Irlande

Vendredi 17 novembre 2023
15:15 -

Qui sont les champions du monde U20 qui jouent le plus ?

En juillet dernier, l'Équipe de France des moins de 20 ans cuvée 2003-2004 a remporté la Coupe du monde, conservant le trophée bien au chaud. Vainqueurs flamboyants de l'Irlande en finale (50-14), les Bleuets ont enchanté la planète rugby par leur jeu fait de prise de risques et de passes après contact en tout genre. Malgré les absences de Louis Bielle-Biarrey (XV de France) et Émilien Gailleton, qui n'a pas été retenu pour la Coupe du monde, les leaders se sont affirmés et parmi eux, certains visages sont de plus en plus familiers des pelouses du Top 14 et de Pro D2. Baromètre des jeunes talents U20 les plus utilisés sur ce début de saison (source : All Rugby). Lire la suite sur quinzemondial.com

Jeudi 09 novembre 2023
16:50 -

RUGBY. Irlande. Encore un départ à la retraite pour un international à seulement 32 ans

L'international irlandais Andrew Conway prend sa retraite du rugby professionnel en raison de problèmes au genou. Il aura participé à la Coupe du monde 2019. Lire la suite sur lerugbynistere.fr

16:30 -

L'ailier irlandais Andrew Conway prend sa retraite

L'ailier international irlandais Andrew Conway a annoncé sa retraite ce jeudi, à 33 ans, en raison d'une blessure à un genou qui l'a tenu éloigné des terrains la saison passée et lui a fait manquer la Coupe du monde. Lire la suite sur lequipe.fr

10:15 -

Coupe du Monde : les prochains mois s'annoncent difficiles pour l'Irlande et la Nouvelle Zélande !

Très en vue lors du dernier mondial, la Nouvelle-Zélande et l'Irlande s'apprêtent à passer par une phase de reconstruction qui ne sera pas aisée. Lire la suite sur quinzemondial.com

Mercredi 08 novembre 2023
20:31 -

Rugby : Galthié évoque « une cicatrice à vie » après le crash du Mondial

Fabien Galthié lors de sa conférence de presse ce mercredi. - AFPMis en ligne le 8/11/2023 à 20:31 Lecture zen « Une cicatrice qu'on garde à vie ». Trois semaines après l'élimination en quarts de finale devant l'Afrique du Sud, le sélectionneur du XV de France Fabien Galthié a dressé le bilan de la Coupe du monde, racontant « une énorme déception ». Vingt-quatre jours après la défaite d'un point contre les Springboks (29-28), ses explications étaient attendues avec impatience. Il avait gardé le silence, annonçant seulement vouloir poursuivre le magazine Voici qui a publié des photos de lui et de sa compagne nus. Depuis, rien. Consultez l'actualité en vidéo Ses derniers mots remontaient en effet au Stade de France, tard dans la nuit du 15 au 16 octobre : « Ca s'est joué à un point… », avait alors soupiré Galthié. Avant de s'exprimer, il a fallu respecter « le temps du deuil », selon les propres mots du patron des Bleus, qui a échangé avec joueurs et staff avant de parler à la presse. « Le seul objectif que nous voulions atteindre, c'était d'être champions du monde. Il n'y en avait pas d'autre. La déception aurait été la même si on avait perdu en demi-finale d'un point. La déception aurait été la même si on avait perdu en finale d'un point. La différence est qu'on aurait vécu une semaine en plus. La différence elle est énorme parce qu'on voulait vivre ces moments pour lesquels on travaille depuis quatre ans. Donc, la déception est énorme », a-t-il répété, visage marqué. « Je referais la même chose » Le revers et la déception ne changent rien : « sur le plan tactique et stratégique, si c'était à refaire, je referais la même chose », a martelé Galthié. « On meurt à un point. Malgré tous les faits de jeu, malgré le scénario, on joue la gagne jusqu'à la dernière action. » « On ne s'est pas trompé sur la stratégie », a assuré l'ancien demi de mêlée international. « Quand vous rentrez onze fois dans la zone de conclusion, c'était bien au-delà de nos espérances. Mais sur le dernier geste, sur des faits de jeu… Ça n'a pas suffi », a-t-il expliqué, indiquant que ses Bleus « étaient en position de marquer 37 points », signe qu'il ne s'est « pas trompé ». AFP Et maintenant ? Le Top 14 a repris ses droits et la majorité des Mondialistes français a retrouvé les terrains d'entraînement. Certains, comme le talonneur de Toulouse Peato Mauvaka ou le troisième ligne de Toulon Charles Ollivon ont même rejoué. D'autres, à l'image du troisième ligne de La Rochelle Grégory Alldritt vont connaître une coupure plus longue. Nouveau staff Fabien Galthié et le XV de France ont un peu plus de deux mois pour passer à autre chose avant la prochaine échéance : un choc de revanchards face à l'Irlande, le 2 février à Marseille, dans le Tournoi des six nations 2024. Après les retraites internationales du pilier Uini Atonio ou du deuxième ligne Romain Taofifenua, de nouveaux visages sont attendus, portés par la génération des champions du monde U20 (T Lire la suite sur paris-normandie.fr

20:11 -

Rugby : trois semaines après le crash du Mondial, Galthié évoque « une cicatrice à vie »

Fabien Galthié lors de sa conférence de presse ce mercredi. - AFPMis en ligne le 8/11/2023 à 20:10 Lecture zen « Une cicatrice qu'on garde à vie ». Trois semaines après l'élimination en quarts de finale devant l'Afrique du Sud, le sélectionneur du XV de France Fabien Galthié a dressé le bilan de la Coupe du monde, racontant « une énorme déception ». Vingt-quatre jours après la défaite d'un point contre les Springboks (29-28), ses explications étaient attendues avec impatience. Il avait gardé le silence, annonçant seulement vouloir poursuivre le magazine Voici qui a publié des photos de lui et de sa compagne nus. Depuis, rien. Consultez l'actualité en vidéo Ses derniers mots remontaient en effet au Stade de France, tard dans la nuit du 15 au 16 octobre : « Ca s'est joué à un point… », avait alors soupiré Galthié. Avant de s'exprimer, il a fallu respecter « le temps du deuil », selon les propres mots du patron des Bleus, qui a échangé avec joueurs et staff avant de parler à la presse. « Le seul objectif que nous voulions atteindre, c'était d'être champions du monde. Il n'y en avait pas d'autre. La déception aurait été la même si on avait perdu en demi-finale d'un point. La déception aurait été la même si on avait perdu en finale d'un point. La différence est qu'on aurait vécu une semaine en plus. La différence elle est énorme parce qu'on voulait vivre ces moments pour lesquels on travaille depuis quatre ans. Donc, la déception est énorme », a-t-il répété, visage marqué. « Je referais la même chose » Le revers et la déception ne changent rien : « sur le plan tactique et stratégique, si c'était à refaire, je referais la même chose », a martelé Galthié. « On meurt à un point. Malgré tous les faits de jeu, malgré le scénario, on joue la gagne jusqu'à la dernière action. » « On ne s'est pas trompé sur la stratégie », a assuré l'ancien demi de mêlée international. « Quand vous rentrez onze fois dans la zone de conclusion, c'était bien au-delà de nos espérances. Mais sur le dernier geste, sur des faits de jeu… Ça n'a pas suffi », a-t-il expliqué, indiquant que ses Bleus « étaient en position de marquer 37 points », signe qu'il ne s'est « pas trompé ». AFP Et maintenant ? Le Top 14 a repris ses droits et la majorité des Mondialistes français a retrouvé les terrains d'entraînement. Certains, comme le talonneur de Toulouse Peato Mauvaka ou le troisième ligne de Toulon Charles Ollivon ont même rejoué. D'autres, à l'image du troisième ligne de La Rochelle Grégory Alldritt vont connaître une coupure plus longue. Nouveau staff Fabien Galthié et le XV de France ont un peu plus de deux mois pour passer à autre chose avant la prochaine échéance : un choc de revanchards face à l'Irlande, le 2 février à Marseille, dans le Tournoi des six nations 2024. Après les retraites internationales du pilier Uini Atonio ou du deuxième ligne Romain Taofifenua, de nouveaux visages sont attendus, portés par la génération des champions du monde U Lire la suite sur paris-normandie.fr

17:17 -

La Coupe du monde de rugby a-t-elle eu un effet sur le club de Pont-de-l'Arche ?

Une centaine de personnes ont regardé la finale sur grand écran au Hub expo à Louviers - Photo Rugby club archépontainElyna du club de rugby de Pont-de-l'Arche était porte-drapeau pour l'Afrique du Sud lors de la rencontre contre l'Irlande - Photo Société Générale RugbyMis en ligne le 8/11/2023 à 17:17 Lecture zen « Mise à part la défaite de la France, on est très content de la Coupe du monde en France. On a parlé de rugby pendant deux mois ! », se réjouit Kevin Tonnelé, président du club de rugby de Pont-de-l'Arche. La Coupe du monde s'est achevée le 28 octobre 2023 par une victoire de l'Afrique du Sud contre la Nouvelle-Zélande. Les semaines de compétition ont permis de mettre en lumière les clubs du ballon ovale dans l'Hexagone. Des jeunes de Pont-de-l'Arche ont même pu assister à un match et l'une d'entre elles, Elyna, a eu l'honneur d'être porte-drapeau pour l'Afrique du Sud lors de la rencontre face à l'Irlande. Retransmission de matchs Le Rugby club archépontain a multiplié les retransmissions sur grand écran. « Dans l'amphithéâtre de Pont-de-l'Arche pour un match de l'équipe de France, nous étions plus de 500. On a même dû refuser du monde. Pour la finale, on était une petite centaine au Hub expo à Louviers. On a même signé un partenariat pour diffuser des matchs d'autres tournois », indique Kévin Tonnelé. À lire aussi Quand Tapie reprenait Diguet-Deny à Breteuil, dans l'Eure : « Bon alors, on en vire combien aujourd'hui ? » L'engouement n'a pas été que derrière l'écran mais aussi sur le terrain. Pour cette nouvelle année, le club enregistre environ +20 % de licenciés. « Si tout le monde valide sa licence !, tempère Kevin Tonnelé. On a pas mal de nouveaux sur tous les niveaux. Surtout chez les 3-6 ans car on est le seul club qui propose quelque chose pour cette tranche d'âge là. Notre section de rugby loisirs fonctionne pas mal aussi. C'est du rugby sans plaquage et plus loisirs, ça plaît aux adultes. Le plus dur maintenant c'est de garder les inscrits plus qu'une année de coupe du monde ! » Un nouveau local Pour continuer de séduire, le club veut investir dans un nouveau local à proximité du terrain. « On veut un local de rangement proche du terrain car notre matériel est lourd. Aujourd'hui, le local est loin. On voudrait aussi une buvette pour les jours de match et puis un endroit pour se réchauffer l'hiver. » Le club aurait bien aimé compter sur des retombées financières de la Fédération française de rugby mais elle avait des dettes à éponger… « S'il y a des subventions à aller chercher, on ira sans hésiter », conclut le président. Consultez l'actualité en vidéo Par Alice Pattyn La Coupe du monde de rugby a-t-elle eu un effet sur le club de Pont-de-l'Arche ? Avec la Coupe du monde de rugby en France, le nombre de licenciés a augmenté à la rentrée. Le Rugby club archépontain ne fait pas exception. Lire la suite sur paris-normandie.fr

Lundi 06 novembre 2023
12:30 -

Coupe du monde : le match Irlande - Écosse est rentré dans l'histoire

La rencontre de phase de poules de Coupe du monde entre le XV du Trèfle et le XV du Chardon a balayé un drôle de record. Lire la suite sur quinzemondial.com

Dimanche 05 novembre 2023
11:16 -

Rugby : l’Afrique du Sud, championne du monde, a un nouveau sélectionneur !

Il y a un peu plus d'une semaine maintenant, l'Afrique du Sud réussissait l'authentique exploit de se succéder à elle-même au palmarès de la Coupe du Monde de Rugby. Mais l'adage “on ne change pas une équipe qui gagne” ne s'applique pas aux Boks. Après le départ du sélectionneur Jacques Nienaber en Irlande, les Sud-Africains […] L'article Rugby : l’Afrique du Sud, championne du monde, a un nouveau sélectionneur ! est apparu en premier sur We Sport - "Partageons notre passion !". Lire la suite sur wesportfr.com

Jeudi 02 novembre 2023
16:30 -

Ouverture Six Nations: France-Irlande, Match Clé!

Alors que les plaies de la Coupe du Monde sont encore fraîches, le XV de France se prépare à une ouverture électrique contre l’Irlande pour […] Cet article Ouverture Six Nations: France-Irlande, Match Clé! est apparu en premier sur Rugby Transferts. Lire la suite sur rugby-transferts.com

Mardi 31 octobre 2023
01:57 -

Onze finalistes, deux Français, pas d’Anglais : notre XV du Mondial

"La Coupe du monde a rendu son verdict avec le triomphe de l’Afrique du Sud, vainqueur de la Nouvelle-Zélande en finale (12-11). Sans surprise, Springboks et All Blacks composent la grande majorité de XV type de la compétition, où s’invitent aussi deux Français et deux Irlandais. Dans le respect de la tendance de ce Mondial, nous avons par ailleurs prévu un solide banc à sept avants." Lire la suite sur eurosport.fr

00:52 -

Classement IRB : Découvrez le positionnement de la France suite à la Coupe du monde !

La défaite 11-12 de la Nouvelle-Zélande en finale de la Coupe du Monde de Rugby 2023 a coûté aux All Blacks la deuxième place du classement mondial World Rugby présenté Capgemini. L'équipe de Ian Foster a perdu 1,76 point et sa nouvelle note de 89,80 points lui fait changer de place avec l'Irlande, qui avait commencé ... Lire la suite sur blog-rct.com

Lundi 30 octobre 2023
15:50 -

Coupe du monde de rugby : l'Irlande double la Nouvelle-Zélande à la 2e place du classement mondial

Battus par les Springboks en finale, les All Blacks cèdent leur deuxième place aux Irlandais. Lire la suite sur le figaro

07:30 -

Coupe du monde de rugby 2023. Les supporters irlandais, l'exploit du Portugal, le bunker...nos tops et flops du Mondial

La Coupe du monde 2023 en France s'est terminée en apothéose avec le quatrième titre mondial de l'Afrique du Sud samedi au Stade de France. Voici ce qu'on a aimé et ce qu'on n'a pas aimé au cours des deux mois de compétition. Lire la suite sur ledauphine.com

Dimanche 29 octobre 2023
21:44 -

World Rugby Awards - Andy Farrell (Irlande) est élu entraîneur de l'année

La Coupe du monde terminée, World Rugby en a profité pour remettre ses récompenses individuelles. L'entraîneur de l'Irlande Andy Farrell a été primé. Lire la suite sur rugbyrama.fr

20:17 -

Sécurité : Mission accomplie, pour le rugby, cap sur les JO-2024

Lecture zen Un dispositif exceptionnel a été mis en place tout au long de la compétition mondiale. Un essai transformé côté sécurité. - AFP Les deux mois de compétition – aussi traversés par une visite papale et une visite royale avec Charles III –, se sont déroulés sans accroc. « On a rassuré, on s'est affûté, on a au total un dispositif sur le plan de la sécurité qui a été extrêmement robuste en dépit d'un contexte particulièrement exigeant », s'est félicité dès vendredi soir la ministre des Sports et des JO, Amélie Oudéa-Castéra sur FranceInfo. Le fiasco de la finale de la C1 fin mai 2022 est constamment en tête, il ne fallait pas se rater pour accueillir les 600 000 étrangers et plus de 2 millions de spectateurs venus participer à cette fête internationale de rugby. Seul le premier week-end a été marqué par des mini-couacs, avec des fans qui ont raté les premières minutes de leur match à Marseille et à Bordeaux. Mais surtout, l'ambiance s'est considérablement alourdie en France dix jours avant la fin avec l'assassinat d'un professeur devant son lycée à Arras, et le déclenchement de la guerre entre Israël et le Hamas, ce qui a conduit le ministère de l'Intérieur a rehaussé la sécurisation des sites, le pays étant passé en « urgence attentat ». Les « fans zones » situées en province ont alors toutes fermé pour ces raisons de sécurité. À Paris, la place de la Concorde qui accueillait le « village rugby » est restée ouverte jusqu'au bout. « 1,5 million de personnes ont fréquenté ces villages et il n'y a eu aucun incident », avait expliqué Jacques Rivoal, président du comité d'organisation à l'aube des demi-finales. « J'ai eu un petit mot de félicitations de notre ami Tony Estanguet (patron du comité d'organisation des JO, NDLR) sur la belle réussite sur le plan festif de cette Coupe du monde », avait-il ajouté. « Pas de problème majeur à signaler », résume le comité d'organisation. Les 6 000 agents de sécurité privée déployés dans tous les stades ont fait leur travail. Et au milieu, quelques policiers irlandais et parfois une brigade cynophile allemande. Du côté du Stade de France, RAS, si ce n'est une consommation de bière « deux fois plus importante » que d'habitude pour les supporters irlandais… une bière qu'il a fallu « éliminer » ce qui a occasionné un nettoyage plus important que d'habitude, explique pudiquement un des responsables. C'est donc mission accomplie avant les JO de l'été 2024 dont l'équation sécurité se complexifie encore avec la situation internationale. « Est-ce qu'il y a des variables d'ajustement sur lesquelles nous travaillons ? La réponse est évidemment oui. Il Lire la suite sur lest-eclair.fr

10:45 -

Les temps forts de la Coupe du monde de rugby en photos

Les espoirs déçus des Bleus et des Irlandais, la folie fidjienne, la première victoire du Portugal, la montée en puissance des All Blacks... Le Mondial de rugby en France aura réservé de belles batailles, et quelques surprises. Lire la suite sur lequipe.fr

10:22 -

International - Rassie Erasmus de retour à la tête de l'Afrique du Sud, Duane Vermeulen pour remplacer Jacques Nienaber ?

Il y a déjà du mouvement chez les Boks. Au lendemain d'un quatrième titre en Coupe du monde, le jeu des chaises musicales continue pour le staff. Alors que Jacques Nienaber devrait poser ses valises en Irlande, Rassie... Lire la suite sur midi-olympique.fr

00:22 -

Rugby - Finale de la Coupe du monde. Et de quatre pour l'Afrique du Sud !

Lecture zen Un grand bonheur pour les Sprinkboks, champions du monde pour la quatrième fois de leur histoire. - AFP Après les couronnes planétaires de 1995, de 2007 et de 2019, l'Afrique du Sud s'installe sur le trône du rugby mondial en devenant l'équipe la plus titrée de la compétition. Devant les Néo-Zélandais, sacrés en 1987, 2011 et 2015. Les Boks n'ont d'ailleurs jamais perdu en finale de Mondial, ayant dominé -déjà- la Nouvelle-Zélande (15-12 ap) en 1995 puis l'Angleterre (15-6) en 2007 et encore (32-12) en 2019. Ils conservent également la Coupe Webb-Ellis, une première depuis… les All Blacks, auteurs du doublé 2011-2015. Loin des envolées lyriques des coéquipiers des légendes Dan Carter et Richie McCaw, considérés à l'époque comme la plus grande équipe All Black de l'histoire, les Springboks de 2019 et 2023 se sont appuyés sur le jeu au pied de leur ouvreur Handré Pollard (12 points), déjà décisif il y a quatre ans, pour aller chercher un nouveau sacre et se tailler une place éternelle au panthéon du rugby. Pour construire cette victoire mondiale, quatre ans après leur titre au Japon, les têtes pensantes des Boks Rassie Erasmus et Jacques Nienaber ont d'ailleurs pu compter sur ce qui fait leur force : un pack en titane, une conquête intraitable et, surtout, un banc aussi puissant que décisif. Les Sud Africains ont aussi bénéficié d'un brin de chance... Le troisième ligne Deon Fourie, qui peut aussi dépanner au poste de talonneur, éphémère joueur de Lyon et de Grenoble, a ainsi dû entrer en jeu au bout de quatre minutes pour remplacer le seul N.2 de l'effectif Bongi Mbonambi, touché à un genou. Avec succès puisqu'il a signé 21 plaquages, sept de moins que l'omniprésent Pieter-Steph du Toit. Puissance quatre La boule de démolition Ox Nche (52e) ou les colossaux RG Snyman (52e) et Kwagga Smith (60e) ont également jailli du banc pour apporter leur pierre à l'édifice de la nation arc-en-ciel, un temps ébranlée par les exclusions temporaires du capitaine Siya Kolisi (46e), futur joueur du Racing 92, et de l'ailier Cheslin Kolbe (73e), bourreau des Bleus en quart. Ils ont aussi, et surtout, su profiter de l'inhabituelle indiscipline néo-zélandaise, marquée par cinq pénalités concédées mais surtout le carton jaune pour le troisième ligne Shannon Frizell (3e) et celui, transformé en rouge par le bunker, récolté par le capitaine Sam Cane (34e). Redoutables de pragmatisme, les Springboks avaient clairement visé cette Coupe du monde en France, occultant le Rugby Championship. Et qu'importe la défaite face à l'Irlande (13-8), les Boks sont allés ch Lire la suite sur lest-eclair.fr

Samedi 28 octobre 2023
14:00 -

Nouvelle-Zélande – Afrique du Sud. Quelle sera l'attitude les Springboks face au haka en finale ?

Durant cette Coupe du monde, seuls les Irlandais ont réagi au haka des All Blacks en quart de finale. Les Bleus n'avaient rien entrepris lors du match d'ouverture à la différence d'autres confrontat... Lire la suite sur ouest-france.fr

11:59 -

Rugby - Coupe du monde : une finale quatre étoiles entre les Boks et les Blacks

Codie Taylor (à gauche) et Bongi Mbonambi détiennent une partie des clés de cette rencontre suprême. - AFPMis en ligne le 28/10/2023 à 11:58 Lecture zen Dans la nuit du Stade de France, il ne pourra en rester qu'un, aujourd'hui à Saint-Denis. Qui de l'Afrique Sud, sacrée en 1995, en 2007 et 2019, ou de la Nouvelle-Zélande, couronnée en 1987, 2011 et 2015, va s'installer tout en haut ? Après sept semaines de compétition, Springboks et All Blacks, n° 1 et n° 2 du classement World Rugby, luttent donc pour un quatrième titre. Les Blacks ont surmonté leur défaite initiale devant les Bleus (13-27), le 8 septembre, pour enchaîner avec un sans-faute, dont la victoire épique en quarts face à l'Irlande (28-24) et une démonstration aux dépens de l'Argentine (44-6) en demies. Un chemin de championne pour une équipe un temps au bord de l'explosion, désignée comme la formation néo-zélandaise la plus faible de l'histoire avant le début de l'épreuve et battue lourdement par sa rivale du soir (7-35) en préparation, en août à Londres. À lire aussi Rugby - Coupe du Monde : les finalistes exposent leur plan Les Boks, eux, ont démarré leur campagne en dominant l'Écosse (18-3), perdant ensuite contre l'Irlande (8-13) et assommant la France (29-28) puis l'Angleterre (16-15). La Nouvelle-Zélande est le dernier pays à avoir brandi la coupe Webb-Ellis deux fois de suite Quatre ans après leur triomphe, les Sud-Africains, véritables rouleaux compresseurs qui broient les adversaires, ont donc l'occasion de devenir la première nation à conserver la coupe Webb-Ellis depuis… la Nouvelle-Zélande. Consultez l'actualité en vidéo Mais l'enjeu est autre car c'est bien un quatrième trophée qui attend le vainqueur de cette finale XXL. Un duel au sommet aussi acharné qu'indécis après cinquante jours de tournoi et quarante-sept matches au cours desquels sont tombés, tour à tour, les décevants Australiens, les talentueux Écossais, les hôtes français, les enthousiasmants Fidjiens, les cadors irlandais et enfin les surprenants Anglais. Cette 10e édition va ainsi s'achever sur un classique, un choc de titans. Et tant pis pour les Bleus, qui ont fait rêver leurs supporters jusqu'à leur sortie de route prématurée. « Nous nous sommes préparés aussi dur que possible, nous savons à quoi nous attendre : il n'y a rien de plus grand. C'est énorme » a assuré le troisième ligne et capitaine Siya Kolisi. À lire aussi Coupe du monde de rugby : l'Angleterre prend le bronze au forceps contre l'Argentine Et l'ouvreur Francois de Klerk d'abonder : « Ça veut dire beaucoup, notamment en raison de l'histoire entre les deux équipes, comme la finale de 1995. Le fait de pouvoir les affronter à nouveau rappelle beaucoup de souvenirs à beaucoup de gens au pays. (...) Quand on voit les joueurs qu'ils ont, des gars que nous admirons depuis que nous sommes à l'école et qui jouent leur dernier match maintenant, il y a beaucoup de choses qui sont spéciales. » Même Lire la suite sur paris-normandie.fr

07:55 -

Coupe du monde de rugby : Nouvelle-Zélande – Afrique du Sud, une finale quatre étoiles

Lors de leur dernière confrontation en Coupe du monde, en 2019 au Japon, Beauden Barrett et les All Blacks s'étaient imposés 23-13 contre les futurs champions du monde. - AFPMis en ligne le 28/10/2023 à 07:55 Lecture zen Dans la nuit du Stade de France, il ne pourra en rester qu'un, samedi 28 octobre à Saint-Denis. Qui de l'Afrique Sud ou de la Nouvelle-Zélande va s'installer tout en haut à l'issue de la finale de la Coupe du monde 2023 ? Après sept semaines de compétition, Springboks et All Blacks, nº1 et nº2 du classement World Rugby, luttent donc pour un quatrième titre, un record. Consultez l'actualité en vidéo Les Blacks ont surmonté leur défaite initiale devant les Bleus (13-27), le 8 septembre, pour enchaîner avec un sans-faute, dont la victoire épique en quarts face à l'Irlande (28-24) et une démonstration aux dépens de l'Argentine (44-6) en demies. Un chemin de championne pour une équipe un temps au bord de l'explosion, désignée comme la formation néo-zélandaise la plus faible de l'histoire avant le début de l'épreuve et battue lourdement par sa rivale du soir (7-35) en préparation, en août à Londres. La Nouvelle-Zélande est le dernier pays à avoir brandi la coupe Webb-Ellis deux fois de suite Les Boks, eux, ont démarré leur campagne en dominant l'Écosse (18-3), perdant ensuite contre l'Irlande (8-13) et assommant la France (29-28) puis l'Angleterre (16-15). Quatre ans après leur triomphe, les Sud-Africains, véritables rouleaux compresseurs qui broient les adversaires, ont donc l'occasion de devenir la première nation à conserver la coupe Webb-Ellis depuis… la Nouvelle-Zélande. Nous nous sommes préparés aussi dur que possible, nous savons à quoi nous attendre : il n'y a rien de plus grand. Siya Kolisi, troisième ligne et capitaine de l'Afrique du Sud Mais l'enjeu est autre car c'est bien un quatrième trophée qui attend le vainqueur de cette finale XXL. Un duel au sommet aussi acharné qu'indécis après cinquante jours de tournoi au cours desquels sont tombés, tour à tour, les décevants Australiens, les talentueux Écossais, les hôtes français, les enthousiasmants Fidjiens, les cadors irlandais et enfin les surprenants Anglais. Sept avants sur le banc sud-africain Cette 10eédition va ainsi s'achever sur un classique, un choc de titans. « Nous nous sommes préparés aussi dur que possible, nous savons à quoi nous attendre : il n'y a rien de plus grand. C'est énorme », a assuré le troisième ligne et capitaine Siya Kolisi. Et l'ouvreur Francois « Faf » de Klerk d'abonder : « Ça veut dire beaucoup, notamment en raison de l'histoire entre les deux équipes, comme la finale de 1995. Le fait de pouvoir les affronter à nouveau rappelle beaucoup de souvenirs à beaucoup de gens au pays. » Nous sentons l'excitation monter. Nous essayons de contrôler nos émotions. Ian Foster, sélectionneur de la Nouvelle-Zélande Même son de cloche dans le camp d'en face. « Nous sentons l'excitation monter. Nous essayons de contrôler nos Lire la suite sur paris-normandie.fr

00:50 -

Rugby - Coupe du monde. Une finale quatre étoiles

Lecture zen AFP Dans la nuit du Stade de France, il ne pourra en rester qu'un, samedi à Saint-Denis. Qui de l'Afrique Sud, sacrée en 1995, en 2007 et 2019, ou de la Nouvelle-Zélande, couronnée en 1987, 2011 et 2015, va s'installer tout en haut ? Après sept semaines de compétition, Springboks et All Blacks, n° 1 et n° 2 du classement World Rugby, luttent donc pour un quatrième titre. Les Blacks ont surmonté leur défaite initiale devant les Bleus (13-27), le 8 septembre, pour enchaîner avec un sans-faute, dont la victoire épique en quarts face à l'Irlande (28-24) et une démonstration aux dépens de l'Argentine (44-6) en demies. Un chemin de championne pour une équipe un temps au bord de l'explosion, désignée comme la formation néo-zélandaise la plus faible de l'histoire avant le début de l'épreuve et battue lourdement par sa rivale du soir (7-35) en préparation, en août à Londres. Les Boks, eux, ont démarré leur campagne en dominant l'Écosse (18-3), perdant ensuite contre l'Irlande (8-13) et assommant la France (29-28) puis l'Angleterre (16-15). La Nouvelle-Zélande est le dernier pays à avoir brandi la coupe Webb-Ellis deux fois de suite Quatre ans après leur triomphe, les Sud-Africains, véritables rouleaux compresseurs qui broient les adversaires, ont donc l'occasion de devenir la première nation à conserver la coupe Webb-Ellis depuis… la Nouvelle-Zélande. Mais l'enjeu est autre car c'est bien un quatrième trophée qui attend le vainqueur de cette finale XXL. Un duel au sommet aussi acharné qu'indécis après cinquante jours de tournoi et quarante-sept matches au cours desquels sont tombés, tour à tour, les décevants Australiens, les talentueux Écossais, les hôtes français, les enthousiasmants Fidjiens, les cadors irlandais et enfin les surprenants Anglais. Cette 10e édition va ainsi s'achever sur un classique, un choc de titans. Et tant pis pour les Bleus, qui ont fait rêver leurs supporters jusqu'à leur sortie de route prématurée. « Nous nous sommes préparés aussi dur que possible, nous savons à quoi nous attendre : il n'y a rien de plus grand. C'est énorme », a assuré le troisième ligne et capitaine Siya Kolisi. Et l'ouvreur Francois « Faf » de Klerk d'abonder : « Ça veut dire beaucoup, notamment en raison de l'histoire entre les deux équipes, comme la finale de 1995 . Le fait de pouvoir les affronter à nouveau rappelle beaucoup de souvenirs à beaucoup de gens au pays. (...) Quand on voit les joueurs qu'ils ont, des gars que nous admirons depuis que nous sommes à l'école et qui jouent leur dernier match maintenant, il y a beaucoup de choses qui sont spéciales. » Même son de cloche dans le camp d'en face. « Nous sentons l'excit Lire la suite sur lest-eclair.fr

00:02 -

Fébrile pour démarrer, terrible à l’arrivée : l’implacable diesel sud-africain

"Equipe à la moyenne d’âge la plus élevée de cette Coupe du monde, l’Afrique du Sud a pris l’habitude de rater ses débuts de match face aux gros mais de monter en puissance jusqu’à finir très fort. Cela n’avait pas suffi en poules contre l’Irlande (8-13) mais la victoire a été au bout face au XV de France et à l’Angleterre. En attendant la passe de trois samedi en finale contre les All Blacks ?" Lire la suite sur eurosport.fr

Vendredi 27 octobre 2023
22:30 -

La Fédération Irlandaise de rugby renouvelle un taulier 

Ce vendredi, la Fédération irlandaise de rugby a confirmé la prolongation du contrat du talentueux centre Bundee Aki. Révélant des performances exceptionnelles lors de la Coupe du Monde et même sélectionné parmi les finalistes pour le titre de meilleur joueur du monde, Aki a décidé de prolonger son engagement avec la Fédération irlandaise, une nouvelle […] Lire la suite sur sport.fr

10:56 -

Rugby - Coupe du Monde : les finalistes exposent leur plan

Même lutte, même combat pour les Sud-Africains de Siya Kolisi (à gauche) et les Néo-Zélandais de Sam Cane. Deux capitaines qui ne rêvent que d'une chose : soulever le trophée Webb Ellis samedi soir. - AFPMis en ligne le 27/10/2023 à 10:56 Lecture zen L'Afrique du Sud, qui affronte la Nouvelle-Zélande en finale de la Coupe du monde, ce samedi (21 heures) au Stade de France, a opté pour un banc avec sept avants. Le reste de la feuille de match est proche de l'équipe qui a battu l'Angleterre (16-15) en demi-finale, en dehors de la charnière formée par Handré Pollard à l'ouverture et Francois de Klerk à la mêlée. Au total, quatorze des vingt-trois joueurs appelés étaient déjà présents au stade ultime en 2019 au Japon contre l'Angleterre (32-12). Consultez l'actualité en vidéo Sur le banc, les Springboks ont décidé de placer les première ligne Deon Fournie, Ox Nche et Trevor Nyakane, les deuxième ligne Jean Kleyn et RG Snyman ainsi que les troisième ligne Kwagga Smith et Jasper Wiese. Le polyvalent trois-quarts Willie Le Roux, qui peut couvrir les postes d'arrière, d'ailier ou d'ouvreur, est le seul arrière suppléant. « Une équipe, ce n'est pas quinze titulaires et huit remplaçants. Une équipe, c'est vingt-trois joueurs. Nous l'avons toujours dit et, quand vous faites vos choix, plein de choses entrent en compte, sur le plan médical ou sur celui de l'analyse de la Nouvelle-Zélande », justifie le sélectionneur, Jacques Nienaber, qui n'a retenu ni le demi d'ouverture Immanuel « Manie » Libbok, ni le demi de mêlée Jacobus « Cobus » Reinach. « Prenez Vincent Koch (pilier droit) : il n'a pas pu s'entraîner lundi et on a une règle qui veut que, si on ne s'entraîne pas, on ne peut pas être sélectionné, donc c'est Trevor (Nyakane) qui entre dans le groupe. Mais il n'y a pas une grande différence de niveau entre les joueurs. » Double Enjeu pour Whitelock Boks ont déjà évolué avec un banc en 7-1, plutôt qu'un 6-2 ou un 5-3 plus traditionnels, à deux reprises : lors de la victoire sur les All Blacks (35-7) en match de préparation, le 25 août à Twickenham, et de la défaite devant l'Irlande (8-13) en phase de poules, le 23 septembre à Saint-Denis. Pour ce qui est des Néo-Zélandais, Brodie Retallick débutera la rencontre à la place de Sam Whitelock. Le deuxième ligne de 32 ans aux 108 sélections ne figurait pas dans la formation de départ la semaine passée lors de la demie facilement gagnée aux dépens des Argentins (44-6). À lire aussi Près de Dieppe, Fabien Galthié et Helena Noguerra photographiés nus sur la plage : le couple porte plainte Joueur le plus capé de l'histoire de son pays (152 sélections), Whitelock (35 ans) deviendra, s'il sort du banc face aux Sud-Africains, le premier rugbyman à avoir disputé trois finales mondiales. Il est sorti vainqueur des deux premières, en 2011 face aux Français (8-7) en Nouvelle-Zélande et en 2015 contre les Australiens (34-17) au Royaume-Uni. Il s'agit là du seul changement opéré Lire la suite sur paris-normandie.fr

09:00 -

Coupe du monde de rugby 2023. Frère d'un joueur tué en 2019, un retour miraculeux : Mark Telea veut marquer la finale Nouvelle-Zélande - Afrique du Sud

Absent pour des raisons disciplinaires du quart de finale contre l'Irlande, le Néo-Zélandais Mark Telea a été très en vue vendredi dernier contre l'Argentine. Samedi (21 heures), l'ailier sera à nouveau aligné d'entrée lors de la finale contre l'Afrique du Sud. Une juste récompense pour un joueur qui a toujours fait preuve de résilience. Lire la suite sur ledauphine.com

09:00 -

Coupe du monde de rugby 2023. Finale : Mark Telea, le retour du refoulé

Absent pour des raisons disciplinaires du quart de finale contre l'Irlande, le Néo-Zélandais Mark Telea a été très en vue vendredi dernier contre l'Argentine. Samedi (21 heures), l'ailier sera à nouveau aligné d'entrée lors de la finale contre l'Afrique du Sud. Une juste récompense pour un joueur qui a toujours fait preuve de résilience. Lire la suite sur estrepublicain.fr