6 Nations 2025: la "bomb squad" version french flair, quand le XV de France s'inspire des Springboks
Pour affronter l'Italie, dimanche à 16h, l'équipe de France devrait opter pour une nouveauté sur le banc de touche. En plus de se priver de Matthieu Jalibert et Damian Penaud, Fabien Galthié devrait mettre sur le banc sept avants et un seul trois quart, Maxime Lucu. Une première en équipe de France mais une expérience tentée à de multiples reprises par l'Afrique du Sud, notamment lors de la finale de la Coupe du monde 2023. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com
Six Nations : inspiré par Shane Williams, quadruplé en Coupe du monde... 5 choses à savoir sur Darcy Graham, l’explosif ailier du XV du Chardon
Étincelant contre l’Italie samedi dernier, l’ailier d’Édimbourg est devenu, au fil du temps, un des facteurs X de cette équipe d’Écosse. Face à l’Irlande, il aura fort à faire pour permettre aux siens de décrocher un succès de prestige. Lire la suite sur lefigaro.fr
Six nations: Faletau de retour avec le pays de Galles pour affronter l'Italie
L’expérimenté numéro 8 de 34 ans n’avait plus porté le maillot des Diables rouges depuis la Coupe du monde 2023. Lire la suite sur lefigaro.fr
«Au fond de moi, je le savais» : le Toulousain Ange Capuozzo se confie sur sa dépression
L’ailier Italien de Toulouse a évoqué la période difficile qu’il a vécue la saison dernière, juste après la Coupe du monde 2023. Lire la suite sur lefigaro.fr
Stade toulousain: "Nous ne sommes pas des surhommes": Ange Capuozzo raconte sa période de dépression
Ange Capuozzo est revenu sur la période sombre traversée en décembre 2023, au sortir de sa première Coupe du monde avec l'Italie. Une période de spleen, que le joueur du Stade Toulousain a enfoui trop longtemps en lui, par "humilité vis-à-vis de ceux qui galèrent plus". Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com
Le XV de France vise la passe de trois contre la Nouvelle-Zélande
Lecture zen Un sacré baptême du feu que celui que s'apprête à vivre Romain Buros, l'un des choix forts de Fabien Galthié. - AFPEn 2021, la victoire flamboyante de la France aux dépens de la Nouvelle-Zélande (40-25) avait été un moment marquant du mandat de Fabien Galthié, annonçant une année 2022 exceptionnelle, que la sélection avait achevée invaincue, Grand Chelem à la clé lors du Tournoi des Six nations. Celle de 2023, en ouverture de la Coupe du monde dans l'Hexagone, avait été conquise dans la douleur (27-13), annonciatrice de certaines lacunes, notamment en défense. Des faiblesses qui allaient coûter cher dès le quart de finale, perdu (28-29) devant l'Afrique du Sud, future lauréate de l'épreuve planétaire. Un succès aux dépens des All Blacks version 2024, aujourd'hui (21 h 10) à Saint-Denis, offrirait quelques certitudes à des Bleus impuissants lors du Tournoi face à l'Irlande (38-17), mis en échec par l'Italie (13-13), vainqueurs de l'Angleterre (33-31) en tremblant et toujours en recherche d'un match référence cette année. La partie trop facile contre le Japon, éparpillé (52-12) le week-end passé, n'a pas pu donner beaucoup d'enseignements mais a servi de « match de préparation », des mots mêmes de Galthié, avec quelques bribes d'un jeu davantage porté sur la possession du ballon qu'auparavant. La leçon pourrait prendre une autre tournure face aux Blacks, « une équipe en train de régler ses comptes après avoir vécu certaines années difficiles. Ils veulent reprendre le leadership mondial », a prévenu le technicien des Bleus, jeudi à Marcoussis (Essonne), en annonçant la composition d'équipe. « Ça fait longtemps qu'on n'a pas joué les All Blacks à ce niveau-là. Le défi est immense... » Fabien Galthié Finalistes malheureux du dernier Mondial, 2es du Rugby Championship, les hommes de Scott Robertson semblent avoir trouvé la bonne carburation cet automne. Implacables dans le combat, redoutables d'efficacité sur leurs ballons d'attaque, les Néo-Zélandais ont rappelé qu'il ne fallait pas les enterrer trop vite, gagnant avec autorité en terrain anglais (22-24) et sur le sol irlandais (13-23). La Nouvelle-Zélande est « capable de répondre à toutes les formes de rugby, c'est une équipe qui est très bonne sur les phases de conquête pure, dans le combat, sur le jeu au sol, le jeu aérien, et avec toujours autant de vitesse », a énuméré Galthié. « Ça fait longtemps qu'on n'a pas joué les All Blacks à ce niveau-là. Le défi est immense. » Comme celui qui se présente à Romain Buros, balancé dans le grand bain pour sa première cape, un des choix majeurs de Galthié que ce match doit valider. Ce dernier a écarté les inquiétudes sur ce saut dans l'inconnu, plutôt que de reconduire Léo Barré. Cette rencontre, Matthieu Jalibert aurait forcément aimé la disputer. Rentré à Bordeaux, l'ouvreur de l'UBB ne sera pas sur la feuille, autre décision forte. La lourde tâche d'occuper l'ouverture face à Beauden Barrett (132 sélections, meilleur joueur du monde Lire la suite sur lunion.fr
« La France est exclue de certaines décisions » à la Fédération internationale de rugby
Lecture zen Abdelatif Benazzi fait partie des trois candidats à la présidence de World Rugby. - AFPLe rugby mondial, réuni à Dublin à partir de ce mardi 12 novembre, élit jeudi dans la capitale irlandaise son président pour un mandat de quatre années. Le Français Abdelatif Benazzi (56 ans), l'Australien Brett Robinson (54 ans) et l'Italien Andrea Rinaldo (70 ans) briguent le poste suprême. Abdelatif Benazzi, comment va le rugby mondial, selon vous ?Très mal. On peut avoir l'impression lors des Coupes du monde que c'est un sport mondial. En fait, cela ne concerne que quelques pays majeurs, présents depuis cent ans, alors que peu de pays émergent. Et en même temps, ces pays majeurs sont en difficulté financière, la plupart ayant des déficits d'exploitation de plus de 10 millions d'euros. Il y a alerte, le bateau risque de couler. Que faire pour résoudre les difficultés économiques ?Il ne faut pas attendre une fois tous les quatre ans une compétition rentable comme la Coupe du monde. Les tournées d'été et d'automne sont un peu désuètes et sont moins rentables pour les nations, notamment celles du Sud. La Nations Cup à partir de 2026 (qui doit être organisée tous les deux ans avec les meilleures équipes des hémisphères Nord et Sud) sera une compétition novatrice (…). Il faut réfléchir à une stratégie beaucoup plus ouverte. Pour séduire des investisseurs, il faut démontrer de la clarté dans la gouvernance, une transparence et, surtout, une ouverture vers le monde (…), investir dans les régions ou quelques pays, quitte à en recevoir les dividendes dans quelques années. Dans quels pays justement ?Aujourd'hui, onze pays représentent 70 % des droits de vote à World Rugby, cela contribue au conservatisme. Certains pays comme l'Espagne et le Portugal n'ont pas le droit de discussion. Ils subissent. On leur dit tous les quatre ans : vous êtes là pour vous qualifier pour la Coupe du monde mais, entre les Coupes du monde, on ne fait rien (…). Je ne comprends pas pourquoi on est hésitant avec l'Afrique, qui représentera 40 % de l'humanité dans le futur (en 2100, d'après un rapport de l'ONU). À l'inverse, on ne peut pas mettre le quart du budget dans l'Amérique du Nord, avec la Coupe du monde aux États-Unis en 2031, au détriment des autres régions. Et la France ?Tout le monde nous dit : vous avez vu ce que vous avez fait à la Coupe du monde ? Vous êtes un grand pays. Nous avons ouvert nos portes à Marcoussis (le Centre national de rugby), avons partagé nos valeurs, notre modèle est envié par beaucoup. On nous pousse à prendre des décisions, à être dans ce mandat (…). Il faut revoir la gouvernance actuelle. Même la France, qui est un pays majeur, est exclue de certaines décisions. On est au conseil de World Rugby mais on n'est pas au bureau exécutif ; or, on a l'impression que les décisions se prennent là. Je voudrais donner plus de pouvoir au conseil. Quelle est votre position concernant le carton rouge de vingt minutes, qui peut aussi être généralisé Lire la suite sur lest-eclair.fr
« La France est exclue de certaines décisions » à la Fédération internationale de rugby, estime Benazzi
Lecture zen Abdelatif Benazzi fait partie des trois candidats à la présidence de World Rugby. - AFPLe rugby mondial, réuni à Dublin à partir de ce mardi 12 novembre, élit jeudi dans la capitale irlandaise son président pour un mandat de quatre années. Le Français Abdelatif Benazzi (56 ans), l'Australien Brett Robinson (54 ans) et l'Italien Andrea Rinaldo (70 ans) briguent le poste suprême. Abdelatif Benazzi, comment va le rugby mondial, selon vous ?Très mal. On peut avoir l'impression lors des Coupes du monde que c'est un sport mondial. En fait, cela ne concerne que quelques pays majeurs, présents depuis cent ans, alors que peu de pays émergent. Et en même temps, ces pays majeurs sont en difficulté financière, la plupart ayant des déficits d'exploitation de plus de 10 millions d'euros. Il y a alerte, le bateau risque de couler. Que faire pour résoudre les difficultés économiques ?Il ne faut pas attendre une fois tous les quatre ans une compétition rentable comme la Coupe du monde. Les tournées d'été et d'automne sont un peu désuètes et sont moins rentables pour les nations, notamment celles du Sud. La Nations Cup à partir de 2026 (qui doit être organisée tous les deux ans avec les meilleures équipes des hémisphères Nord et Sud) sera une compétition novatrice (…). Il faut réfléchir à une stratégie beaucoup plus ouverte. Pour séduire des investisseurs, il faut démontrer de la clarté dans la gouvernance, une transparence et, surtout, une ouverture vers le monde (…), investir dans les régions ou quelques pays, quitte à en recevoir les dividendes dans quelques années. Dans quels pays justement ?Aujourd'hui, onze pays représentent 70 % des droits de vote à World Rugby, cela contribue au conservatisme. Certains pays comme l'Espagne et le Portugal n'ont pas le droit de discussion. Ils subissent. On leur dit tous les quatre ans : vous êtes là pour vous qualifier pour la Coupe du monde mais, entre les Coupes du monde, on ne fait rien (…). Je ne comprends pas pourquoi on est hésitant avec l'Afrique, qui représentera 40 % de l'humanité dans le futur (en 2100, d'après un rapport de l'ONU). À l'inverse, on ne peut pas mettre le quart du budget dans l'Amérique du Nord, avec la Coupe du monde aux États-Unis en 2031, au détriment des autres régions. Et la France ?Tout le monde nous dit : vous avez vu ce que vous avez fait à la Coupe du monde ? Vous êtes un grand pays. Nous avons ouvert nos portes à Marcoussis (le Centre national de rugby), avons partagé nos valeurs, notre modèle est envié par beaucoup. On nous pousse à prendre des décisions, à être dans ce mandat (…). Il faut revoir la gouvernance actuelle. Même la France, qui est un pays majeur, est exclue de certaines décisions. On est au conseil de World Rugby mais on n'est pas au bureau exécutif ; or, on a l'impression que les décisions se prennent là. Je voudrais donner plus de pouvoir au conseil. Quelle est votre position concernant le carton rouge de vingt minutes, qui peut aussi être généralisé Lire la suite sur lardennais.fr
Les chocs du week-end des tests d’automne
Pour ce premier week-end des tests d’automne, hormis le France – Japon, l’Irlande et la Nouvelle-Zélande se retrouvent dans un affrontement tant attendu, un an après leur quart de finale épique en Coupe du Monde. Tour d’horizon des chocs à venir ce week-end. Irlande – All Blacks : Un an après la défaite au MondialUn an après leur défaite 28-24 contre les All Blacks en quart de finale du Mondial 2023, l’Irlande d’Andy Farrell affronte à nouveau la Nouvelle-Zélande, ce vendredi à Dublin. Les Néo-Zélandais, dirigés par Scott Robertson, ont connu un Rugby Championship décevant et restent privés de Beauden Barrett (commotion). Cependant, ils comptent sur des joueurs comme l’émergent Wallace Sititi. L’Irlande, quant à elle, enregistre les retours de Bundee Aki, Mack Hansen et Hugo Keenan. Angleterre – Australie : Un duel décisifAprès une année difficile, Steve Borthwick espérait un répit pour l’Angleterre, mais les récentes défaites face aux All Blacks ont relancé la pression. Une nouvelle défaite contre l’Australie ce samedi mettrait en péril la reconstruction en cours. Les Wallabies, eux, sous la houlette de Joe Schmidt, sont en quête de repères après une élimination précoce au Mondial et une dernière place au Rugby Championship. Italie – Argentine : Une confirmation attendueSous la direction de Gonzalo Quesada, l’Italie a réalisé son meilleur Tournoi des Six Nations, avec deux victoires et un nul. Après une victoire contre le Japon cet été, les Italiens cherchent à confirmer leur progrès face à l’Argentine samedi. Bien que les Pumas aient eu un été difficile, leur victoire historique contre la Nouvelle-Zélande au Rugby Championship a relancé l’espoir d’une grande performance. Ecosse – Afrique du Sud : Un choc avec les championsLes Écossais, après une victoire facile contre les Fidji, se préparent à affronter l’Afrique du Sud dimanche. Bien qu’ils n’aient pas battu les Boks depuis 2010, les Écossais espèrent bien contester le champion du monde. Le défi est de taille, d’autant que les Sud-Africains arrivent après avoir remporté le Rugby Championship. Pays de Galles – Fidji : Un test pour les GalloisLe Pays de Galles, après une dernière place au Tournoi des Six Nations, affronte les Fidji dimanche. Privés de plusieurs joueurs clés, les Fidjiens reviendront avec des talents comme Sireli Maqala, actuellement meilleur marqueur du Top 14 avec l’Aviron Bayonnais. Les Gallois devront se ressaisir face à cette équipe pleine de promesses. 🔥😍 Samedi, vos Bleus 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 au @StadeFrance ! 🇫🇷🇯🇵#XVdeFrance #NeFaisonsXV #FRAJPN pic.twitter.com/GrycYXve2z— France Rugby (@FranceRugby) November 7, 2024 Lire la suite sur sport.fr
Les Wallabies ont-ils trouvé leur messie ?
Troisièmes de la poule C lors de la Coupe du Monde 2023 et derniers du Rugby Championship 2024 avec qu'un seule victoire en six matchs, l'Australie connait une période très compliquée. Les 10 èmes du classement World Rugby (derrière l'Italie 8ème et les Fidji 9ème) sont à la peine et c'est pourquoi ils ont placé ... Lire la suite sur blog-rct.com
Coupe du monde féminine 2025 – Le calendrier connu, les Bleues débuteront face à l’Italie
Quelques jours après la révélation des poules de la Coupe du monde féminine 2025, le calendrier de la compétition est connu. Les Bleus débuteront face aux Italiennes. Lire la suite sur rugbyrama.fr
Coupe du monde 2025 (F) : Les Bleues débuteront contre l’Italie
Le calendrier des rencontres de la Coupe du monde féminine 2025 de rugby est connu depuis ce mardi. L'équipe de France, tombée dans une poule 4 qui comprendra également le Brésil, l'Afrique du Sud et l'Italie, débutera la compétition par un premier match face aux Italiennes le 23 août sur la pelouse d'Exeter. Cet article Coupe du monde 2025 (F) : Les Bleues débuteront contre l’Italie est apparu en premier sur Rugby 365. Lire la suite sur rugby365.fr
Les Bleues débuteront leur Mondial contre l'Italie le 23 août
World Rugby a communiqué ce mardi le calendrier des matches de la Coupe du monde (22 août-27 septembre 2025). Les Bleues débuteront par l'Italie le samedi 23 août à Exeter. Lire la suite sur lequipe.fr
XV de France féminin : les Bleues connaissent leurs adversaires pour le Mondial 2025
La France, dans une poule abordable au Mondial 2025 de rugby, affrontera l’Italie, l’Afrique du Sud et le Brésil. Les Bleues cmptent « monter en puissance » malgré des performances récentes décevantes. David Ortiz, co-sélectionneur des Bleues, a déclaré que la poule abordable dans laquelle la France a été placée lors du tirage au sort du Mondial 2025 de rugby devrait leur permettre de « monter en puissance » avant la deuxième phase de la compétition. La France, actuellement quatrième au classement mondial, fait partie de la poule D aux côtés de l’Italie (8e), de l’Afrique du Sud (12e) et du Brésil (42e), avec les deux premières équipes se qualifiant pour les quarts de finale. Gaëlle Mignot, co-sélectionneuse, a décrit cette poule comme bien mélangée, comportant des équipes connues, notamment l’Italie, qu’elles ont régulièrement battue lors du Tournoi des Six Nations, mais aussi des équipes avec des styles de jeu très différents. Le calendrier de la compétition sera révélé le 22 octobre. Une dynamique difficile Malgré un bilan inquiétant lors des dernières performances au tournoi « Women XV », avec deux défaites contre la Nouvelle-Zélande et le Canada, et une victoire contre les États-Unis, les Bleues restent confiantes. David Ortiz souligne qu’elles ont besoin de jouer des matchs difficiles pour maintenir une intensité élevée. La Coupe du monde aura lieu dans moins d’un an (22 août-27 septembre), et l’équipe a encore quelques matches, dont le Tournoi, pour peaufiner sa stratégie. 🔵 𝐋𝐞𝐬 𝐁𝐥𝐞𝐮𝐞𝐬, édition #WXV 2024 🍁#XVdeFrance pic.twitter.com/gmzcbQTj2t— France Rugby (@FranceRugby) October 12, 2024 Lire la suite sur sport.fr
XV de France féminin : «On sait le potentiel de cette équipe», les Bleues confiantes après le tirage du Mondial 2025
Lors de la prochaine Coupe du monde en Angleterre, la France affrontera l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil pour tenter de se hisser en quarts de finale. Lire la suite sur le figaro
Coupe du Monde. Le XV de France Féminin évite le pire tirage...mais attention au piège !
Les Bleues vont affronter l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil en phase de poules de la Coupe du Monde 2025, un tirage franchement abordable. Lire la suite sur lerugbynistere.fr
Le XV de France féminin avec l'Italie et l'Afrique du Sud lors de la Coupe du monde de rugby 2025 - Le Parisien
Les Bleues ont hérité d'un tirage a priori facile pour les matchs de poules du prochain Mondial féminin de rugby, prévu du 22 août au 27 septembre 2025 en Angleterre. Lire la suite sur leparisien.fr
Coupe du monde 2025 (F) : Les Bleues avec l’Italie, l’Afrique du Sud et le Brésil
Le tirage au sort de la phase de groupes de la Coupe du monde 2025 féminine, qui se déroulera l'an prochain en Angleterre, a eu lieu ce jeudi soir à Londres. Il s'est montré clément envers l'équipe de France, qui affrontera l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil. Cet article Coupe du monde 2025 (F) : Les Bleues avec l’Italie, l’Afrique du Sud et le Brésil est apparu en premier sur Rugby 365. Lire la suite sur rugby365.fr
Rugby féminin : bien lotie, la France avec l'Afrique du Sud et l'Italie à la Coupe du monde 2025
Le XV de France féminin figurera dans la poule D lors du Mondial en Angleterre l'année prochaine. Face à des adversaires à sa portée. Lire la suite sur lefigaro.fr
Coupe du monde féminine – La France avec l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil dans une poule D plutôt favorable
Le tirage au sort de la Coupe du monde 2025 féminine a eu lieu et l'équipe de France connaît ses quatre adversaires : il s'agit de l'Italie, de l'Afrique du Sud et du Brésil. Un tirage au sort clément pour les Bleues,... Lire la suite sur midi-olympique.fr
Rugby féminin: la France épargnée lors du tirage de la Coupe du monde 2025
Le XV de France féminin sera dans la poule D du Mondial 2025 avec l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil, selon le tirage au sort effectué jeudi à Londres, la capitale du pays où se tiendra la compétition en août et septembre 2025. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com
Le XV de France féminin dans la poule de l'Italie et l'Afrique du Sud lors du Mondial 2025
À un peu moins d'un an de la compétition, l'équipe de France féminine de rugby connaît ses adversaires au premier tour de la Coupe du monde en Angleterre : l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil. Lire la suite sur letelegramme.fr
Coupe du monde 2025 : les Bleues joueront l'Italie, l'Afrique du Sud et le Brésil en phase de groupes
Lors du tirage au sort, effectué jeudi, les joueuses ont évité les deux adversaires les plus redoutables du chapeau 2. Lire la suite sur francetvinfo.fr
Rugby : Blackadder, Jacobson, Papali'i... Les All Blacks perdent trois avants pour la tournée d'automne en Europe
La Nouvelle-Zélande, finaliste de la dernière Coupe du monde, affrontera en novembre le Japon, l'Angleterre, l'Irlande, la France et l'Italie. Lire la suite sur le figaro
Eben Etzebeth, un Springbok record !
Eben Etzebeth est entré dans l’histoire du rugby sud-africain ce 28 septembre 2024. Il est devenu le Springbok le plus capé, avec 128 sélections, il passe devant Victor Matfield. Voici la carrière de l’un des meilleurs deuxième ligne du monde. Son nom restera dans les annales du rugby. Eben Etzebeth. À 32 ans, il est devenu à l’occasion du match de Rugby Championship entre l’Afrique du Sud et l’Argentine se déroulant le 28 septembre, le joueur sud-africain le plus capé de l’histoire. En prime, l’Afrique du Sud a écrasé les Argentins 48 – 7. C’est ce qu’on appelle fêter un record de la plus belle des manières. Encore un accomplissement de plus dans la carrière d’Eben Etzebeth. Une véritable légende. Un honneur ! « En tant qu’ancien Springbok, je peux affirmer ce que cela représenterait pour Eben de devenir le Springbok le plus capé de l’histoire. Nous voulons faire de ce moment une occasion spéciale pour lui« , avait déclaré Rassie Erasmus, l’entraîneur de l’Afrique du Sud, à l’Irish Times. Ce moment sera gravé à jamais dans la vie du rugbyman. Une carrière exemplaire Revenons au début de l’histoire du deuxième ligne sud-africain. Du haut de ses 2m03 et ses 117kg, il a tout pour être un réel bulldozer. Son conte de fée avec le ballon ovale commence avec la faculté de Varsity Cup, puis avec les Juniors Springboks. A ce moment là déjà, il se montre impressionnant. Eben Etzebeth est surpuissant et se fait très vite remarqué. Il débarque ensuite chez les Stormers en 2012. Il découvre donc le Super 15. Il lui fallut guère de temps pour s’adapter puisque 1 ans plus tard il est nommé parmi les joueurs pouvant espérer glaner le titre de de meilleur joueur du monde. À ses côtés, on retrouve de très grands noms comme l’Italien Sergio Parisse, le Gallois Leigh Halfpenny, les Néo-Zélandais Ben Smith et Kieran Read. La victoire finale revient au All-Black Kieran Read. Malgré tout, la carrière du Springbok est très bien lancée. Le rêve d’une vie ! Sa carrière continue de monter en flèche. Il est la terreur des défenses adverses. En 2015, il dispute sa première Coupe du monde avec l’Afrique du Sud. Titulaire quasiment indiscutable, il disputé 7 matchs mais devra se contenter d’une troisième place finale. Mais Eben Etzebeth ne comptait pas s’arrêter là. En 2019, lors de la Coupe du monde au Japon, celui qui s’est déjà imposé à l’époque comme l’un des meilleurs deuxième ligne du monde, va montrer de quoi il est capable. Une compétition exemplaire qui se finit en apothéose avec une victoire contre les favoris de la compétition, les Anglais, (32-12). Bis répétita ! Attention, ce dernier n’est toujours pas rassasié et les Français vont l’apprendre à leur dépend. En 2023, le sud-africain à 31 ans mais il est toujours aussi affûté et va le montrer lors de la Coupe du monde en France. Les Springboks écartent tour à tour l’Angleterre (16-15), puis la Nouvelle-Zélande (16-15) et même punition pour la France en finale (28-29). Eben Etzebeth est double champion du monde. Rien que ça. Il a joué en France ! Le deuxième brille en sélection et n’est pas en reste en club. Il est passé par les Red Hurricanes, Western Province et surtout le RC Toulon. Avec ces derniers, il a eu la chance de disputer deux finales de Challenges Cup. Ses performances en club et en sélection lui ont même permis d’être encore une fois sélectionné parmi les nominés pour le titre de meilleur joueur du monde 2023. Encore une fois un néo zélandais lui grille la priorité, il s’agit Ardie Savea. Un personnage adulé Malgré sa tendance bagarreur qui lui valu d’innombrable cartons tout au long de sa carrière,Eben Etzebeth reste très apprécié par le monde de l’ovalie. « Eben sera certainement considéré un jour comme l’un des tout meilleurs Boks de l’histoire, si ce n’est le meilleur« , a évoqué son compatriote Victor Matfield dans les colonnes du média sud-africain Rapport. Bref, il fait partie de la légende du rugby et attention à 32 ans il ne compte pas s’arrêter là. Un triplé en 2027 pourrait être envisageable. Il aura 35 ans. LÉGENDE. Lire la suite sur sport.fr
La liste des All Blacks avec Cam Roigard et Sam Cane
Scott Robertson a dévoilé une liste de 36 joueurs néo-zélandais pour la tournée d’automne des All Blacks. Au programme, cinq rencontres de haut niveau, à commencer par un affrontement contre le Japon à Yokohama le 26 octobre, suivi de matches contre l’Angleterre, l’Irlande, la France et l’Italie en novembre. Après avoir perdu le Rugby Championship face à l’Afrique du Sud, Robertson a choisi de maintenir une grande partie de son groupe. La seule modification notable est le retour du demi de mêlée Cam Roigard, de retour après une longue blessure au genou. Initialement incertains, Sam Cane et TJ Perenara ont finalement été retenus pour cette tournée cruciale. Cette série de matchs offrira aux All Blacks l’occasion de se mesurer à certaines des meilleures équipes du monde, dans l’espoir de préparer au mieux la prochaine Coupe du Monde. Lire la suite sur sport.fr
Rugby – Nationale : Le RNR officialise l'arrivée d'un nouvel international uruguayen
Diego Arbelo a disputé la Coupe du monde 2023 - AFPMis en ligne le 16/07/2024 à 18:21 Lecture zen Les supporters du Rouen Normandie Rugby postés devant leur télévision à l'occasion de la rencontre opposant la France et l'Uruguay le 10 juillet dernier ont, sans le savoir, observé la nouvelle recrue de leur club. Ce mardi 16 juillet 2024, le RNR a annoncé le recrutement du pilier droit Diego Arbelo. Consultez l'actualité en vidéo Âgé de 29 ans, ce colosse d'1m90 pour 114 kilogrammes rejoint les bords de Seine après une expérience à Colorno, formation évoluant en première division italienne. « Nous avons étudié plus de trente dossiers » Après German Kesler, les Lions s'offrent donc un nouvel international uruguayen. « Le recrutement d'un nouveau pilier droit a été un gros travail, avoue Jérôme Dunay, le manager général du RNR. Nous avons étudié plus de trente dossiers et le profil de Diego Arbelo nous intéressait particulièrement. Avec ce recrutement, nous considérons que notre groupe est finalisé. » Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : RNR Rugby – Nationale : Le RNR officialise l'arrivée d'un nouvel international uruguayen Ce mardi 16 juillet 2024, le Rouen Normandie Rugby a annoncé le recrutement de Diego Arbelo, pilier droit. Avec l'arrivée de l'international uruguayen, le RNR boucle son mercato. Lire la suite sur paris-normandie.fr
XV de France : ce qu'a dit Fabien Galthié au Centre national du rugby
Lecture zen Fabien Galthié garde le cap et ses ambitions. - AFPMaintien des joueurs expérimentés, élimination en quarts de finale de la Coupe du monde 2023 dans l'Hexagone : quelques jours après un Tournoi des Six nations laborieux, le sélectionneur du XV de France, Fabien Galthié, a défendu sa stratégie, mercredi, lors d'une conférence de presse donnée à Marcoussis (Essonne), cadre du Centre national du rugby (CNR). « On a le potentiel, les joueurs, le talent pour rivaliser avec les meilleurs », a assuré le technicien, malgré l'impression mitigée laissée par la France, 2e du Tournoi, qui a certes fini sur une bonne note contre l'Angleterre (33-31) à Lyon mais avait été balayée par l'Irlande (17-38) à Marseille en ouverture et piteusement accrochée par l'Italie (13-13) à Lille. Il a notamment insisté sur le traumatisme de la douloureuse défaite au Mondial devant les Sud-Africains (28-29) à Saint-Denis, pas digérée par ses joueurs au moment d'entamer le Six nations, pour expliquer son choix de reconduire la majorité de ses cadres plutôt que d'apporter du sang neuf, comme il l'a fait en fin de compétition. « Comment expliquer à des joueurs qui ont perdu un match sur du contenu sportif mais aussi sur des décisions arbitrales qu'ils ont perdu leur place ? », s'est interrogé celui qui a, au passage, confié avoir échangé avec Ben O'Keeffe, l'arbitre néo-zélandais de cette rencontre face aux Springboks, « pas du tout satisfait de sa performance ». Le coach a cependant reconnu « des signaux faibles » qui auraient pu l'alerter, lui et l'encadrement, indiquant avoir retrouvé des joueurs rincés physiquement par l'enchaînement des matches et mentalement par cet échec en quarts. « Je vais citer Thomas Ramos : ‘Quand on a vu les images (du quart de finale), ça nous a fait mal.' », a rapporté Galthié, qui a estimé que « les joueurs n'avaient pas fait ce travail d'acceptation, de dépassement, de digestion comme le staff a pu le faire ». Pour effacer les doutes de ses joueurs, l'entraîneur a choisi de les protéger. « Souvent, quand je perdais, je me disais que c'était la dernière fois que je mettais le maillot de l'équipe de France », se souvient l'ancien demi de mêlée international, qui a donc choisi de leur renouveler sa confiance. « Les joueurs n'ont pas fait ce travail d'acceptation, de dépassement, de digestion comme le staff a pu le faire » Fabien Galthié Pas question non plus de se passer de ses cadres, y compris ceux déjà trentenaires, comme le pilier droit Uini Atonio ou encore le deuxième ligne Romain Taofifenua. « Ça serait dommage que l'âge soit un critère éliminatoire », a t-il déclaré, répétant que « notre ambition est d'amener quasiment la totalité de cet effectif en capacité de jouer la Coupe du monde 2027 ». Pour cela, il y aura cependant « un travail de fond à mener avec eux et leurs clubs », pour éviter que les cadences infernales du Top 14 et de la Champions Cup n'usent trop les joueurs. Un chantier qui sera au programme des prochai Lire la suite sur lunion.fr
Six nations : le « Tournoi d'enfer » du XV de France
Lecture zen L'ailier Louis Bielle-Biarrey et l'arrière Léo Barré se congratulent au terme du France – Angleterre victorieux de samedi à Lyon, rendez-vous attendu qui concluait cette édition 2024. - AFPUne victoire et un classement en trompe-l'œil : celle arrachée samedi soir à Décines-Charpieu (Lyon) au détriment de l'Angleterre (33-31), synonyme de deuxième position à l'arrivée dans le Tournoi des Six nations, ne saurait occulter les nombreuses scories, notamment défensives, du XV de France. Sur le papier, le bilan est plutôt positif : deuxième place derrière l'Irlande lauréate – la quatrième en cinq ans –, deuxième attaque, Thomas Ramos meilleur réalisateur (63 points)… Mais ces chiffres cachent la réalité d'une édition 2024 laborieuse, commencée par une déroute face au XV du Trèfle (17-38) à Marseille et pas vraiment rattrapée par le succès heureux sur l'Écosse (20-16) à Édimbourg et le nul piteux devant l'Italie (13-13) à Villeneuve-d'Ascq (Lille). Les deux résultats contre le Pays de Galles (45-24) à Cardiff et le XV de la Rose sauvent un peu l'ensemble. « On a vécu un Tournoi d'enfer, au sens propre et au sens figuré. Sans répit, tout le temps brûlant, tout le temps sur la brèche. On était parfois sur la cime, parfois sur la tranche… Il fallait être solide. Et les joueurs l'ont été », dixit l'entraîneur national. Les adversaires de la France ont aplati à quatorze reprises à eux cinq, le pire total depuis le début du mandat du sélectionneur Près de six mois après le quart de finale de Coupe du monde dans l'Hexagone perdu face à l'Afrique du Sud (28-29), le 6 octobre 2023 à Saint-Denis, la France n'a pas encore complètement digéré la déception engendrée par cette sortie de route prématurée. Au Groupama Stadium, lieu de la précédente partie gagnée à domicile (60-7 contre l'Italie), le 6 octobre, les hommes de Fabien Galthié ont vécu un condensé de leur Tournoi-2024 : ils ont, tour à tour, été enthousiasmants puis assommants, consistants puis creux, fébriles puis impressionnants de caractère. « On a eu des hauts et des bas mais on est tous restés ensemble. (…) On est passés par pas mal d'états durant ce Tournoi et ça va nous faire grandir en tant que joueurs mais aussi en tant qu'équipe. On a connu des moments pas faciles, ça va nous servir », a résumé l'ailier Louis Bielle-Biarrey. « Il y a eu une remise en question de tout le monde. On ne s'est pas reconnus sur le premier match. On se devait de réagir. On a été touchés dans notre orgueil, dans notre ego », a estimé de son côté le troisième ligne François Cros. Sans Dupont, Ntamack ni Jelonch Malgré le trou d'air traditionnel, sanctionné par trois essais anglais et un 0-21 sec infligé en l'espace de six minutes, les Français ont gardé le meilleur pour la fin, s'imposant au forceps sur une pénalité salvatrice de Ramos (80e). Cette « force de caractère » pour tenir et revenir, vantée par le troisième ligne et capitaine Grégory Alldritt, a donc permis aux siens d'aller chercher un bon cl Lire la suite sur lest-eclair.fr
Rugby : les Bleus achèvent le Tournoi des Six nations sur une note positive
Lecture zen La botte de l'ouvreur Thomas Ramos, auteur de dix-huit points sur les trente-trois marqués par son équipe, a permis aux Bleus d'arracher un succès symbolique. - AFPAu moment d'entrer sur la pelouse du Groupama Stadium à Décines-Charpieu (Rhône) face à l'Angleterre, samedi soir dans la banlieue de Lyon, le XV de France, qui devait l'emporter de justesse (33-31) et terminer 2e du Tournoi des Six nations 2024 derrière l'Irlande, avait déjà pris connaissance de la victoire du XV du Trèfle devant l'Écosse (17-13) à Dublin, un résultat synonyme de sixième succès dans la compétition depuis 2000 – et de deuxième sacre de suite – et le passage à 6. C'est la première fois depuis le doublé du XV de la Rose en 2016 et 2017 qu'un pays conserve son titre. Malgré tout, les hommes de Fabien Galthié ont donc rempli leur part du contrat, dominant les Anglais pour s'offrir la deuxième place pour la quatrième fois sous le mandat du sélectionneur. Un bilan positif qui ne saurait occulter les débuts laborieux des Français, marqués par un lourd revers contre les Irlandais (17-38) à Marseille. La suite n'a pas été beaucoup plus heureuse, avec une victoire un brin chanceuse sur l'Écosse (20-16) suivie d'un nul piteux avec l'Italie (13-13) à Villeneuve-d'Ascq. Les Bleus ont fini par relever la tête face au Pays de Galles (45-24) à Cardiff, avant de conclure en beauté. Il s'agit de la première victoire à domicile depuis la dérouillée infligée aux Italiens en phase de poules du Mondial disputé sur le sol français, le 6 octobre 2023 Dans la capitale des Gaules, la France, bien en place, a pu compter sur des essais du jeune demi de mêlée Nolann Le Garrec (20e), de l'arrière Léo Barré (56e) et du centre Gaël Fickou (60e) pour faire la différence. La terrible désillusion de la Coupe du monde 2023 dans l'Hexagone, achevée au stade des quarts de finale (28-29) devant l'Afrique du Sud, future lauréate aux dépens de la Nouvelle-Zélande (12-11), ne semble pas totalement digérée, et ce succès étriqué au détriment de l'Angleterre a d'ailleurs été un résumé de son Tournoi : du bon et du franchement moins bon, en particulier des absences coupables, notamment en défense, et des actions offensives de classe. Si les coéquipiers de Grégory Alldritt ont joué avec le feu, ils ont également su se redresser alors qu'ils semblaient acculés et incapables de réagir. D'autant que, pour une fois, le banc, à commencer par le talonneur remplaçant Peato Mauvaka, a apporté sa pierre à l'édifice. Le demi d'ouverture Thomas Ramos s'est aussi signalé en finissant meilleur réalisateur de l'épreuve devant l'Écossais Finn Russell avec un total de 63 points, dont 18 contre les Anglais. Il avait déjà signé un tel exploit l'an passé, inscrivant alors 84 pts. Mais tout cela est resté secondaire puisque l'Irlande a poursuivi sa marche inexorable vers son vingt-quatrième couronnement, histoire de fêter la Saint-Patrick avec un jour d'avance. Les Français, eux, ont remporté leur première rencont Lire la suite sur lest-eclair.fr