JO, ce n'est que depuis 2012 et les olympiades de Londres, que les femmes peuvent monter sur un ring. Aujourd'hui, elles sont près de 8 000 licenciées en France selon la FFBoxe. LE CANOË : UN RISQUE POUR DE FUTURES GROSSESSES ? Le canoë a longtemps été interdit aux femmes aux JO. Et cela pour une raison bien particulière. « Concourir à genoux déformerait le bassin et pourrait engendrer des risques pour de futures grossesses », a expliqué Sylvain Landa, historien du sport pour Ouest France. Jusqu'à peu, les femmes ne pouvaient se battre pour l'or qu'en kayak. L'ouverture de ce sport aux femmes ne s'est fait que lors des jeux de 2020, 100 ans après les hommes.Il était peut-être temps. Corps trop frêle, pratiques trop violentes, santé trop fragile… tous les prétextes ont été bons pour interdire aux femmes de pratiquer certains sports.La lutte gréco-romaine est par exemple aujourd'hui toujours interdite aux femmes en compétition. Le combiné nordique (saut à ski et ski de fond) reste lui aussi exclusivement masculin aux JO. Le saut féminin, sur grand tremplin, fera son apparition pour les femmes pour la première fois en 2026…En 1936, Pierre de Coubertin continue de se montrer bien trop hostile à la participation des femmes aux Jeux. « Le seul véritable héros olympique, je l'ai dit, c'est l'adulte mâle individuel. Par conséquent, ni femmes ni sports d'équipes », avait-il lancé. Pourtant les sportifs masculins sont aussi victimes de discriminations. La natation synchronisée et la gymnastique rythmique ne sont pas proposés aux hommes aux JO en raison, d'après le Comité International Olympique, d'un nombre trop peu important de participants. Il y aura donc du travail avant d'atteindre cette fameuse parité aux JO 2024 et 2026 à Paris et Milan. Lire la suite sur sport.fr
France - Argentine de rugby, pour finir sur une bonne note
Lecture zen Dernière séance d'entraînement sous la neige jeudi pour les sélectionnés tricolores. Il va falloir s'adapter aux conditions météos. - AFPDans cette tournée d'automne, pour les Français, les matches de novembre sont en grande partie une réussite qu'une défaite ne viendrait pas gâcher, mais tout de même assombrir. Ce petit point d'avance (30-29) face à la Nouvelle-Zélande permet de voir le verre à moitié plein, après un Tournoi 2024 terminé deuxième, mais qui avait entraîné des critiques sur le jeu des Bleus. « Je vous trouve dur sur 2024 », a répondu Fabien Galthié. « Pour le moment nous sommes la meilleure nation européenne » sur l'année, la France n'ayant subi que deux défaites, tout comme l'Irlande, contre sept pour l'Angleterre». « C'est une année de transition post-Coupe du monde qui est à la fois très riche et très difficile à traverser » Fabien Galthié., Sélectioneur du XV de France Parmi ces deux défaites, se trouve notamment l'Argentine, le 13 juillet (33-25), dans un contexte lourd après l'arrestation d'Hugo Auradou et d'Oscar Jegou, qui toujours inculpés pour viol aggravé. La belle victoire lors du premier test-match en Argentine (28-13) a aussi été éclipsée par les dérives hors du terrain. Concurrence Ce constat est vrai pour quelques joueurs qui ont subi un net déclassement, le dernier en date étant le troisième ligne centre Grégory Alldritt, même pas dans le groupe, alors qu'il avait joué le Tournoi en tant que capitaine. Matthieu Jalibert, déclassé dans la hiérarchie des ouvreurs, n'a lui même pas fait la dernière semaine à Marcoussis pourrait à la place jouer samedi à Vannes, avec son club de l'Union Bordeaux-Bègles. Le troisième ligne Charles Ollivon, pas dans le groupe contre le Japon puis remplaçant face à la Nouvelle-Zélande, est lui de retour comme titulaire, preuve que les rétrogradations ne sont pas un chemin sans retour. « On arrive tous à prendre conscience du fait qu'il y a beaucoup de monde à tous les postes, du fait aussi que ce n'est pas forcément des punitions ou des choses définitives, qu'il faut aller de l'avant, s'accrocher, ne pas lâcher et que les portes finissent par se rouvrir derrière » a soulignéson binôme de chambre Gabin Villière. Il le sait bien : titulaire aux deux premiers matches du Mondial-2023, il n'a porté de nouveau le maillot bleu qu'un an après contre la Nouvelle-Zélande. L'année a permis aussi l'éclosion de nouveaux joueurs, comme Louis Bielle-Biarrey et Paul Boudehent, trois essais chacun en novembre et qui seront titulaires. Les Bleus n'ont eu que six jours de récupération, un de moins que l'Argentine, après deux matches très énergivores, avec plus de 200 plaquages réalisés à chaque fois. Les Français connaissent notamment les Argentins du Top 14, dont l'arrière Juan Cruz Mallia, auteur d'un spectaculaire essai contre l'Irlande et d'une année 2024 de grande qualité avec le Stade toulousain. Dix joueurs du Top 14 sont sur la feuille de match d'une équipe qui a très peu Lire la suite sur lunion.fr
Les grandes affaires du rugby : Eben Etzebeth, une virée nocturne qui aurait pu coûter cher
En août 2019, à la veille de partir pour la Coupe du Monde au Japon, Eben Etzebeth fit face à de graves accusations au sujet d’une bagarre de bistrot. Sa carrière aurait pu en souffrir, mais il a à ce jour échappé à... Lire la suite sur rugbyrama.fr
Rugby : le XV de France arrache une troisième victoire de suite contre les All Blacks
C’est un match qui a les ingrédients pour être aussi fondateur que la victoire de 2021 (40-25). Car après la démonstration contre le Japon (52-12), cette victoire nettement plus marquante permet d’effacer une partie des doutes nés des prestations après la Coupe du monde, lors du Tournoi des six nations. Et offre quelques certitudes en vue de 2027.Les Bleus ont eu du coeur car les All Blacks, sa... Lire la suite sur lavoixdunord.fr
Rugby. Des Blacks dominants, la première de Buros… les enjeux de France-Nouvelle-Zélande
Après sa victoire facile face au Japon samedi dernier, le XV de France reçoit la Nouvelle-Zélande, finaliste de la Coupe du monde, samedi au Stade de France lors du deuxième match de la tournée d'automne (21h10). Voici le décryptage de ce choc. Lire la suite sur bienpublic.com
Rugby - Test-matches. Japon, Tonga, Etats-Unis, Uruguay...Quatre nations nouvelles générations à Chambéry
C'est le jour J au Chambéry Savoie Stadium pour les deux test-matches internationaux d'automne enchaînés entre quatre formations du Top 20 mondial. Japon et Uruguay ouvriront le bal (14 h 30), lancés, comme les Tonga et les États-Unis à 17 h30, dans un rajeunissement de leurs cadres afin de bien figurer lors de la prochaine Coupe du monde en 2027. Lire la suite sur ledauphine.com
Rugby. Tournée d'automne : les Bleus au révélateur des All Blacks
Après sa balade face au Japon, le XV de France s’attaque à du très lourd ce samedi (21h10) avec la réception au Stade de France de la Nouvelle-Zélande, finaliste de la dernière Coupe du monde et toujours invaincue depuis le début de sa tournée européenne. Un choc qui devrait permettre aux Bleus de savoir où ils en sont vraiment. Lire la suite sur lejsl.com
Le XV de France vise la passe de trois contre la Nouvelle-Zélande
Lecture zen Un sacré baptême du feu que celui que s'apprête à vivre Romain Buros, l'un des choix forts de Fabien Galthié. - AFPEn 2021, la victoire flamboyante de la France aux dépens de la Nouvelle-Zélande (40-25) avait été un moment marquant du mandat de Fabien Galthié, annonçant une année 2022 exceptionnelle, que la sélection avait achevée invaincue, Grand Chelem à la clé lors du Tournoi des Six nations. Celle de 2023, en ouverture de la Coupe du monde dans l'Hexagone, avait été conquise dans la douleur (27-13), annonciatrice de certaines lacunes, notamment en défense. Des faiblesses qui allaient coûter cher dès le quart de finale, perdu (28-29) devant l'Afrique du Sud, future lauréate de l'épreuve planétaire. Un succès aux dépens des All Blacks version 2024, aujourd'hui (21 h 10) à Saint-Denis, offrirait quelques certitudes à des Bleus impuissants lors du Tournoi face à l'Irlande (38-17), mis en échec par l'Italie (13-13), vainqueurs de l'Angleterre (33-31) en tremblant et toujours en recherche d'un match référence cette année. La partie trop facile contre le Japon, éparpillé (52-12) le week-end passé, n'a pas pu donner beaucoup d'enseignements mais a servi de « match de préparation », des mots mêmes de Galthié, avec quelques bribes d'un jeu davantage porté sur la possession du ballon qu'auparavant. La leçon pourrait prendre une autre tournure face aux Blacks, « une équipe en train de régler ses comptes après avoir vécu certaines années difficiles. Ils veulent reprendre le leadership mondial », a prévenu le technicien des Bleus, jeudi à Marcoussis (Essonne), en annonçant la composition d'équipe. « Ça fait longtemps qu'on n'a pas joué les All Blacks à ce niveau-là. Le défi est immense... » Fabien Galthié Finalistes malheureux du dernier Mondial, 2es du Rugby Championship, les hommes de Scott Robertson semblent avoir trouvé la bonne carburation cet automne. Implacables dans le combat, redoutables d'efficacité sur leurs ballons d'attaque, les Néo-Zélandais ont rappelé qu'il ne fallait pas les enterrer trop vite, gagnant avec autorité en terrain anglais (22-24) et sur le sol irlandais (13-23). La Nouvelle-Zélande est « capable de répondre à toutes les formes de rugby, c'est une équipe qui est très bonne sur les phases de conquête pure, dans le combat, sur le jeu au sol, le jeu aérien, et avec toujours autant de vitesse », a énuméré Galthié. « Ça fait longtemps qu'on n'a pas joué les All Blacks à ce niveau-là. Le défi est immense. » Comme celui qui se présente à Romain Buros, balancé dans le grand bain pour sa première cape, un des choix majeurs de Galthié que ce match doit valider. Ce dernier a écarté les inquiétudes sur ce saut dans l'inconnu, plutôt que de reconduire Léo Barré. Cette rencontre, Matthieu Jalibert aurait forcément aimé la disputer. Rentré à Bordeaux, l'ouvreur de l'UBB ne sera pas sur la feuille, autre décision forte. La lourde tâche d'occuper l'ouverture face à Beauden Barrett (132 sélections, meilleur joueur du monde Lire la suite sur lunion.fr
XV de France : Costes blessé à l’entraînement, Flament de retour
Touché ce mercredi à l’entraînement, Paul Costes ne sera pas de la partie ce week-end face aux All Blacks. Lors de l'entraînement de mercredi à Marcoussis, Paul Costes, le trois-quarts centre du Stade Toulousain, a dû quitter le terrain prématurément en raison d’une blessure à la cheville. Positionné au centre lors de l'opposition entre les 42 joueurs du XV de France, Costes a été touché dès la première action, nécessitant l'intervention du staff médical. Malgré un premier soin au bord du terrain, il a dû renoncer à poursuivre l’entraînement. La gravité de sa blessure n’est pas encore confirmée, mais son retour pour la reprise du Top 14 contre Perpignan reste incertain. En revanche, Thibaud Flament, également surveillé pour une blessure subie face au Japon, a pu participer à l'intégralité de l'entraînement sans problème. Ménagé en début de semaine, il a affirmé en conférence de presse que les soins reçus avaient porté leurs fruits, le rendant disponible pour le match crucial contre la Nouvelle-Zélande (samedi à 21h10). La composition finale du XV de France sera annoncée ce jeudi à 11h, avec Flament espéré dans le XV de départ, aux côtés de Buros, Villière, Fickou et Dupont. Le XV de France probable contre la Nouvelle-Zélande : Buros – Villière, Fickou, Moefana, Bielle-Biarrey – Ramos, Dupont – Roumat, Alldritt, Boudehent – Meafou, Flament – Tatafu, Mauvaka, Gros 🇫🇷 🇳🇿 Le 6 octobre 2007, la France retrouve la Nouvelle-Zélande en ¼ de finale de la coupe du monde à Cardiff.Au terme d'un match d'anthologie, le #XVdeFrance l'emporta sur le fil 20 à 18, et s'offrît un des plus gros exploits de l'histoire de notre équipe 🤩🙌 Du haka, au… pic.twitter.com/COqwL7q6dd— France Rugby (@FranceRugby) November 13, 2024 Lire la suite sur sport.fr