Australie de rugby à XV, actualité coupe du monde

Selon les informations de Midi Olympique, le Racing 92 lorgne le troisième ligne des Waratahs et des Wallabies Rob Leota. Va-t-il se laisser tenter pa... Lire la suite sur lerugbynistere.fr

Un an après avoir quitté le SUA, Clément Bougier met son expérience d'intendant d'un club professionnel au service de la toute nouvelle sélection du Maroc. Avec la Coupe du monde 2027 en Australie comme Lire la suite sur sudouest.fr

Selon la presse australienne, Joe Schmidt pourrait démissionner de son poste de sélectionneur de l'Australie cet été, à deux ans de la Coupe du monde. Lire la suite sur lerugbynistere.fr

Trois des plus gros stades du pays ne seront pas utilisés lors de la Coupe du monde 2027 en Australie, dont un stade de 100 000 places. Lire la suite sur lerugbynistere.fr

L'objectif coupe du monde 2027 en Australie est officiellement lancé par World Rugby. Sur le site officiel rugbyworldcup, World Rugby a dévoilé les éléments clés de cette prochaine compétition. La coupe du monde s'étalera sur deux mois, du 1er Octobre 2027 au 13 novembre 2027. Les instances souhaitent que cette coupe du monde soit plus inclusive, ... Lire la suite sur blog-rct.com

Serge Blanco est l'une des figures les plus emblématiques du rugby français. Né le 31 août 1958 à Caracas, au Venezuela, il grandit en France et développe très tôt une passion pour le rugby, sport dans lequel il deviendra une légende. Carrière de joueur : un parcours exceptionnel Serge Blanco commence sa carrière au Biarritz Olympique, où il se fait rapidement remarquer pour son talent exceptionnel. Joueur de l'équipe nationale française pendant près de 10 ans, il est surtout connu pour son poste d'arrière, mais il peut aussi évoluer en tant que trois-quarts centre. Il est célèbre pour sa rapidité et sa capacité à marquer des essais spectaculaires. Serge Blanco a marqué l'histoire du rugby français par ses performances lors des tournois des Six Nations et des coupes du monde (1987 et 1991). Il est toujours le meilleur marqueur d'essais de l'équipe de France (38 essais en 93 sélections). Sa carrière internationale culmina avec sa participation aux compétitions majeures des années 1980 et au début des années 1990, où il a été un acteur clé de l'équipe qui a été vic-champion du monde en Nouvelle-Zélande en 1987. Carrière après le rugby : un impact durable Après sa retraite en tant que joueur, Serge Blanco est resté actif dans le monde du rugby, notamment en tant que dirigeant et président du Biarritz Olympique (1995-1998 puis de 2008 à 2015). Il s'est impliqué dans des projets de développement du rugby et a contribué à l'évolution du sport en France. Son influence dépasse le simple cadre de joueur ; il a œuvré pour la promotion du rugby à l'international et pour le rayonnement de la culture rugby en France. Blanco a également été impliqué dans diverses actions philanthropiques et a souvent été sollicité pour des rôles de mentor et de conseiller dans des organisations sportives. Serge Blanco est bien plus qu'une légende du rugby ; il est un symbole de l'excellence et de la passion pour ce sport. Son style et ses contributions ont inspiré des générations de joueurs et ont laissé une empreinte indélébile dans le monde du rugby. 🇫🇷 Vous ne verrez rien de plus beau aujourd'hui 💥L'essai de 100 mètres signé Serge Blanco contre l'Australie en demi-finale de la Coupe du monde 1987 🔥pic.twitter.com/qR1DstE9ua— SPORTRICOLORE (@sportricolore) October 11, 2023 Lire la suite sur sport.fr

Incroyable Australie ! Au fond du seau à la fin de l’année 2023, éliminés dès la phase de poule de Coupe du Monde, les Wallabies semblaient ... Lire la suite Lire la suite sur xvovalie.com

Invité dans Clique, Sébastien Chabal n'a pas caché son admiration pour le phénomène Antoine Dupont. Sébastien Chabal, figure emblématique du rugby français, a partagé ses réflexions sur son parcours et celui d'Antoine Dupont dans l'émission Clique, diffusée lundi sur Canal+. L'ancien troisième ligne, surnommé Caveman pour son style singulier, a comparé son expérience lors de la Coupe du monde 2007 à l'impact exceptionnel de la star du Stade Toulousain et du XV de France. "Un héros national, c'est Antoine Dupont" Revenant sur son propre rôle lors de l'événement organisé en France il y a 16 ans, Chabal a exprimé sa gratitude pour l'engouement généré par les Bleus, tout en soulignant une différence fondamentale entre lui et Dupont. "J'ai vécu quelque chose d'incroyable en 2007, mais je n'étais pas un héros national", a-t-il déclaré. "Ce statut, c'est pour un gars comme Antoine Dupont, qui marche sur l'eau et qui est un extraterrestre sur les terrains de rugby." Chabal, qui a marqué 6 essais en 62 sélections, a accepté avec humour le qualificatif de "mascotte", souvent associé à sa popularité. Mais il n'hésite pas à reconnaître que Dupont, élu joueur de rugby à sept de l'année 2024 et récemment sacré champion olympique, est dans une autre dimension : "Lui, c'est un héros national." Une étoile en quête de rédemption Antoine Dupont, dont la notoriété dépasse désormais le cadre du rugby, a vécu une Coupe du monde 2023 difficile, marquée par l'élimination des Bleus en quart de finale. Qualifiant cette défaite de "cicatrice", le demi de mêlée toulousain reste déterminé à écrire une page encore plus glorieuse de sa carrière. "Rendez-vous en Australie dans trois ans", a lancé Dupont, bien décidé à consolider son statut de légende lors du prochain Mondial. Sébastien Chabal conclut sur une note optimiste, saluant l'impact de Dupont sur le rugby français : "Antoine incarne la nouvelle génération. Il inspire et fait rêver, comme peu l'ont fait avant lui." Une passation de flambeau symbolique entre deux icônes du sport. "Le rugby porte les valeurs de tolérance depuis longtemps"Sébastien Chabal réagit à l'engagement d'Antoine Dupont contre l'homophobie en Une du magazine Têtu. pic.twitter.com/nzqD0b1Kwf— CLIQUE (@cliquetv) November 25, 2024 Lire la suite sur sport.fr

À Cardiff, le pays de Galles a subi une lourde défaite face à l'Afrique du Sud (45-12), enregistrant un 12e revers consécutif. Déjà dominés la semaine précédente par l'Australie (52-20), les hommes de Warren Gatland n'ont opposé qu'une faible résistance aux champions du monde. Les Springboks, impériaux, avaient plié la rencontre dès la mi-temps avec un score de 26-5. Les Gallois ont encaissé sept essais signés Mostert, Etzebeth, Arendse, Louw, Fassi, Steenekamp et Hendrikse. Seules deux réalisations galloises, par Rio Dyer et James Botham, sont venues adoucir la débâcle. Sans victoire depuis octobre 2023 (contre la Géorgie en Coupe du monde), le pays de Galles débutera le Tournoi des Six Nations face à la France, le 31 janvier. Lire la suite sur sport.fr

Ce vendredi, le XV de France croise le fer avec les Pumas d'Argentine pour leur dernier test-match de l'année. L'occasion de revenir sur l'histoire du rugby dans ce pays où le football règne en maître, mais où l'ovalie a su se forger une place singulière et prestigieuse. L'histoire du rugby argentin est celle d'un sport devenu un élément essentiel de l'identité sportive du pays, porté par une passion collective et des exploits mémorables. Depuis ses origines modestes jusqu'à son ascension au sommet de la scène internationale, voici un résumé de cette épopée. Les débuts : un sport d'expatriés britanniques Le rugby a été introduit en Argentine à la fin du XIXe siècle par des immigrants britanniques. En 1873, la première équipe de rugby est formée à Buenos Aires, principalement composée de travailleurs et de résidents britanniques. Le premier match officiel recensé a lieu en 1874 entre deux clubs locaux. Le rugby reste alors un sport confidentiel, pratiqué surtout par les communautés anglo-saxonnes. Les premières structures En 1899, l'Union Argentine de Rugby (UAR) est créée pour organiser et promouvoir le sport dans le pays. Les clubs commencent à se multiplier, notamment dans la capitale, et le rugby se développe lentement mais sûrement à travers les provinces. Les Pumas : un symbole national Dans les années 1960, l'équipe nationale argentine commence à s'affirmer sur la scène internationale. C'est lors d'une tournée en Afrique du Sud en 1965 que l'équipe adopte le surnom de "Pumas". Contre toute attente, les Argentins battent les Junior Springboks, un exploit qui marque le début de leur reconnaissance internationale. Les années 1990 : une montée en puissance Le rugby argentin entre dans une nouvelle ère dans les années 1990 grâce à une génération talentueuse de joueurs, comme Hugo Porta (58 sélections - 593 points), considéré comme l'un des meilleurs demi-d'ouverture de son époque. La participation régulière à la Coupe du Monde de Rugby, à partir de 1987, permet à l'équipe de s'aguerrir face aux meilleures nations. 2007 : un tournant historique Le point culminant de l'histoire des Pumas survient lors de la Coupe du Monde de 2007 en France. Sous la direction d'Agustín Pichot, Mario Ledesma, Felipe Contepomi, Juan Martin Hernandez ou Patricio Albacete, l'Argentine termine troisième, battant notamment la France à deux reprises, dont lors du match d'ouverture. Ce résultat historique propulse le rugby argentin sur le devant de la scène et accroît sa popularité dans le pays. Ce fut certainement la meilleure équipe argentine de son histoire. L'intégration au rugby mondial En 2012, l'Argentine rejoint le Rugby Championship, le tournoi qui réunit l'Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande et l'Australie. Cette intégration dans l'élite du rugby mondial renforce la compétitivité des Pumas. En parallèle, les Jaguares, franchise argentine, sont intégrés au Super Rugby en 2016, permettant aux joueurs locaux d'évoluer au plus haut niveau de compétition de clubs. Un sport en pleine expansion Aujourd'hui, le rugby argentin s'est solidement ancré dans la culture sportive du pays. Il bénéficie d'une base de pratiquants en constante augmentation et d'un soutien populaire renforcé par les exploits récents, comme la victoire historique contre les All Blacks en 2020. L'histoire du rugby argentin est celle d'une progression constante, portée par une passion nationale et un esprit combatif, qui ont permis aux Pumas de s'imposer parmi les grandes nations du rugby mondial. Francia 2007. 🥹¡Compartinos tu recuerdo de ese mundial! 👇#SomosLosPumas pic.twitter.com/DWBTGTnE3g— Los Pumas (@lospumas) November 20, 2024 Lire la suite sur sport.fr

Lecture zen Abdelatif Benazzi fait partie des trois candidats à la présidence de World Rugby. - AFPLe rugby mondial, réuni à Dublin à partir de ce mardi 12 novembre, élit jeudi dans la capitale irlandaise son président pour un mandat de quatre années. Le Français Abdelatif Benazzi (56 ans), l'Australien Brett Robinson (54 ans) et l'Italien Andrea Rinaldo (70 ans) briguent le poste suprême. Abdelatif Benazzi, comment va le rugby mondial, selon vous ?Très mal. On peut avoir l'impression lors des Coupes du monde que c'est un sport mondial. En fait, cela ne concerne que quelques pays majeurs, présents depuis cent ans, alors que peu de pays émergent. Et en même temps, ces pays majeurs sont en difficulté financière, la plupart ayant des déficits d'exploitation de plus de 10 millions d'euros. Il y a alerte, le bateau risque de couler. Que faire pour résoudre les difficultés économiques ?Il ne faut pas attendre une fois tous les quatre ans une compétition rentable comme la Coupe du monde. Les tournées d'été et d'automne sont un peu désuètes et sont moins rentables pour les nations, notamment celles du Sud. La Nations Cup à partir de 2026 (qui doit être organisée tous les deux ans avec les meilleures équipes des hémisphères Nord et Sud) sera une compétition novatrice (…). Il faut réfléchir à une stratégie beaucoup plus ouverte. Pour séduire des investisseurs, il faut démontrer de la clarté dans la gouvernance, une transparence et, surtout, une ouverture vers le monde (…), investir dans les régions ou quelques pays, quitte à en recevoir les dividendes dans quelques années. Dans quels pays justement ?Aujourd'hui, onze pays représentent 70 % des droits de vote à World Rugby, cela contribue au conservatisme. Certains pays comme l'Espagne et le Portugal n'ont pas le droit de discussion. Ils subissent. On leur dit tous les quatre ans : vous êtes là pour vous qualifier pour la Coupe du monde mais, entre les Coupes du monde, on ne fait rien (…). Je ne comprends pas pourquoi on est hésitant avec l'Afrique, qui représentera 40 % de l'humanité dans le futur (en 2100, d'après un rapport de l'ONU). À l'inverse, on ne peut pas mettre le quart du budget dans l'Amérique du Nord, avec la Coupe du monde aux États-Unis en 2031, au détriment des autres régions. Et la France ?Tout le monde nous dit : vous avez vu ce que vous avez fait à la Coupe du monde ? Vous êtes un grand pays. Nous avons ouvert nos portes à Marcoussis (le Centre national de rugby), avons partagé nos valeurs, notre modèle est envié par beaucoup. On nous pousse à prendre des décisions, à être dans ce mandat (…). Il faut revoir la gouvernance actuelle. Même la France, qui est un pays majeur, est exclue de certaines décisions. On est au conseil de World Rugby mais on n'est pas au bureau exécutif ; or, on a l'impression que les décisions se prennent là. Je voudrais donner plus de pouvoir au conseil. Quelle est votre position concernant le carton rouge de vingt minutes, qui peut aussi être généralisé Lire la suite sur lest-eclair.fr

Lecture zen Abdelatif Benazzi fait partie des trois candidats à la présidence de World Rugby. - AFPLe rugby mondial, réuni à Dublin à partir de ce mardi 12 novembre, élit jeudi dans la capitale irlandaise son président pour un mandat de quatre années. Le Français Abdelatif Benazzi (56 ans), l'Australien Brett Robinson (54 ans) et l'Italien Andrea Rinaldo (70 ans) briguent le poste suprême. Abdelatif Benazzi, comment va le rugby mondial, selon vous ?Très mal. On peut avoir l'impression lors des Coupes du monde que c'est un sport mondial. En fait, cela ne concerne que quelques pays majeurs, présents depuis cent ans, alors que peu de pays émergent. Et en même temps, ces pays majeurs sont en difficulté financière, la plupart ayant des déficits d'exploitation de plus de 10 millions d'euros. Il y a alerte, le bateau risque de couler. Que faire pour résoudre les difficultés économiques ?Il ne faut pas attendre une fois tous les quatre ans une compétition rentable comme la Coupe du monde. Les tournées d'été et d'automne sont un peu désuètes et sont moins rentables pour les nations, notamment celles du Sud. La Nations Cup à partir de 2026 (qui doit être organisée tous les deux ans avec les meilleures équipes des hémisphères Nord et Sud) sera une compétition novatrice (…). Il faut réfléchir à une stratégie beaucoup plus ouverte. Pour séduire des investisseurs, il faut démontrer de la clarté dans la gouvernance, une transparence et, surtout, une ouverture vers le monde (…), investir dans les régions ou quelques pays, quitte à en recevoir les dividendes dans quelques années. Dans quels pays justement ?Aujourd'hui, onze pays représentent 70 % des droits de vote à World Rugby, cela contribue au conservatisme. Certains pays comme l'Espagne et le Portugal n'ont pas le droit de discussion. Ils subissent. On leur dit tous les quatre ans : vous êtes là pour vous qualifier pour la Coupe du monde mais, entre les Coupes du monde, on ne fait rien (…). Je ne comprends pas pourquoi on est hésitant avec l'Afrique, qui représentera 40 % de l'humanité dans le futur (en 2100, d'après un rapport de l'ONU). À l'inverse, on ne peut pas mettre le quart du budget dans l'Amérique du Nord, avec la Coupe du monde aux États-Unis en 2031, au détriment des autres régions. Et la France ?Tout le monde nous dit : vous avez vu ce que vous avez fait à la Coupe du monde ? Vous êtes un grand pays. Nous avons ouvert nos portes à Marcoussis (le Centre national de rugby), avons partagé nos valeurs, notre modèle est envié par beaucoup. On nous pousse à prendre des décisions, à être dans ce mandat (…). Il faut revoir la gouvernance actuelle. Même la France, qui est un pays majeur, est exclue de certaines décisions. On est au conseil de World Rugby mais on n'est pas au bureau exécutif ; or, on a l'impression que les décisions se prennent là. Je voudrais donner plus de pouvoir au conseil. Quelle est votre position concernant le carton rouge de vingt minutes, qui peut aussi être généralisé Lire la suite sur lardennais.fr

Le controversé arbitre du quart de finale de Coupe du monde entre la France et l'Afrique du Sud a été critiqué pour sa prestation lors d'Angleterre-Australie samedi. Lire la suite sur sports.fr

Pour ce premier week-end des tests d’automne, hormis le France – Japon, l’Irlande et la Nouvelle-Zélande se retrouvent dans un affrontement tant attendu, un an après leur quart de finale épique en Coupe du Monde. Tour d’horizon des chocs à venir ce week-end. Irlande – All Blacks : Un an après la défaite au MondialUn an après leur défaite 28-24 contre les All Blacks en quart de finale du Mondial 2023, l’Irlande d’Andy Farrell affronte à nouveau la Nouvelle-Zélande, ce vendredi à Dublin. Les Néo-Zélandais, dirigés par Scott Robertson, ont connu un Rugby Championship décevant et restent privés de Beauden Barrett (commotion). Cependant, ils comptent sur des joueurs comme l’émergent Wallace Sititi. L’Irlande, quant à elle, enregistre les retours de Bundee Aki, Mack Hansen et Hugo Keenan. Angleterre – Australie : Un duel décisifAprès une année difficile, Steve Borthwick espérait un répit pour l’Angleterre, mais les récentes défaites face aux All Blacks ont relancé la pression. Une nouvelle défaite contre l’Australie ce samedi mettrait en péril la reconstruction en cours. Les Wallabies, eux, sous la houlette de Joe Schmidt, sont en quête de repères après une élimination précoce au Mondial et une dernière place au Rugby Championship. Italie – Argentine : Une confirmation attendueSous la direction de Gonzalo Quesada, l’Italie a réalisé son meilleur Tournoi des Six Nations, avec deux victoires et un nul. Après une victoire contre le Japon cet été, les Italiens cherchent à confirmer leur progrès face à l’Argentine samedi. Bien que les Pumas aient eu un été difficile, leur victoire historique contre la Nouvelle-Zélande au Rugby Championship a relancé l’espoir d’une grande performance. Ecosse – Afrique du Sud : Un choc avec les championsLes Écossais, après une victoire facile contre les Fidji, se préparent à affronter l’Afrique du Sud dimanche. Bien qu’ils n’aient pas battu les Boks depuis 2010, les Écossais espèrent bien contester le champion du monde. Le défi est de taille, d’autant que les Sud-Africains arrivent après avoir remporté le Rugby Championship. Pays de Galles – Fidji : Un test pour les GalloisLe Pays de Galles, après une dernière place au Tournoi des Six Nations, affronte les Fidji dimanche. Privés de plusieurs joueurs clés, les Fidjiens reviendront avec des talents comme Sireli Maqala, actuellement meilleur marqueur du Top 14 avec l’Aviron Bayonnais. Les Gallois devront se ressaisir face à cette équipe pleine de promesses. 🔥😍 Samedi, vos Bleus 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 au @StadeFrance ! 🇫🇷🇯🇵#XVdeFrance #NeFaisonsXV #FRAJPN pic.twitter.com/GrycYXve2z— France Rugby (@FranceRugby) November 7, 2024 Lire la suite sur sport.fr

Troisièmes de la poule C lors de la Coupe du Monde 2023 et derniers du Rugby Championship 2024 avec qu'un seule victoire en six matchs, l'Australie connait une période très compliquée. Les 10 èmes du classement World Rugby (derrière l'Italie 8ème et les Fidji 9ème) sont à la peine et c'est pourquoi ils ont placé ... Lire la suite sur blog-rct.com

Sione Tuipulotu, des Glasgow Warriors, a été nommé capitaine du XV écossais pour les tests de novembre. L’Écosse affrontera les Fidji, l’Afrique du Sud, le Portugal et l’Australie à Murrayfield. Le sélectionneur écossais Gregor Townsend a annoncé mercredi que Sione Tuipulotu, centre d’origine australienne, sera le nouveau capitaine du XV du Chardon pour les tests de novembre, où il affrontera notamment l’Australie. Tuipulotu, qui évolue avec les Glasgow Warriors, remplace Rory Darge et Finn Russell, les co-capitaines du dernier Tournoi des VI nations, désormais vice-capitaines. Townsend a souligné que Tuipulotu a été un leader clé au cours des deux dernières années, citant ses performances en tant que capitaine de Glasgow et son rôle important lors d’un match contre le Chili en coupe du monde. En novembre, l’Écosse recevra les Fidji, l’Afrique du Sud, le Portugal et l’Australie à Murrayfield. À 27 ans, Tuipulotu sera le leader d’un groupe de 45 joueurs, incluant son frère Mosese, ainsi que des joueurs comme Blair Kinghorn à l’arrière et Duhan van der Merwe sur les ailes. Darcy Graham, de retour de blessure depuis la Coupe du Monde 2023, est également présent dans la sélection. Sione Tuipulotu, Scotland captain 🫡Read more ➡️ https://t.co/JrGbiSyMud pic.twitter.com/eUVapV3BMM— Scottish Rugby (@Scotlandteam) October 23, 2024 Lire la suite sur sport.fr

Will Skelton avec l'équipe d'Australie, le calendrier de la Coupe du monde féminine, le groupe des Fidji pour la tournée... Voici les infos rugby majeures du mardi 22 octobre. Lire la suite sur actu.fr

Pour participer à la tournée en Europe du mois de novembre, le sélectionneur de l'Australie a rappelé Will Skelton, absent depuis la dernière Coupe du monde. Un grand retour avec les Wallabies qui privera La Rochelle de son géant pendant plusieurs semaines. Cet article Top 14 – La Rochelle : Skelton, de nouveau appelé par l’Australie, manquera pendant plusieurs semaines est apparu en premier sur Rugby 365. Lire la suite sur rugby365.fr

Les Wallabies, qui sillonneront l'Europe le mois prochain, pourront compter sur le deuxième-ligne de La Rochelle Will Skelton, qui n'avait plus joué pour l'Australie depuis la Coupe du monde 2023. Lire la suite sur lequipe.fr

Will Skelton, qui s'était blessé durant la Coupe du monde 2023 alors qu'il était capitaine des Wallabies, a été rappelé pour pour la tournée de novembre Lire la suite sur sudouest.fr

Jack Willis, troisième-ligne international anglais de 27 ans, a officiellement signé un contrat de quatre ans avec le Stade Toulousain, jusqu’en 2029. Arrivé à Toulouse en 2022 en provenance des Wasps, Willis a rapidement conquis une place de titulaire et a contribué aux récents succès du club, dont deux titres de champion de France (2023, 2024) et une Coupe des Champions (2024). Cependant, cette prolongation met fin à ses ambitions avec le XV de la Rose, car les joueurs évoluant à l’étranger ne sont pas sélectionnés par l’Angleterre. Par conséquent, Willis ne participera probablement pas à la Coupe du monde 2027 en Australie. Après une blessure à la cuisse, il fera son retour sur le terrain samedi contre Pau (21h05) pour le compte de la 7e journée du Top 14. 🏉🗣️ Jack Willis sur son avenir : «Oui, j’ai pris ma décision. Laquelle ? Vous allez voir bientôt…» @acturugby #top14 #SPST pic.twitter.com/sPExTFdv32— Clément Mazella (@ClementMazella) October 18, 2024 Lire la suite sur sport.fr

Bien qu'engagé avec le Stade Rochelais jusqu'en 2028, Skelton a confirmé son envie de revenir en sélection. Le deuxième-ligne de 32 ans, qui compte 30 sélections, n'a plus porté le maillot australien depuis la Coupe du Monde de l'année dernière. L'équipe australienne affrontera l'Angleterre, le Pays de Galles, l'Écosse et l'Irlande le mois prochain, après ... Lire la suite sur blog-rct.com

Le manager du Stade-Toulousain, Ugo Mola va-t-il prendre les commandes de l’équipe de France après la Coupe du monde de 2027 qui se jouera en Australie ? Interrogé sur le sujet via Midi Olympique, le principal intéressé a donné son avis. Il affirme ne pas du tout penser à l’équipe de France, du moins pour […] L'article La réponse franche d’Ugo Mola concernant un éventuel poste de sélectionneur du XV de France ! est apparu en premier sur Minute Sports. Lire la suite sur minutesports.fr

Le manager du Stade-Toulousain, Ugo Mola va-t-il prendre les commandes de l'équipe de France après la Coupe du monde de 2027 qui se jouera en Australie ? Interrogé sur le sujet via Midi Olympique, le principal intéressé a donné son avis. Il affirme ne pas du tout penser à l'équipe de France, du moins pour ... Lire la suite sur blog-rct.com

Pour les quatre prochaines saisons, et au-delà même de la Coupe du monde 2027 en Australie, la FFR sera sous contrat avec Adidas pour la réalisation d... Lire la suite sur lerugbynistere.fr

Pour les quatre prochaines saisons, et au-delà même de la Coupe du monde 2027 en Australie, la FFR sera sous contrat avec Adidas pour la réalisation d... Lire la suite sur lerugbynistere.fr

À la fin du mois d'août 2024, World Rugby a été saisi par la Fédération australienne d'un litige l'opposant à son homologue française au sujet du match de préparation à la Coupe du monde disputé en août 2023 à Saint... Lire la suite sur ladepeche.fr