Les Wallabies ont-ils trouvé leur messie ?
Troisièmes de la poule C lors de la Coupe du Monde 2023 et derniers du Rugby Championship 2024 avec qu'un seule victoire en six matchs, l'Australie connait une période très compliquée. Les 10 èmes du classement World Rugby (derrière l'Italie 8ème et les Fidji 9ème) sont à la peine et c'est pourquoi ils ont placé ... Lire la suite sur blog-rct.com
Coupe du monde féminine 2025 – Le calendrier connu, les Bleues débuteront face à l’Italie
Quelques jours après la révélation des poules de la Coupe du monde féminine 2025, le calendrier de la compétition est connu. Les Bleus débuteront face aux Italiennes. Lire la suite sur rugbyrama.fr
Coupe du monde 2025 (F) : Les Bleues débuteront contre l’Italie
Le calendrier des rencontres de la Coupe du monde féminine 2025 de rugby est connu depuis ce mardi. L'équipe de France, tombée dans une poule 4 qui comprendra également le Brésil, l'Afrique du Sud et l'Italie, débutera la compétition par un premier match face aux Italiennes le 23 août sur la pelouse d'Exeter. Cet article Coupe du monde 2025 (F) : Les Bleues débuteront contre l’Italie est apparu en premier sur Rugby 365. Lire la suite sur rugby365.fr
Les Bleues débuteront leur Mondial contre l'Italie le 23 août
World Rugby a communiqué ce mardi le calendrier des matches de la Coupe du monde (22 août-27 septembre 2025). Les Bleues débuteront par l'Italie le samedi 23 août à Exeter. Lire la suite sur lequipe.fr
XV de France féminin : les Bleues connaissent leurs adversaires pour le Mondial 2025
La France, dans une poule abordable au Mondial 2025 de rugby, affrontera l’Italie, l’Afrique du Sud et le Brésil. Les Bleues cmptent « monter en puissance » malgré des performances récentes décevantes. David Ortiz, co-sélectionneur des Bleues, a déclaré que la poule abordable dans laquelle la France a été placée lors du tirage au sort du Mondial 2025 de rugby devrait leur permettre de « monter en puissance » avant la deuxième phase de la compétition. La France, actuellement quatrième au classement mondial, fait partie de la poule D aux côtés de l’Italie (8e), de l’Afrique du Sud (12e) et du Brésil (42e), avec les deux premières équipes se qualifiant pour les quarts de finale. Gaëlle Mignot, co-sélectionneuse, a décrit cette poule comme bien mélangée, comportant des équipes connues, notamment l’Italie, qu’elles ont régulièrement battue lors du Tournoi des Six Nations, mais aussi des équipes avec des styles de jeu très différents. Le calendrier de la compétition sera révélé le 22 octobre. Une dynamique difficile Malgré un bilan inquiétant lors des dernières performances au tournoi « Women XV », avec deux défaites contre la Nouvelle-Zélande et le Canada, et une victoire contre les États-Unis, les Bleues restent confiantes. David Ortiz souligne qu’elles ont besoin de jouer des matchs difficiles pour maintenir une intensité élevée. La Coupe du monde aura lieu dans moins d’un an (22 août-27 septembre), et l’équipe a encore quelques matches, dont le Tournoi, pour peaufiner sa stratégie. 🔵 𝐋𝐞𝐬 𝐁𝐥𝐞𝐮𝐞𝐬, édition #WXV 2024 🍁#XVdeFrance pic.twitter.com/gmzcbQTj2t— France Rugby (@FranceRugby) October 12, 2024 Lire la suite sur sport.fr
XV de France féminin : «On sait le potentiel de cette équipe», les Bleues confiantes après le tirage du Mondial 2025
Lors de la prochaine Coupe du monde en Angleterre, la France affrontera l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil pour tenter de se hisser en quarts de finale. Lire la suite sur le figaro
Coupe du Monde. Le XV de France Féminin évite le pire tirage...mais attention au piège !
Les Bleues vont affronter l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil en phase de poules de la Coupe du Monde 2025, un tirage franchement abordable. Lire la suite sur lerugbynistere.fr
Le XV de France féminin avec l'Italie et l'Afrique du Sud lors de la Coupe du monde de rugby 2025 - Le Parisien
Les Bleues ont hérité d'un tirage a priori facile pour les matchs de poules du prochain Mondial féminin de rugby, prévu du 22 août au 27 septembre 2025 en Angleterre. Lire la suite sur leparisien.fr
Coupe du monde 2025 (F) : Les Bleues avec l’Italie, l’Afrique du Sud et le Brésil
Le tirage au sort de la phase de groupes de la Coupe du monde 2025 féminine, qui se déroulera l'an prochain en Angleterre, a eu lieu ce jeudi soir à Londres. Il s'est montré clément envers l'équipe de France, qui affrontera l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil. Cet article Coupe du monde 2025 (F) : Les Bleues avec l’Italie, l’Afrique du Sud et le Brésil est apparu en premier sur Rugby 365. Lire la suite sur rugby365.fr
Rugby féminin : bien lotie, la France avec l'Afrique du Sud et l'Italie à la Coupe du monde 2025
Le XV de France féminin figurera dans la poule D lors du Mondial en Angleterre l'année prochaine. Face à des adversaires à sa portée. Lire la suite sur lefigaro.fr
Coupe du monde féminine – La France avec l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil dans une poule D plutôt favorable
Le tirage au sort de la Coupe du monde 2025 féminine a eu lieu et l'équipe de France connaît ses quatre adversaires : il s'agit de l'Italie, de l'Afrique du Sud et du Brésil. Un tirage au sort clément pour les Bleues,... Lire la suite sur midi-olympique.fr
Rugby féminin: la France épargnée lors du tirage de la Coupe du monde 2025
Le XV de France féminin sera dans la poule D du Mondial 2025 avec l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil, selon le tirage au sort effectué jeudi à Londres, la capitale du pays où se tiendra la compétition en août et septembre 2025. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com
Le XV de France féminin dans la poule de l'Italie et l'Afrique du Sud lors du Mondial 2025
À un peu moins d'un an de la compétition, l'équipe de France féminine de rugby connaît ses adversaires au premier tour de la Coupe du monde en Angleterre : l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil. Lire la suite sur letelegramme.fr
Coupe du monde 2025 : les Bleues joueront l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil en phase de groupes
Lors du tirage au sort, effectué jeudi, les joueuses ont évité les deux adversaires les plus redoutables du chapeau 2. Lire la suite sur francetvinfo.fr
Rugby : Blackadder, Jacobson, Papali'i... Les All Blacks perdent trois avants pour la tournée d'automne en Europe
La Nouvelle-Zélande, finaliste de la dernière Coupe du monde, affrontera en novembre le Japon, l'Angleterre, l'Irlande, la France et l'Italie. Lire la suite sur le figaro
Eben Etzebeth, un Springbok record !
Eben Etzebeth est entré dans l’histoire du rugby sud-africain ce 28 septembre 2024. Il est devenu le Springbok le plus capé, avec 128 sélections, il passe devant Victor Matfield. Voici la carrière de l’un des meilleurs deuxième ligne du monde. Son nom restera dans les annales du rugby. Eben Etzebeth. À 32 ans, il est devenu à l’occasion du match de Rugby Championship entre l’Afrique du Sud et l’Argentine se déroulant le 28 septembre, le joueur sud-africain le plus capé de l’histoire. En prime, l’Afrique du Sud a écrasé les Argentins 48 – 7. C’est ce qu’on appelle fêter un record de la plus belle des manières. Encore un accomplissement de plus dans la carrière d’Eben Etzebeth. Une véritable légende. Un honneur ! « En tant qu’ancien Springbok, je peux affirmer ce que cela représenterait pour Eben de devenir le Springbok le plus capé de l’histoire. Nous voulons faire de ce moment une occasion spéciale pour lui« , avait déclaré Rassie Erasmus, l’entraîneur de l’Afrique du Sud, à l’Irish Times. Ce moment sera gravé à jamais dans la vie du rugbyman. Une carrière exemplaire Revenons au début de l’histoire du deuxième ligne sud-africain. Du haut de ses 2m03 et ses 117kg, il a tout pour être un réel bulldozer. Son conte de fée avec le ballon ovale commence avec la faculté de Varsity Cup, puis avec les Juniors Springboks. A ce moment là déjà, il se montre impressionnant. Eben Etzebeth est surpuissant et se fait très vite remarqué. Il débarque ensuite chez les Stormers en 2012. Il découvre donc le Super 15. Il lui fallut guère de temps pour s’adapter puisque 1 ans plus tard il est nommé parmi les joueurs pouvant espérer glaner le titre de de meilleur joueur du monde. À ses côtés, on retrouve de très grands noms comme l’Italien Sergio Parisse, le Gallois Leigh Halfpenny, les Néo-Zélandais Ben Smith et Kieran Read. La victoire finale revient au All-Black Kieran Read. Malgré tout, la carrière du Springbok est très bien lancée. Le rêve d’une vie ! Sa carrière continue de monter en flèche. Il est la terreur des défenses adverses. En 2015, il dispute sa première Coupe du monde avec l’Afrique du Sud. Titulaire quasiment indiscutable, il disputé 7 matchs mais devra se contenter d’une troisième place finale. Mais Eben Etzebeth ne comptait pas s’arrêter là. En 2019, lors de la Coupe du monde au Japon, celui qui s’est déjà imposé à l’époque comme l’un des meilleurs deuxième ligne du monde, va montrer de quoi il est capable. Une compétition exemplaire qui se finit en apothéose avec une victoire contre les favoris de la compétition, les Anglais, (32-12). Bis répétita ! Attention, ce dernier n’est toujours pas rassasié et les Français vont l’apprendre à leur dépend. En 2023, le sud-africain à 31 ans mais il est toujours aussi affûté et va le montrer lors de la Coupe du monde en France. Les Springboks écartent tour à tour l’Angleterre (16-15), puis la Nouvelle-Zélande (16-15) et même punition pour la France en finale (28-29). Eben Etzebeth est double champion du monde. Rien que ça. Il a joué en France ! Le deuxième brille en sélection et n’est pas en reste en club. Il est passé par les Red Hurricanes, Western Province et surtout le RC Toulon. Avec ces derniers, il a eu la chance de disputer deux finales de Challenges Cup. Ses performances en club et en sélection lui ont même permis d’être encore une fois sélectionné parmi les nominés pour le titre de meilleur joueur du monde 2023. Encore une fois un néo zélandais lui grille la priorité, il s’agit Ardie Savea. Un personnage adulé Malgré sa tendance bagarreur qui lui valu d’innombrable cartons tout au long de sa carrière,Eben Etzebeth reste très apprécié par le monde de l’ovalie. « Eben sera certainement considéré un jour comme l’un des tout meilleurs Boks de l’histoire, si ce n’est le meilleur« , a évoqué son compatriote Victor Matfield dans les colonnes du média sud-africain Rapport. Bref, il fait partie de la légende du rugby et attention à 32 ans il ne compte pas s’arrêter là. Un triplé en 2027 pourrait être envisageable. Il aura 35 ans. LÉGENDE. Lire la suite sur sport.fr
La liste des All Blacks avec Cam Roigard et Sam Cane
Scott Robertson a dévoilé une liste de 36 joueurs néo-zélandais pour la tournée d’automne des All Blacks. Au programme, cinq rencontres de haut niveau, à commencer par un affrontement contre le Japon à Yokohama le 26 octobre, suivi de matches contre l’Angleterre, l’Irlande, la France et l’Italie en novembre. Après avoir perdu le Rugby Championship face à l’Afrique du Sud, Robertson a choisi de maintenir une grande partie de son groupe. La seule modification notable est le retour du demi de mêlée Cam Roigard, de retour après une longue blessure au genou. Initialement incertains, Sam Cane et TJ Perenara ont finalement été retenus pour cette tournée cruciale. Cette série de matchs offrira aux All Blacks l’occasion de se mesurer à certaines des meilleures équipes du monde, dans l’espoir de préparer au mieux la prochaine Coupe du Monde. Lire la suite sur sport.fr
Rugby – Nationale : Le RNR officialise l'arrivée d'un nouvel international uruguayen
Diego Arbelo a disputé la Coupe du monde 2023 - AFPMis en ligne le 16/07/2024 à 18:21 Lecture zen Les supporters du Rouen Normandie Rugby postés devant leur télévision à l'occasion de la rencontre opposant la France et l'Uruguay le 10 juillet dernier ont, sans le savoir, observé la nouvelle recrue de leur club. Ce mardi 16 juillet 2024, le RNR a annoncé le recrutement du pilier droit Diego Arbelo. Consultez l'actualité en vidéo Âgé de 29 ans, ce colosse d'1m90 pour 114 kilogrammes rejoint les bords de Seine après une expérience à Colorno, formation évoluant en première division italienne. « Nous avons étudié plus de trente dossiers » Après German Kesler, les Lions s'offrent donc un nouvel international uruguayen. « Le recrutement d'un nouveau pilier droit a été un gros travail, avoue Jérôme Dunay, le manager général du RNR. Nous avons étudié plus de trente dossiers et le profil de Diego Arbelo nous intéressait particulièrement. Avec ce recrutement, nous considérons que notre groupe est finalisé. » Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : RNR Rugby – Nationale : Le RNR officialise l'arrivée d'un nouvel international uruguayen Ce mardi 16 juillet 2024, le Rouen Normandie Rugby a annoncé le recrutement de Diego Arbelo, pilier droit. Avec l'arrivée de l'international uruguayen, le RNR boucle son mercato. Lire la suite sur paris-normandie.fr
XV de France : ce qu'a dit Fabien Galthié au Centre national du rugby
Lecture zen Fabien Galthié garde le cap et ses ambitions. - AFPMaintien des joueurs expérimentés, élimination en quarts de finale de la Coupe du monde 2023 dans l'Hexagone : quelques jours après un Tournoi des Six nations laborieux, le sélectionneur du XV de France, Fabien Galthié, a défendu sa stratégie, mercredi, lors d'une conférence de presse donnée à Marcoussis (Essonne), cadre du Centre national du rugby (CNR). « On a le potentiel, les joueurs, le talent pour rivaliser avec les meilleurs », a assuré le technicien, malgré l'impression mitigée laissée par la France, 2e du Tournoi, qui a certes fini sur une bonne note contre l'Angleterre (33-31) à Lyon mais avait été balayée par l'Irlande (17-38) à Marseille en ouverture et piteusement accrochée par l'Italie (13-13) à Lille. Il a notamment insisté sur le traumatisme de la douloureuse défaite au Mondial devant les Sud-Africains (28-29) à Saint-Denis, pas digérée par ses joueurs au moment d'entamer le Six nations, pour expliquer son choix de reconduire la majorité de ses cadres plutôt que d'apporter du sang neuf, comme il l'a fait en fin de compétition. « Comment expliquer à des joueurs qui ont perdu un match sur du contenu sportif mais aussi sur des décisions arbitrales qu'ils ont perdu leur place ? », s'est interrogé celui qui a, au passage, confié avoir échangé avec Ben O'Keeffe, l'arbitre néo-zélandais de cette rencontre face aux Springboks, « pas du tout satisfait de sa performance ». Le coach a cependant reconnu « des signaux faibles » qui auraient pu l'alerter, lui et l'encadrement, indiquant avoir retrouvé des joueurs rincés physiquement par l'enchaînement des matches et mentalement par cet échec en quarts. « Je vais citer Thomas Ramos : ‘Quand on a vu les images (du quart de finale), ça nous a fait mal.' », a rapporté Galthié, qui a estimé que « les joueurs n'avaient pas fait ce travail d'acceptation, de dépassement, de digestion comme le staff a pu le faire ». Pour effacer les doutes de ses joueurs, l'entraîneur a choisi de les protéger. « Souvent, quand je perdais, je me disais que c'était la dernière fois que je mettais le maillot de l'équipe de France », se souvient l'ancien demi de mêlée international, qui a donc choisi de leur renouveler sa confiance. « Les joueurs n'ont pas fait ce travail d'acceptation, de dépassement, de digestion comme le staff a pu le faire » Fabien Galthié Pas question non plus de se passer de ses cadres, y compris ceux déjà trentenaires, comme le pilier droit Uini Atonio ou encore le deuxième ligne Romain Taofifenua. « Ça serait dommage que l'âge soit un critère éliminatoire », a t-il déclaré, répétant que « notre ambition est d'amener quasiment la totalité de cet effectif en capacité de jouer la Coupe du monde 2027 ». Pour cela, il y aura cependant « un travail de fond à mener avec eux et leurs clubs », pour éviter que les cadences infernales du Top 14 et de la Champions Cup n'usent trop les joueurs. Un chantier qui sera au programme des prochai Lire la suite sur lunion.fr
Six nations : le « Tournoi d'enfer » du XV de France
Lecture zen L'ailier Louis Bielle-Biarrey et l'arrière Léo Barré se congratulent au terme du France – Angleterre victorieux de samedi à Lyon, rendez-vous attendu qui concluait cette édition 2024. - AFPUne victoire et un classement en trompe-l'œil : celle arrachée samedi soir à Décines-Charpieu (Lyon) au détriment de l'Angleterre (33-31), synonyme de deuxième position à l'arrivée dans le Tournoi des Six nations, ne saurait occulter les nombreuses scories, notamment défensives, du XV de France. Sur le papier, le bilan est plutôt positif : deuxième place derrière l'Irlande lauréate – la quatrième en cinq ans –, deuxième attaque, Thomas Ramos meilleur réalisateur (63 points)… Mais ces chiffres cachent la réalité d'une édition 2024 laborieuse, commencée par une déroute face au XV du Trèfle (17-38) à Marseille et pas vraiment rattrapée par le succès heureux sur l'Écosse (20-16) à Édimbourg et le nul piteux devant l'Italie (13-13) à Villeneuve-d'Ascq (Lille). Les deux résultats contre le Pays de Galles (45-24) à Cardiff et le XV de la Rose sauvent un peu l'ensemble. « On a vécu un Tournoi d'enfer, au sens propre et au sens figuré. Sans répit, tout le temps brûlant, tout le temps sur la brèche. On était parfois sur la cime, parfois sur la tranche… Il fallait être solide. Et les joueurs l'ont été », dixit l'entraîneur national. Les adversaires de la France ont aplati à quatorze reprises à eux cinq, le pire total depuis le début du mandat du sélectionneur Près de six mois après le quart de finale de Coupe du monde dans l'Hexagone perdu face à l'Afrique du Sud (28-29), le 6 octobre 2023 à Saint-Denis, la France n'a pas encore complètement digéré la déception engendrée par cette sortie de route prématurée. Au Groupama Stadium, lieu de la précédente partie gagnée à domicile (60-7 contre l'Italie), le 6 octobre, les hommes de Fabien Galthié ont vécu un condensé de leur Tournoi-2024 : ils ont, tour à tour, été enthousiasmants puis assommants, consistants puis creux, fébriles puis impressionnants de caractère. « On a eu des hauts et des bas mais on est tous restés ensemble. (…) On est passés par pas mal d'états durant ce Tournoi et ça va nous faire grandir en tant que joueurs mais aussi en tant qu'équipe. On a connu des moments pas faciles, ça va nous servir », a résumé l'ailier Louis Bielle-Biarrey. « Il y a eu une remise en question de tout le monde. On ne s'est pas reconnus sur le premier match. On se devait de réagir. On a été touchés dans notre orgueil, dans notre ego », a estimé de son côté le troisième ligne François Cros. Sans Dupont, Ntamack ni Jelonch Malgré le trou d'air traditionnel, sanctionné par trois essais anglais et un 0-21 sec infligé en l'espace de six minutes, les Français ont gardé le meilleur pour la fin, s'imposant au forceps sur une pénalité salvatrice de Ramos (80e). Cette « force de caractère » pour tenir et revenir, vantée par le troisième ligne et capitaine Grégory Alldritt, a donc permis aux siens d'aller chercher un bon cl Lire la suite sur lest-eclair.fr
Rugby : les Bleus achèvent le Tournoi des Six nations sur une note positive
Lecture zen La botte de l'ouvreur Thomas Ramos, auteur de dix-huit points sur les trente-trois marqués par son équipe, a permis aux Bleus d'arracher un succès symbolique. - AFPAu moment d'entrer sur la pelouse du Groupama Stadium à Décines-Charpieu (Rhône) face à l'Angleterre, samedi soir dans la banlieue de Lyon, le XV de France, qui devait l'emporter de justesse (33-31) et terminer 2e du Tournoi des Six nations 2024 derrière l'Irlande, avait déjà pris connaissance de la victoire du XV du Trèfle devant l'Écosse (17-13) à Dublin, un résultat synonyme de sixième succès dans la compétition depuis 2000 – et de deuxième sacre de suite – et le passage à 6. C'est la première fois depuis le doublé du XV de la Rose en 2016 et 2017 qu'un pays conserve son titre. Malgré tout, les hommes de Fabien Galthié ont donc rempli leur part du contrat, dominant les Anglais pour s'offrir la deuxième place pour la quatrième fois sous le mandat du sélectionneur. Un bilan positif qui ne saurait occulter les débuts laborieux des Français, marqués par un lourd revers contre les Irlandais (17-38) à Marseille. La suite n'a pas été beaucoup plus heureuse, avec une victoire un brin chanceuse sur l'Écosse (20-16) suivie d'un nul piteux avec l'Italie (13-13) à Villeneuve-d'Ascq. Les Bleus ont fini par relever la tête face au Pays de Galles (45-24) à Cardiff, avant de conclure en beauté. Il s'agit de la première victoire à domicile depuis la dérouillée infligée aux Italiens en phase de poules du Mondial disputé sur le sol français, le 6 octobre 2023 Dans la capitale des Gaules, la France, bien en place, a pu compter sur des essais du jeune demi de mêlée Nolann Le Garrec (20e), de l'arrière Léo Barré (56e) et du centre Gaël Fickou (60e) pour faire la différence. La terrible désillusion de la Coupe du monde 2023 dans l'Hexagone, achevée au stade des quarts de finale (28-29) devant l'Afrique du Sud, future lauréate aux dépens de la Nouvelle-Zélande (12-11), ne semble pas totalement digérée, et ce succès étriqué au détriment de l'Angleterre a d'ailleurs été un résumé de son Tournoi : du bon et du franchement moins bon, en particulier des absences coupables, notamment en défense, et des actions offensives de classe. Si les coéquipiers de Grégory Alldritt ont joué avec le feu, ils ont également su se redresser alors qu'ils semblaient acculés et incapables de réagir. D'autant que, pour une fois, le banc, à commencer par le talonneur remplaçant Peato Mauvaka, a apporté sa pierre à l'édifice. Le demi d'ouverture Thomas Ramos s'est aussi signalé en finissant meilleur réalisateur de l'épreuve devant l'Écossais Finn Russell avec un total de 63 points, dont 18 contre les Anglais. Il avait déjà signé un tel exploit l'an passé, inscrivant alors 84 pts. Mais tout cela est resté secondaire puisque l'Irlande a poursuivi sa marche inexorable vers son vingt-quatrième couronnement, histoire de fêter la Saint-Patrick avec un jour d'avance. Les Français, eux, ont remporté leur première rencont Lire la suite sur lest-eclair.fr
Rugby : les Bleus achèvent le Tournoi des Six nations sur une bonne note
Lecture zen La botte de l'ouvreur Thomas Ramos, auteur de dix-huit points sur les trente-trois marqués par son équipe, a permis aux Bleus d'arracher un succès symbolique. - AFPAu moment d'entrer sur la pelouse du Groupama Stadium à Décines-Charpieu (Rhône) face à l'Angleterre, samedi soir dans la banlieue de Lyon, le XV de France, qui devait l'emporter de justesse (33-31) et terminer 2e du Tournoi des Six nations 2024 derrière l'Irlande, avait déjà pris connaissance de la victoire du XV du Trèfle devant l'Écosse (17-13) à Dublin, un résultat synonyme de sixième succès dans la compétition depuis 2000 – et de deuxième sacre de suite – et le passage à 6. C'est la première fois depuis le doublé du XV de la Rose en 2016 et 2017 qu'un pays conserve son titre. Malgré tout, les hommes de Fabien Galthié ont donc rempli leur part du contrat, dominant les Anglais pour s'offrir la deuxième place pour la quatrième fois sous le mandat du sélectionneur. Un bilan positif qui ne saurait occulter les débuts laborieux des Français, marqués par un lourd revers contre les Irlandais (17-38) à Marseille. La suite n'a pas été beaucoup plus heureuse, avec une victoire un brin chanceuse sur l'Écosse (20-16) suivie d'un nul piteux avec l'Italie (13-13) à Villeneuve-d'Ascq. Les Bleus ont fini par relever la tête face au Pays de Galles (45-24) à Cardiff, avant de conclure en beauté. Il s'agit de la première victoire à domicile depuis la dérouillée infligée aux Italiens en phase de poules du Mondial disputé sur le sol français, le 6 octobre 2023 Dans la capitale des Gaules, la France, bien en place, a pu compter sur des essais du jeune demi de mêlée Nolann Le Garrec (20e), de l'arrière Léo Barré (56e) et du centre Gaël Fickou (60e) pour faire la différence. La terrible désillusion de la Coupe du monde 2023 dans l'Hexagone, achevée au stade des quarts de finale (28-29) devant l'Afrique du Sud, future lauréate aux dépens de la Nouvelle-Zélande (12-11), ne semble pas totalement digérée, et ce succès étriqué au détriment de l'Angleterre a d'ailleurs été un résumé de son Tournoi : du bon et du franchement moins bon, en particulier des absences coupables, notamment en défense, et des actions offensives de classe. Si les coéquipiers de Grégory Alldritt ont joué avec le feu, ils ont également su se redresser alors qu'ils semblaient acculés et incapables de réagir. D'autant que, pour une fois, le banc, à commencer par le talonneur remplaçant Peato Mauvaka, a apporté sa pierre à l'édifice. Le demi d'ouverture Thomas Ramos s'est aussi signalé en finissant meilleur réalisateur de l'épreuve devant l'Écossais Finn Russell avec un total de 63 points, dont 18 contre les Anglais. Il avait déjà signé un tel exploit l'an passé, inscrivant alors 84 pts. Mais tout cela est resté secondaire puisque l'Irlande a poursuivi sa marche inexorable vers son vingt-quatrième couronnement, histoire de fêter la Saint-Patrick avec un jour d'avance. Les Français, eux, ont remporté leur première rencont Lire la suite sur lunion.fr
Saint-Étienne-lès-Remiremont. 24 jeunes du club de rugby profitent d'une expérience unique
24 joueurs du RC2V ont été sélectionnés, grâce à un concours de dessin proposé par la fédération française de rugby, pour assister au match de Coupe du monde qui a opposé la France à l'Italie au stade Pierre-Mauroy (Lille). Les jeunes reviennent sur cette aventure qui restera gravée à jamais dans leur mémoire. Lire la suite sur vosgesmatin.fr
Tournoi des Six nations : l'émulation a sonné le réveil du XV de France
Lecture zen Le troisième ligne et capitaine Grégory Alldritt, qui revenait de blessure, a jugé bénéfiques les discussions entre les joueurs et le sélectionneur les jours ayant précédé le rendez-vous avec le XV du Poireau. - AFP« Il fallait arrêter de se voir trop beaux » : la nouvelle concurrence introduite au sein du groupe a réveillé le XV de France avant sa large victoire au Pays de Galles (45-24), dimanche, dans le Tournoi des Six nations. Quand ils ont retrouvé le Centre national du rugby (CNR) à Marcoussis (Essonne), lundi 4 mars, une semaine après le match nul en forme de défaite contre l'Italie (13-13) à Saint-Denis, les joueurs ont eu « une très bonne discussion » avec leur sélectionneur, a fait savoir le capitaine Grégory Alldritt. « On a une relation qui permet d'échanger. Il nous a dit son ressenti, nous lui avons donné le nôtre. On a fait cet échange pour construire ensemble. » Le troisième ligne de La Rochelle n'en a pas détaillé le contenu, ni la tonalité générale, mais cette nécessaire mise au point après un début de compétition très loin des attentes a visiblement convaincu Fabien Galthié de faire bouger quelques lignes. Alors que les titulaires de la rencontre à venir en sont traditionnellement informés dès le début de la semaine, les premiers entraînements ont, pour une fois, laissé planer une certaine incertitude et maintenu tout le groupe sous pression. « Il (Galthié) l'avait déjà fait une ou deux fois auparavant, a rappelé Alldritt. Il s'avère que ç'a été une des meilleures semaines d'entraînement depuis très, très longtemps. » « La semaine n'a pas forcément été très drôle. Il faut passer par là quand on ne fait pas de très bons matches. On a travaillé, on a fait l'une de nos meilleures semaines », a confirmé le demi de mêlée Maxime Lucu. « Et, comme par hasard, quand on fait de bons entraînements, on fait de bons matches derrière. » « Comme par hasard, quand on fait de bons entraînements, on fait de bons matches derrière » Maxime Lucu, demi de mêlée Le changement de méthode a eu le mérite de sortir de leur zone de confort des joueurs qui, de leur propre aveu, ronronnaient un peu trop. « Il fallait arrêter de se voir trop beaux », a lâché le talonneur Julien Marchand, ajoutant : « On s'est parlé, même s'il n'y avait pas non plus besoin de trop parler. À ce niveau-là, on sait très bien quand on est moins performant. Il fallait essayer de se rassurer sur les choses simples de notre sport et remettre les choses à l'endroit. » « On devait retrouver de la fraîcheur, à la fois physique et psychologique », a estimé Galthié. « On a un peu modifié la méthode. Grâce à l'émulation, on a réussi à retrouver de l'allant et de la fraîcheur. » Le technicien avait affirmé avant l'entame de l'épreuve vouloir amener, au nom de l'expérience collective, 80 à 90 % du groupe actuel jusqu'à la prochaine Coupe du monde, en 2027 en Australie. Après avoir très peu touché à son effectif lors des trois premières journées, malgré les prestatio Lire la suite sur lardennais.fr
Tournoi des Six nations : le changement aura porté ses fruits pour le XV de France au Pays de Galles
Lecture zen Tout en force, le pilier George-Henri Colombe résiste à la charge du deuxième ligne Will Rowlands. Le Rochelais ira même aplatir à la 65e minute. - AFPAprès son lourd revers contre l'Irlande (17-38) à Marseille, sa victoire heureuse sur l'Écosse (20-16) à Édimbourg et le nul piteux face à l'Italie (13-13) à Saint-Denis, la France a rempli son contrat, dimanche au Pays de Galles (45-24) : assurer une victoire à défaut d'être complètement rassurante. Les hommes de Fabien Galthié ont pu s'appuyer sur cinq essais du centre du Racing 92 Gaël Fickou (22e) et de son partenaire demi de mêlée Nolann Le Garrec (29e), puis du pilier George-Henri Colombe (65e), du deuxième ligne Romain Taofifenua (69e) et du demi de mêlée remplaçant Maxime Lucu (80e). Ils ont aussi pu compter sur la réussite au pied de l'ouvreur et buteur Thomas Ramos, auteur de 20 points et nouveau recordman du nombre de transformations en sélection (64 – Christophe Lamaison et Frédéric Michalak s'étaient arrêtés à 61). Les Bleus n'ont désormais plus perdu face aux Dragons depuis le quart de finale de la Coupe du monde 2019 au Japon (19-20). Ils n'avaient toutefois plus gagné à Cardiff avec un tel écart depuis 2007 (34-7). « On a envoyé beaucoup de jeu, on a enchaîné, on s'est fait plaisir, on s'est lâchés, c'était un match vraiment abouti. Ça fait un bien fou... » Charles Ollivon Dix-sept ans plus tard, les Bleus avaient surtout besoin d'afficher devant le Poireau un autre visage après une entame de Tournoi des Six nations compliquée. Avec une discipline de fer retrouvée (trois pénalités concédées), ils ont certes fait preuve de plus d'envie que contre le Trèfle, été plus conquérants que chez le Chardon et moins fantomatiques que face à la Squadra Azzurra mais tout n'a pas été parfait. Notamment en défense, où le mur mis en place par l'Anglais Shaun Edwards, qui a passé onze ans dans le camp gallois (2008-2019), s'est une nouvelle fois lézardé : par trois fois, la défense française s'est ouverte, permettant à l'ailier Rob Dyer (9e), au demi de mêlée Tomos Williams (29e) et au centre Joe Roberts (43e) d'aller dans l'en-but. « French flair » retrouvé Heureusement pour les coéquipiers du troisième ligne et capitaine Grégory Alldritt, ils ont aussi retrouvé ce « French flair » qui leur faisait défaut, à l'image de cette passe chistera pleine d'audace du demi de mêlée Nolann Le Garrec (33e). Le jeune Racingman a étalé toute sa classe pour sa première titularisation et montré qu'il avait les épaules pour devenir le n° 2 dans la rotation, derrière l'intouchable Antoine Dupont. Le centre Nicolas Depoortère, un des autres bizuths, a également livré une partition complète, tout comme Thomas Ramos et le deuxième ligne Thibaud Flament. Malgré tout, face à une nation qui ne brille plus dans le Tournoi depuis trois ans (deux succès, onze revers), les Bleus, signe de leur fébrilité latente, se sont fait peur avant de surclasser leurs hôtes, qui ont craqué physiquement. « On a envoy Lire la suite sur lest-eclair.fr
Six Nations : le XV de France se rassure en battant le pays de Galles avec le bonus
Lecture zen AFPDu mieux. Après avoir été tenu en échec par l'Italie à domicile il y a deux semaines, le XV de France s'est imposé de belle manière à Cardiff face au pays de Galles (24-45), ce dimanche 10 mars. La victoire bonifiée s'est dessinée en deuxième période, les Tricolores marquant au total cinq essais (Fickou 22e, Le Garrec 29e, Colombe 65e, R.Taofifenua 69e, Lucu 80e). Quarts-de-finalistes de la dernière Coupe du monde, les Gallois ont commencé fort, avant de s'éteindre au fil du match, ne marquant plus de points après la 43e minute… Au classement, les hommes de Fabien Galthié reprennent la 4e place, à égalité de points avec l'Écosse (11) et devant l'Italie (7). Le pays de Galles ferme la marche (4). L'Irlande est en pole position pour remporter le Tournoi avec 16 points, devant l'Angleterre (12), seule à pouvoir encore lui contester le titre après son succès samedi contre le XV du Trèfle. Il faudra pour cela que les Anglais battent les Bleus la semaine prochaine avec le bonus, et que l'Irlande soit défaite par l'Écosse. Mis en ligne le 10/03/2024 à 17:57Six Nations : le XV de France se rassure en battant le pays de Galles avec le bonus Après un nul fâcheux contre l'Italie, les Bleus ont relevé la tête à Cardiff en battant le pays de Galles (24-45) ce dimanche. Lire la suite sur lardennais.fr
Rugby. 6 Nations : un XV de France remanié à la relance au Pays de Galles
Le phénomène du Racing 92 Nolann Le Garrec, à la mêlée, formera avec Thomas Ramos, à l'ouverture, une charnière inédite. - AFPMis en ligne le 10/03/2024 à 05:54 Lecture zen Le XV de France, largement modifié, devra afficher un visage plus conquérant et plus cohérent au Pays de Galles, aujourd'hui (16heures) à Cardiff, pour sauver ce qui peut encore l'être dans un Tournoi des six nations décevant. Consultez l'actualité en vidéo Dictée en partie par les circonstances (méforme du demi de mêlée Maxime Lucu, blessure des ouvreurs Matthieu Jalibert et Romain Ntamack, absence du capitaine star Antoine Dupont, suspension du centre Jonathan Danty…), cette rotation marque aussi une évolution notable de la philosophie du sélectionneur, Fabien Galthié, qui, depuis son arrivée après l'édition2019, s'est bâti une image de chantre de la stabilité. Une nouvelle défaite placerait les Bleus sur la route du triste Tournoi 2016, achevé à la 5eet avant-dernière place avec deux petites victoires Après un lourd revers d'entrée contre l'Irlande (17-38) à Marseille, un succès heureux sur l'Écosse (20-16) à Édimbourg et un nul aussi piteux que miraculeux face à l'Italie (13-13) à Saint-Denis, la France devra retrouver esprit d'entreprise, discipline et réalisme pour espérer rapporter quelque chose de l'enfer du Principality Stadium et se rabibocher avec ses fans. Visiblement pas remis de l'élimination cruelle (28-29) en quarts de finale de la Coupe du monde2023 à domicile devant l'Afrique du Sud, future lauréate, les partenaires de Grégory Alldritt, de retour de blessure, tenteront également de s'éviter une crise avec une nouvelle défaite qui les placerait sur la route du triste Tournoi 2016, achevé à la 5eet avant-dernière place avec deux petites victoires. Trois débutants Le XV du Poireau, de son côté, reste sur trois échecs, devant l'Écosse (26-27), en Angleterre (16-14) et en Irlande (31-7). Quatre si l'on ajoute le quart du Mondial perdu contre l'Argentine (17-29). Rajeuni et sans l'expérimenté George North, le pays de Galles pourrait avoir des airs d'adversaire idéal pour se relancer. « Je n'ai pas beaucoup d'expérience dans le Tournoi, mais j'ai appris qu'il n'y avait pas d'adversaire idéal », tempère l'entraîneur de l'attaque tricolore, Patrick Arlettaz. Fébriles, les Français ? Galthié promet qu'ils seront « bientôt meilleurs ». « On traverse une période difficile, dure. Personne n'est satisfait car on est très exigeants avec nous », poursuit celui qui n'a jamais autant remanié un XV avec huit changements. Il a aussi donné leur chance à trois débutants : Emmanuel Meafou, Nicolas Depoortere et Léo Barré. Le patron des Bleus a toujours battu Galles dans le Tournoi, y compris à Cardiff, avec de courts succès au Principality Stadium, 27-23 en 2020, puis 13-9 en 2022. Rugby. 6 Nations : un XV de France remanié à la relance au Pays de Galles Auteur d'un nul lamentable contre les Italiens qui faisait suite à une victoire chanceus Lire la suite sur paris-normandie.fr
Six nations : le XV de France a une obligation de résultat au Pays de Galles
Lecture zen Le centre de l'Union Bordeaux-Bègles Nicolas Depoortère, champion du monde U20 en 2023, fait partie des nouveaux venus en sélection. - AFPLe XV de France, largement modifié, devra afficher un visage plus conquérant et plus cohérent au Pays de Galles, dimanche 10 mars (16 heures) à Cardiff, pour sauver ce qui peut encore l'être dans un Tournoi des Six nations décevant. Dictée en partie par les circonstances (méforme du demi de mêlée Maxime Lucu, blessure des ouvreurs Matthieu Jalibert et Romain Ntamack, absence du capitaine Antoine Dupont, suspension du centre Jonathan Danty…), cette rotation marque aussi une évolution notable de la philosophie du sélectionneur, Fabien Galthié, qui, depuis son arrivée après l'édition 2019, s'est bâti une image de chantre de la stabilité. Après un lourd revers d'entrée contre l'Irlande (17-38) à Marseille, un succès heureux sur l'Écosse (20-16) à Édimbourg et un nul aussi piteux que miraculeux face à l'Italie (13-13) à Saint-Denis, la France devra retrouver esprit d'entreprise, discipline et réalisme pour espérer rapporter quelque chose de l'enfer du Millennium Stadium et se rabibocher avec ses fans. Visiblement pas remis de l'élimination cruelle (28-29) en quarts de finale de la Coupe du monde 2023 à domicile devant l'Afrique du Sud, future lauréate de l'épreuve, les partenaires de Grégory Alldritt, de retour de blessure, tenteront également de s'éviter une crise avec une nouvelle défaite qui les placerait sur la route du triste Tournoi-2016, achevé à la 5e et avant-dernière place avec deux petites victoires. « Nous sommes dans une période de résilience. Ça ne fait que décupler mon envie de réussir » Fabien Galthié, sélectionneur Le XV du Poireau, de son côté, reste sur trois échecs, devant l'Écosse (26-27), en Angleterre (16-14) et en Irlande (31-7). Quatre si l'on ajoute le quart du Mondial perdu contre l'Argentine (17-29). Rajeunis et sans l'expérimenté centre George North, les Gallois pourraient avoir des airs d'adversaire idéal pour se relancer. « On m'a déjà posé la question avant de rencontrer les Italiens. Quand on croit que c'est l'adversaire idéal, quand on pense que toutes les conditions sont réunies pour faire un très bon match… », tempère l'entraîneur de l'attaque, Patrick Arlettaz. Huit changements dans le quinze de départ Fébriles, les Français ? Galthié promet qu'ils seront « bientôt meilleurs » « Nous traversons une période difficile, dure. Personne n'est satisfait car nous sommes très exigeant avec nous-mêmes », poursuit celui qui n'a jamais autant remanié son équipe depuis qu'il officie. Pour tenter de relancer la machine dans la semaine, le technicien a brouillé les pistes, laissant planer l'incertitude sur ses choix, et fait jouer la concurrence. Ainsi a-t-il effectué huit changements dans son quinze de départ, occultant son record de 2021 (cinq modifications). Il a également donné leur chance à trois débutants, le deuxième ligne Emmanuel Meafou, le centre Nicolas Depoor Lire la suite sur lunion.fr
Pays de Galles-France : Fabien Galthié est-il (encore) l'homme de la situation ?
Après une Coupe du monde qui s'est finie en eau de boudin, le XV de France réalise un Tournoi des Six Nations médiocre. Dévorés par l'Irlande, passés tout proches de la correctionnelle en Écosse et accrochés par l'Italie, les Bleus sont en plein doute avant d'affronter le pays de Galles (dimanche 16h). Des contre-performances qui mettent sous pression un Fabien Galthié qui peine à relancer la machine. Lire la suite sur lci.fr
Rugby. Après sa greffe de moelle osseuse, Joris, 6 ans, salué par le XV de France
Touché par une maladie rare depuis un an, Joris a reçu une greffe de moelle osseuse il y a quatre mois. Depuis, la santé du petit rugbyman de Cours-la-Ville s'améliore. Et il a pu assister, avec un robot caméra, à l'avant match de France-Italie, comme pour France-Fidji pendant la préparation à la Coupe du monde. Lire la suite sur leprogres.fr