Argentine

Grégory Alldritt est revenu sur ces derniers mois contrastés avec le XV de France. Ecarté en novembre face à l'Argentine, il a finalement été étincelant lors du Six Nations. Lire la suite sur quinzemondial.com

Le troisième ligne du Rugby Club Toulonnais, Facundo Isa avait annoncé à l'issue de la Coupe du monde de 2023 sa volonté de prendre du recul avec le sélection Argentine. En effet, le solide joueur Varois souhaitait se concentrer à 100%  sur le club Varois et freiner un peu les allers - retours avec les ... Lire la suite sur blog-rct.com

Le sélectioneur du XV d'Angleterre Steve Borthwick a annoncé sa composition de départ pour affronter la France. Le joueur de Northampton Fin Smith débutera au poste d'ouvreur. Après la défaite inaugurale de son équipe en Irlande (27-22), le sélectionneur de l'Angleterre Steve Borthwick a décidé de modifier sa composition d'équipe contre le XV de France. Ainsi, Fin Smith sera positionné comme demi d'ouverture. Il remplacera un autre Smith, Marcus, qui sera aligné au poste d'arrière. Une position qu'il a déjà occupée lors de la Coupe du monde 2023, notamment lors du match pour la troisième place remporté par le XV de la Rose face à l'Argentine. Marcus Smith est préféré à Freddie Stewart, qui avait débuté face au XV du Trèfle samedi dernier. Dans l'entrejeu, Fin Smith sera accompagné d'Alex Mitchell, qui débutera au poste de demi de mêlée, pour une charnière 100 % Northampton. Alors que Tom Curry et Ben Earl seront alignés au poste de troisième ligne aile, Steve Borthwick a décidé de faire démarrer Tom Willis au centre pour alourdir son pack. L'équipe d'Angleterre face au XV de France : M. Smith - Freeman, Lawrence, Slade, Sleightholme - F. Smith, Mitchell - Earl, T. Willis, T. Curry - Martin, Itoje - Stuart, Cowan-Dickie, Genge. Remplaçants : Baxter, Heyes, George, O. Chessum, B. Curry, Cunningham-South, Randall, Daly. https://twitter.com/EnglandRugby/status/1887501500890685702 Lire la suite sur sport.fr

Lecture zen Romain Ntamack, ici à l'entraînement cette semaine au Centre national de rugby à Marcoussis (Essonne), n'a plus revêtu la tunique bleue depuis le 12 août 2023. - AFPLe n° 10 revient : un an et demi après sa dernière apparition sous le maillot du XV de France, Romain Ntamack va reprendre sa place, vendredi (21 h 15) à Saint-Denis contre le Pays de Galles en ouverture du Tournoi des Six nations, dans une feuille de match également marquée par la présence d'Hugo Auradou et Oscar Jegou sur le banc des remplaçants. La charnière la plus utilisée de l'histoire de la sélection (27 fois) va connaître un nouvel épisode puisqu'à côté de l'ouvreur se trouvera naturellement Antoine Dupont, son capitaine et coéquipier à Toulouse, selon la composition dévoilée mercredi par Fabien Galthié en conférence de presse. Le retour de Ntamack était attendu depuis le 12 août 2023, jour lors duquel son genou l'a lâché dans un match de préparation à la Coupe du monde 2023 à domicile. Cette blessure allait aussi le priver du Tournoi-2024, avant que sa participation à la finale du Top 14 et son statut de joueur protégé ne lui interdisent de prendre part à la tournée en Argentine. Un problème à un mollet devait ensuite le contraindre à renoncer à la fenêtre internationale de novembre. Pas encore revenu au sommet de sa forme depuis sa reprise, fin novembre, le joueur de 25 ans aux 37 capes bénéficie du métier cher à Galthié et de ses automatismes avec Dupont. « C'est une charnière qui a beaucoup d'expérience et de vécu en commun malgré son jeune âge », et qui est, par conséquent, prête « à tenir la barre », a décrit le technicien. « Une sorte de bruit de fond récurrent, que je respecte » Fabien Galthié Ce dernier doit faire face à de nombreuses absences, comme Thibaut Flament en deuxième ligne, Charles Ollivon en troisième ligne, Gaël Fickou au centre ou encore Damian Penaud à l'aile. En deuxième ligne, Alexandre Roumat va accompagner Emmanuel Meafou, connaissant sa première titularisation à un poste qu'il a parfois occupé en cours de partie. L'indisponibilité de Flament a ouvert une porte pour Auradou, remplaçant à l'instar de Jegou, qui joue en troisième ligne. Les deux garçons de 21 ans devraient donc connaître leur deuxième sélection, un mois et demi après l'abandon en première instance des poursuites en Argentine relatives à des accusations de viol les visant. La plaignante a fait appel et le recours sera examiné les 10 et 11 février, soit juste après la deuxième journée du Six nations. Aux yeux de Galthié, l'un comme l'autre sont « innocents » et donc « sélectionnables », avait-il dit au moment de les rappeler dans le groupe. « On a déjà beaucoup répondu », a-t-il balayé sèchement, interrogé sur la présence du Palois et du Rochelais ainsi que le potentiel accueil du public dyonisien. Série noire pour l'adversaire des Bleus Au sein des lignes arrières, les forfaits de Fickou et de Penaud vont permettre à Pierre-Louis Barrassi au centre et à Théo Atti Lire la suite sur lunion.fr

Recordman de points avec les Pumas, Nicolas Sanchez annonce sa retraite. L'ouvreur argentin évoule au Japon avec le Tokyo Sungoliath. L'ouvreur international argentin, Nicolas Sanchez, détenteur du record du nombre de points marqués avec les Pumas, a annoncé sa retraite via son compte Instagram."Après de nombreuses années de dévouement, d'efforts et de passion, j'ai décidé de me retirer du rugby, un sport qui m'a formé en tant que joueur, mais aussi en tant que personne" a déclaré Sanchez (36 ans) et comptant 104 sélections et 902 points. De 2010 à 2023, Sanchez, qui a joué pour Bordeaux-Bègles, Toulon et le Stade français en Top 14 "Tu vas nous manquer, Nico", a posté le compte X des Pumas en hommage. Formé à Tucuman, Sanchez a marqué tous les points lors de la victoire historique contre la Nouvelle-Zélande (25-15) le 14 novembre 2020, la première fois que l'Argentine battait les All Blacks. La dernière apparition de Sanchez avec l'équipe d'Argentine a eu lieu lors du match pour la troisième place de la Coupe du monde 2023, perdu face à l'Angleterre. Suite à cela, il a rejoint le club japonais des Tokyo Sungoliath. 🇦🇷 Nicolas Sanchez, demi d'ouverture aux 104 sélections avec les Pumas, met un terme à sa carrière à 36 ans. Il aura marqué de son empreinte la sélection argentine avec 902 points inscrits.En club, Sanchez est notamment passé par l'UBB, Toulon, le Stade Français et Brive. pic.twitter.com/ZkYD6ZzM0o— Sud Radio Rugby (@SudRadioRugby) January 23, 2025 Lire la suite sur sport.fr

Le troisième ligne international argentin a prolongé son contrat avec la formation basque jusqu'en juin 2026. Débarqué à Bayonne durant l'hiver 2023 après avoir obtenu une jolie troisième place avec l'équipe d'Argentine à la Coupe du monde, le troisième ligne international Rodrigo Bruni (26 sélections) va prolonger l'aventure avec la formation basque pour une saison supplémentaire. L'Aviron bayonnais a annoncé la prolongation de son contrat jusqu'en juin 2026. Bruni était arrivé en France en 2021 durant la pandémie de Covid-19. Passé par Vannes et Brive, il avait choisi de rejoindre Bayonne en 2023 mais était arrivé avec une grosse usure mentale après le Mondial. Un joueur exténué en 2024, puis régénéré en 2025 En décembre dernier, il avait confié avoir terminé la Coupe du monde exténué après avoir passé cinq mois avec l'équipe d'Argentine. A son arrivée à Bayonne, il n'avait plus aucune motivation : « Je ne voulais plus jouer, je ne voulais rien savoir du rugby. J'étais à bout. Heureusement, l'été dernier, j'ai pu couper, faire autre chose, de la lutte. » Joueur rugueux et robuste (1,87m ; 118 kg), Bruni a pu se relancer cette saison. Régénéré, le troisième ligne de 31 ans va donc rester au Pays basque où il se sent très bien : « La culture, la proximité avec l'Espagne, c'est incroyable pour moi qui parle espagnol. Je m'y sens vraiment bien. » confiait récemment le joueur argentin. https://twitter.com/avironrugbypro/status/1879573786988871991 Lire la suite sur sport.fr

Depuis la dernière Coupe du monde de football, une vilaine rivalité est née entre la France et l'Argentine. Lors de la finale de la Coupe du monde remportée aux tirs au but par l'Argentine, les joueurs Argentins n'avaient pas manqué de chambrer les joueurs Français. Quelques mois plus tard, certains joueurs Argentins parmi lesquels Enzo ... Lire la suite sur blog-rct.com

L'équipe de France a parfaitement conclu sa tournée d'automne en battant l'Argentine (37-23), ce samedi 22 novembre. Pour la plus grande satisfaction du sélectionneur Fabien Galthié. Lire la suite sur ladepeche.fr

Pour le dernier match de la tournée automnale, l'équipe de France a battu l'Argentine (37-23), ce vendredi au Stade de France.Les Bleus de Galthié ont semble-t-il tourner la page de l'élimination en quart de finale de la Coupe du monde de rugby.Reste à co Lire la suite sur 20minutes.fr

Lecture zen Dernière séance d'entraînement sous la neige jeudi pour les sélectionnés tricolores. Il va falloir s'adapter aux conditions météos. - AFPDans cette tournée d'automne, pour les Français, les matches de novembre sont en grande partie une réussite qu'une défaite ne viendrait pas gâcher, mais tout de même assombrir. Ce petit point d'avance (30-29) face à la Nouvelle-Zélande permet de voir le verre à moitié plein, après un Tournoi 2024 terminé deuxième, mais qui avait entraîné des critiques sur le jeu des Bleus. « Je vous trouve dur sur 2024 », a répondu Fabien Galthié. « Pour le moment nous sommes la meilleure nation européenne » sur l'année, la France n'ayant subi que deux défaites, tout comme l'Irlande, contre sept pour l'Angleterre». « C'est une année de transition post-Coupe du monde qui est à la fois très riche et très difficile à traverser » Fabien Galthié., Sélectioneur du XV de France Parmi ces deux défaites, se trouve notamment l'Argentine, le 13 juillet (33-25), dans un contexte lourd après l'arrestation d'Hugo Auradou et d'Oscar Jegou, qui toujours inculpés pour viol aggravé. La belle victoire lors du premier test-match en Argentine (28-13) a aussi été éclipsée par les dérives hors du terrain. Concurrence Ce constat est vrai pour quelques joueurs qui ont subi un net déclassement, le dernier en date étant le troisième ligne centre Grégory Alldritt, même pas dans le groupe, alors qu'il avait joué le Tournoi en tant que capitaine. Matthieu Jalibert, déclassé dans la hiérarchie des ouvreurs, n'a lui même pas fait la dernière semaine à Marcoussis pourrait à la place jouer samedi à Vannes, avec son club de l'Union Bordeaux-Bègles. Le troisième ligne Charles Ollivon, pas dans le groupe contre le Japon puis remplaçant face à la Nouvelle-Zélande, est lui de retour comme titulaire, preuve que les rétrogradations ne sont pas un chemin sans retour. « On arrive tous à prendre conscience du fait qu'il y a beaucoup de monde à tous les postes, du fait aussi que ce n'est pas forcément des punitions ou des choses définitives, qu'il faut aller de l'avant, s'accrocher, ne pas lâcher et que les portes finissent par se rouvrir derrière » a soulignéson binôme de chambre Gabin Villière. Il le sait bien : titulaire aux deux premiers matches du Mondial-2023, il n'a porté de nouveau le maillot bleu qu'un an après contre la Nouvelle-Zélande. L'année a permis aussi l'éclosion de nouveaux joueurs, comme Louis Bielle-Biarrey et Paul Boudehent, trois essais chacun en novembre et qui seront titulaires. Les Bleus n'ont eu que six jours de récupération, un de moins que l'Argentine, après deux matches très énergivores, avec plus de 200 plaquages réalisés à chaque fois. Les Français connaissent notamment les Argentins du Top 14, dont l'arrière Juan Cruz Mallia, auteur d'un spectaculaire essai contre l'Irlande et d'une année 2024 de grande qualité avec le Stade toulousain. Dix joueurs du Top 14 sont sur la feuille de match d'une équipe qui a très peu Lire la suite sur lunion.fr

Ce vendredi, le XV de France croise le fer avec les Pumas d'Argentine pour leur dernier test-match de l'année. L'occasion de revenir sur l'histoire du rugby dans ce pays où le football règne en maître, mais où l'ovalie a su se forger une place singulière et prestigieuse. L'histoire du rugby argentin est celle d'un sport devenu un élément essentiel de l'identité sportive du pays, porté par une passion collective et des exploits mémorables. Depuis ses origines modestes jusqu'à son ascension au sommet de la scène internationale, voici un résumé de cette épopée. Les débuts : un sport d'expatriés britanniques Le rugby a été introduit en Argentine à la fin du XIXe siècle par des immigrants britanniques. En 1873, la première équipe de rugby est formée à Buenos Aires, principalement composée de travailleurs et de résidents britanniques. Le premier match officiel recensé a lieu en 1874 entre deux clubs locaux. Le rugby reste alors un sport confidentiel, pratiqué surtout par les communautés anglo-saxonnes. Les premières structures En 1899, l'Union Argentine de Rugby (UAR) est créée pour organiser et promouvoir le sport dans le pays. Les clubs commencent à se multiplier, notamment dans la capitale, et le rugby se développe lentement mais sûrement à travers les provinces. Les Pumas : un symbole national Dans les années 1960, l'équipe nationale argentine commence à s'affirmer sur la scène internationale. C'est lors d'une tournée en Afrique du Sud en 1965 que l'équipe adopte le surnom de "Pumas". Contre toute attente, les Argentins battent les Junior Springboks, un exploit qui marque le début de leur reconnaissance internationale. Les années 1990 : une montée en puissance Le rugby argentin entre dans une nouvelle ère dans les années 1990 grâce à une génération talentueuse de joueurs, comme Hugo Porta (58 sélections - 593 points), considéré comme l'un des meilleurs demi-d'ouverture de son époque. La participation régulière à la Coupe du Monde de Rugby, à partir de 1987, permet à l'équipe de s'aguerrir face aux meilleures nations. 2007 : un tournant historique Le point culminant de l'histoire des Pumas survient lors de la Coupe du Monde de 2007 en France. Sous la direction d'Agustín Pichot, Mario Ledesma, Felipe Contepomi, Juan Martin Hernandez ou Patricio Albacete, l'Argentine termine troisième, battant notamment la France à deux reprises, dont lors du match d'ouverture. Ce résultat historique propulse le rugby argentin sur le devant de la scène et accroît sa popularité dans le pays. Ce fut certainement la meilleure équipe argentine de son histoire. L'intégration au rugby mondial En 2012, l'Argentine rejoint le Rugby Championship, le tournoi qui réunit l'Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande et l'Australie. Cette intégration dans l'élite du rugby mondial renforce la compétitivité des Pumas. En parallèle, les Jaguares, franchise argentine, sont intégrés au Super Rugby en 2016, permettant aux joueurs locaux d'évoluer au plus haut niveau de compétition de clubs. Un sport en pleine expansion Aujourd'hui, le rugby argentin s'est solidement ancré dans la culture sportive du pays. Il bénéficie d'une base de pratiquants en constante augmentation et d'un soutien populaire renforcé par les exploits récents, comme la victoire historique contre les All Blacks en 2020. L'histoire du rugby argentin est celle d'une progression constante, portée par une passion nationale et un esprit combatif, qui ont permis aux Pumas de s'imposer parmi les grandes nations du rugby mondial. Francia 2007. 🥹¡Compartinos tu recuerdo de ese mundial! 👇#SomosLosPumas pic.twitter.com/DWBTGTnE3g— Los Pumas (@lospumas) November 20, 2024 Lire la suite sur sport.fr

Ce vendredi soir, le XV de France affrontera l'Argentine pour le dernier match de la tournée d'automne. Le trois quart aile toulonnais Gabin Villière  connaîtra une deuxième titularisation consécutive avec les bleus, lui qui n'avait plus été titularisé depuis le match contre l'Uruguay en coupe du monde. Interrogé par Midi Olympique, Gabin Villière se confie ... Lire la suite sur blog-rct.com

Ce vendredi soir, la France et l’Argentine vont s’affronter pour la vingt-deuxième fois depuis 2000. Voici les six tests les plus marquants au 21ème siècle, avec notamment trois duels en Coupe du monde. Lire la suite sur rugbyrama.fr

Le XV de France a battu la Nouvelle-Zélande 30-29, ce samedi au Stade de France. Un succès susceptible d'être fondateur, tant il fait du bien aux Bleus, émotionnellement. Est-il en outre une bonne base de travail, sur le plan stratégique, en vue de l'objectif "Coupe du monde 2027" ? Attention, la tournée n'est pas terminée... Extrait du débrief' de la rencontre, par Paul Citron et Simon Farvacque. Lire la suite sur eurosport.fr

La chaîne, qui était déjà le principal diffuseur de la dernière Coupe du monde de rugby, il y a un an, continue de miser sur le ballon ovale avec les trois test-matchs du XV de France en novembre, contre le Japon, la Nouvelle-Zélande et l’Argentine. Lire la suite sur leparisien.fr

Le XV de France affronte ce samedi soir le Japon, au Stade de France, pour débuter la tournée d'automne. Une tournée durant laquelle les Bleus affronteront la Nouvelle-Zélande et l'Argentine. Plus d'un an après son dernier match, un quart de finale perdu face à l'Afrique du Sud en Coupe du monde, Antoine Dupont retrouve la sélection avec beaucoup d'appétit.  Lire la suite sur europe1.fr

Pour ce premier week-end des tests d’automne, hormis le France – Japon, l’Irlande et la Nouvelle-Zélande se retrouvent dans un affrontement tant attendu, un an après leur quart de finale épique en Coupe du Monde. Tour d’horizon des chocs à venir ce week-end. Irlande – All Blacks : Un an après la défaite au MondialUn an après leur défaite 28-24 contre les All Blacks en quart de finale du Mondial 2023, l’Irlande d’Andy Farrell affronte à nouveau la Nouvelle-Zélande, ce vendredi à Dublin. Les Néo-Zélandais, dirigés par Scott Robertson, ont connu un Rugby Championship décevant et restent privés de Beauden Barrett (commotion). Cependant, ils comptent sur des joueurs comme l’émergent Wallace Sititi. L’Irlande, quant à elle, enregistre les retours de Bundee Aki, Mack Hansen et Hugo Keenan. Angleterre – Australie : Un duel décisifAprès une année difficile, Steve Borthwick espérait un répit pour l’Angleterre, mais les récentes défaites face aux All Blacks ont relancé la pression. Une nouvelle défaite contre l’Australie ce samedi mettrait en péril la reconstruction en cours. Les Wallabies, eux, sous la houlette de Joe Schmidt, sont en quête de repères après une élimination précoce au Mondial et une dernière place au Rugby Championship. Italie – Argentine : Une confirmation attendueSous la direction de Gonzalo Quesada, l’Italie a réalisé son meilleur Tournoi des Six Nations, avec deux victoires et un nul. Après une victoire contre le Japon cet été, les Italiens cherchent à confirmer leur progrès face à l’Argentine samedi. Bien que les Pumas aient eu un été difficile, leur victoire historique contre la Nouvelle-Zélande au Rugby Championship a relancé l’espoir d’une grande performance. Ecosse – Afrique du Sud : Un choc avec les championsLes Écossais, après une victoire facile contre les Fidji, se préparent à affronter l’Afrique du Sud dimanche. Bien qu’ils n’aient pas battu les Boks depuis 2010, les Écossais espèrent bien contester le champion du monde. Le défi est de taille, d’autant que les Sud-Africains arrivent après avoir remporté le Rugby Championship. Pays de Galles – Fidji : Un test pour les GalloisLe Pays de Galles, après une dernière place au Tournoi des Six Nations, affronte les Fidji dimanche. Privés de plusieurs joueurs clés, les Fidjiens reviendront avec des talents comme Sireli Maqala, actuellement meilleur marqueur du Top 14 avec l’Aviron Bayonnais. Les Gallois devront se ressaisir face à cette équipe pleine de promesses. 🔥😍 Samedi, vos Bleus 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 au @StadeFrance ! 🇫🇷🇯🇵#XVdeFrance #NeFaisonsXV #FRAJPN pic.twitter.com/GrycYXve2z— France Rugby (@FranceRugby) November 7, 2024 Lire la suite sur sport.fr

Exclu RMC Sport : sauveur des Bleus lors du dernier match du Tournoi des VI Nations face à l'Angleterre, le Toulousain Thomas Ramos s'apprête à retrouver le quinze de France pour préparer la tournée d'Automne face au Japon (9 novembre), la Nouvelle-Zélande (16 novembre) et l'Argentine (22 novembre). Un an après l'élimination en quart de finale de la Coupe du monde face à l'Afrique du Sud, dont le souvenir est toujours présent, il évoque les mois à venir jusqu'au prochain mondial et revient sur le débat actuel qui le place à l'ouverture pour la tournée, lui l'habituel arrière. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Exclu RMC Sport : Sauveur des Bleus lors du dernier match du Tournoi des VI Nations face à l'Angleterre, le Toulousain Thomas Ramos s'apprête à retrouver le quinze de France pour préparer la tournée d'Automne face au Japon (9 novembre), la Nouvelle-Zélande (16 novembre) et l'Argentine (22 novembre). Un an après l'élimination en quart de finale de la Coupe du monde face à l'Afrique du Sud, dont le souvenir est toujours présent, il évoque les mois à venir jusqu'au prochain mondial et revient sur le débat actuel qui le place à l'ouverture pour la tournée, lui l'habituel arrière. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Il y a un peu plus d'un an, les Bleus voyaient leur rêve de devenir champions du monde s'envoler. La suite n'en fut qu'une triste chute, entre Tournoi des 6 Nations raté et tournée d'été en Argentine cauchemardesque.... Lire la suite sur midi-olympique.fr

L'Argentine pourrait accueillir en 2029 une tournée des Lions britanniques et irlandais, une première depuis 1936 comme le révèle le Midi Olympique. Traditionnellement, cette équipe se rend dans les trois grandes nations de l'hémisphère sud, mais l'essor récent des Pumas, notamment après leur demi-finale de Coupe du Monde et leur performance au Rugby Championship, incite ... Lire la suite sur blog-rct.com

Eben Etzebeth est entré dans l’histoire du rugby sud-africain ce 28 septembre 2024. Il est devenu le Springbok le plus capé, avec 128 sélections, il passe devant Victor Matfield. Voici la carrière de l’un des meilleurs deuxième ligne du monde.    Son nom restera dans les annales du rugby. Eben Etzebeth. À 32 ans, il est devenu à l’occasion du match de Rugby Championship entre l’Afrique du Sud et l’Argentine se déroulant le 28 septembre, le joueur sud-africain le plus capé de l’histoire. En prime, l’Afrique du Sud a écrasé les Argentins 48 – 7. C’est ce qu’on appelle fêter un record de la plus belle des manières. Encore un accomplissement de plus dans la carrière d’Eben Etzebeth. Une véritable légende.   Un honneur !  « En tant qu’ancien Springbok, je peux affirmer ce que cela représenterait pour Eben de devenir le Springbok le plus capé de l’histoire. Nous voulons faire de ce moment une occasion spéciale pour lui« , avait déclaré Rassie Erasmus, l’entraîneur de l’Afrique du Sud, à l’Irish Times. Ce moment sera gravé à jamais dans la vie du rugbyman.  Une carrière exemplaire Revenons au début de l’histoire du deuxième ligne sud-africain. Du haut de ses 2m03 et ses 117kg, il a tout pour être un réel bulldozer. Son conte de fée avec le ballon ovale commence avec la faculté de Varsity Cup, puis avec les Juniors Springboks. A ce moment là déjà, il se montre impressionnant. Eben Etzebeth est surpuissant et se fait très vite remarqué. Il débarque ensuite chez les Stormers en 2012. Il découvre donc le Super 15. Il lui fallut guère de temps pour s’adapter puisque 1 ans plus tard il est nommé parmi les joueurs pouvant espérer glaner le titre de de meilleur joueur du monde. À ses côtés, on retrouve de très grands noms comme l’Italien Sergio Parisse, le Gallois Leigh Halfpenny, les Néo-Zélandais Ben Smith et Kieran Read. La victoire finale revient au All-Black Kieran Read. Malgré tout, la carrière du Springbok est très bien lancée.  Le rêve d’une vie !  Sa carrière continue de monter en flèche. Il est la terreur des défenses adverses. En 2015, il dispute sa première Coupe du monde avec l’Afrique du Sud. Titulaire quasiment indiscutable, il disputé 7 matchs mais devra se contenter d’une troisième place finale. Mais Eben Etzebeth ne comptait pas s’arrêter là. En 2019, lors de la Coupe du monde au Japon, celui qui s’est déjà imposé à l’époque comme l’un des meilleurs deuxième ligne du monde, va montrer de quoi il est capable. Une compétition exemplaire qui se finit en apothéose avec une victoire contre les favoris de la compétition, les Anglais, (32-12).  Bis répétita ! Attention, ce dernier n’est toujours pas rassasié et les Français vont l’apprendre à leur dépend. En 2023, le sud-africain à 31 ans mais il est toujours aussi affûté et va le montrer lors de la Coupe du monde en France. Les Springboks écartent tour à tour l’Angleterre (16-15), puis la Nouvelle-Zélande (16-15) et même punition pour la France en finale (28-29). Eben Etzebeth est double champion du monde. Rien que ça.  Il a joué en France !  Le deuxième brille en sélection et n’est pas en reste en club. Il est passé par les Red Hurricanes, Western Province et surtout le RC Toulon. Avec ces derniers, il a eu la chance de disputer deux finales de Challenges Cup. Ses performances en club et en sélection lui ont même permis d’être encore une fois sélectionné parmi les nominés pour le titre de meilleur joueur du monde 2023. Encore une fois un néo zélandais lui grille la priorité, il s’agit Ardie Savea.  Un personnage adulé Malgré sa tendance bagarreur qui lui valu d’innombrable cartons tout au long de sa carrière,Eben Etzebeth reste très apprécié par le monde de l’ovalie. « Eben sera certainement considéré un jour comme l’un des tout meilleurs Boks de l’histoire, si ce n’est le meilleur« , a évoqué son compatriote Victor Matfield dans les colonnes du média sud-africain Rapport. Bref, il fait partie de la légende du rugby et attention  à 32 ans il ne compte pas s’arrêter là. Un triplé en 2027 pourrait être envisageable. Il aura 35 ans. LÉGENDE.            Lire la suite sur sport.fr

Dans un contexte où le titre du Rugby Championship est en jeu, l’Afrique du Sud a pris la décision audacieuse de faire tourner son effectif pour le match contre l’Argentine. L’objectif est clair : bâtir pour l’avenir, même face à des défis immédiats. Alors que les Springboks n’ont remporté ce championnat qu’une seule fois depuis sa création, leur entraîneur Rassie Erasmus a choisi de laisser sur le banc des cadres emblématiques tels qu’Eben Etzebeth et Siya Kolisi. Au lieu de s’accrocher à la victoire immédiate, l’équipe mise sur l’expérience des jeunes talents dans un cadre compétitif. Cette approche fait écho à la volonté d’Erasmus de préparer l’avenir, avec un regard porté vers la Coupe du Monde 2027. Les nouveaux venus, tels que le capitaine Moerat et d’autres jeunes joueurs, auront l’occasion de se mesurer à des adversaires redoutables, un choix stratégique qui pourrait porter ses fruits à long terme pour les Springboks. Lire la suite sur sport.fr

Will Jordan, absent des terrains depuis la finale de la Coupe du monde de rugby, réintègre les rangs des All Blacks en tant que remplaçant pour la confrontation imminente contre l’Argentine. L’ailier talentueux fait son grand retour après une opération à l’épaule qui l’a tenu éloigné du Super Rugby toute la saison. Des choix tactiques […] Cet article Will Jordan retrouve le maillot des All Blacks après sa convalescence est apparu en premier sur Rugby Transferts. Lire la suite sur rugby-transferts.com

L'ailier n'avait plus joué depuis la finale de la Coupe du monde de rugby face aux Springboks. Jordan va faire son retour contre l'Argentine pour le premier test du United Rugby Championship. Lire la suite sur lefigaro.fr

À quelle heure ? Sur quelle chaîne TV suivre la finale de la Coupe du monde U20 de rugby entre l'Angleterre et la France ? C'est le grand jour pour les Bleuets ! Alors que le rugby français est dans la tourmente après la tournée catastrophique du XV de France en Argentine, l'équipe de France […] L'article Angleterre – France (Rugby U20) : à quelle heure et sur quelle chaîne TV regarder la finale ? est apparu en premier sur We Sport - "Partageons notre passion !". Lire la suite sur wesportfr.com

L'équipe de France de rugby des moins de 20 ans, loin des tumultes vécus par son homologue "des grands" en tournée en Argentine, a réussi mardi son pari : se qualifier pour les demi-finales de la Coupe du monde en... Lire la suite sur midilibre.fr

Les Français ont lancé leur tournée estivale par un succès plus que probant. - AFPMis en ligne le 7/07/2024 à 00:33 Lecture zen Quelques mois après un Tournoi des six nations mi-figue mi-raisin, terminé à la deuxième place derrière l'Irlande, les Français lancent leur tournée estivale par un succès plus que probant. Après un début de match timide, les Bleus, privés de plusieurs joueurs majeurs et très inexpérimentés (24, 5 ans et 7 sélections de moyenne), ont su se libérer pour inscrire trois essais, par le capitaine et demi de mêlée Baptiste Serin (36e) puis le centre Antoine Frisch (46e) et l'ailier Théo Attissogbe (67e). Mieux, les Bleus ont su résister à l'entreprise de démolition argentine, tout en mettant en place leur jeu : résultat, les Pumas ont été limités à deux essais, ceux du talonneur Julian Montoya (61e) et du centre Matias Orlando (78e). Les demi-finalistes de la Coupe du monde comptaient pourtant, dans leur XV de départ, six joueurs à plus de cinquante sélections : le talonneur Julian Montoya (95 sél.), le deuxième ligne Matias Alemanno (94 sél.), les troisièmes lignes Pablo Matera (98 sél.) et Marcos Kremer (64 sél.) ainsi que la paire de centres Jeronimo de la Fuente (76 sél.) et Matias Moroni (83 sél.). Neuf des Pumas de samedi avaient même disputé la dernière demie, perdue face à la Nouvelle-Zélande (44-6). Mais cet écart d'expérience ne s'est pas fait ressentir face à des Bleus qui totalisaient, eux, 236 sélections au total sur la feuille de match, dont 44 pour le seul Serin. Frisch première Qu'importe, les hommes de Fabien Galthié et leurs huit joueurs sans sélection ont fait mieux que résister : ils ont tenu tête aux Pumas, notamment en mêlée. Solides en conquête, grâce à leurs novices Hugo Auradou et Oscar Jegou, impressionnants d'activité, ils ont également su défendre avec rage et conviction. De quoi voir venir avant de retrouver les Argentins, dans une semaine, à Buenos Aires. Entretemps, les Bleus affronteront l'Uruguay, le 10 juillet à Montevideo, avec une équipe à nouveau totalement renouvelée pour un match amical situé en dehors de la fenêtre internationale et n'offrant donc pas de sélection. Galthié peut donc avoir le sourire : ses troupes ont décroché le troisième succès français en Argentine depuis le début des années 2000, après une démonstration 49-10 en 2012 et un succès 27-0 quatre ans plus tard. Ses Bleus en herbe ont aussi, et surtout, montré de belles choses, à commencer par le centre Antoine Frisch, dans tous les bons coups offensifs et défensifs pour sa première cape. À noter aussi les belles performances des troisièmes lignes Jordan Joseph, précieux par son abattage, et Lenni Nouchi, efficace dans ses plaquages, ou encore le pilier Georges-Henri Colombe, surpuissant et dominateur. De quoi voir la vie en rose pour les Bleus. Rugby : les Bleus victorieux pour leur premier test-match en Argentine Le XV de France, largement remanié et rajeuni, a dominé sans trembler l'Argentine (28-13), samed Lire la suite sur paris-normandie.fr

Le centre Antoine Frisch et les Français ont lancé leur tournée estivale par un succès plus que probant. (Photo by Andres Larrovere / AFP) - AFPMis en ligne le 7/07/2024 à 00:31 Lecture zen Quelques mois après un Tournoi des six nations mi-figue mi-raisin, terminé à la deuxième place derrière l'Irlande, les Français lancent leur tournée estivale par un succès plus que probant. Après un début de match timide, les Bleus, privés de plusieurs joueurs majeurs et très inexpérimentés (24, 5 ans et 7 sélections de moyenne), ont su se libérer pour inscrire trois essais, par le capitaine et demi de mêlée Baptiste Serin (36e) puis le centre Antoine Frisch (46e) et l'ailier Théo Attissogbe (67e). Mieux, les Bleus ont su résister à l'entreprise de démolition argentine, tout en mettant en place leur jeu : résultat, les Pumas ont été limités à deux essais, ceux du talonneur Julian Montoya (61e) et du centre Matias Orlando (78e). Les demi-finalistes de la Coupe du monde comptaient pourtant, dans leur XV de départ, six joueurs à plus de cinquante sélections : le talonneur Julian Montoya (95 sél.), le deuxième ligne Matias Alemanno (94 sél.), les troisièmes lignes Pablo Matera (98 sél.) et Marcos Kremer (64 sél.) ainsi que la paire de centres Jeronimo de la Fuente (76 sél.) et Matias Moroni (83 sél.). Neuf des Pumas de samedi avaient même disputé la dernière demie, perdue face à la Nouvelle-Zélande (44-6). Mais cet écart d'expérience ne s'est pas fait ressentir face à des Bleus qui totalisaient, eux, 236 sélections au total sur la feuille de match, dont 44 pour le seul Serin. Frisch première Qu'importe, les hommes de Fabien Galthié et leurs huit joueurs sans sélection ont fait mieux que résister : ils ont tenu tête aux Pumas, notamment en mêlée. Solides en conquête, grâce à leurs novices Hugo Auradou et Oscar Jegou, impressionnants d'activité, ils ont également su défendre avec rage et conviction. De quoi voir venir avant de retrouver les Argentins, dans une semaine, à Buenos Aires. Entretemps, les Bleus affronteront l'Uruguay, le 10 juillet à Montevideo, avec une équipe à nouveau totalement renouvelée pour un match amical situé en dehors de la fenêtre internationale et n'offrant donc pas de sélection. Galthié peut donc avoir le sourire : ses troupes ont décroché le troisième succès français en Argentine depuis le début des années 2000, après une démonstration 49-10 en 2012 et un succès 27-0 quatre ans plus tard. Ses Bleus en herbe ont aussi, et surtout, montré de belles choses, à commencer par le centre Antoine Frisch, dans tous les bons coups offensifs et défensifs pour sa première cape. À noter aussi les belles performances des troisièmes lignes Jordan Joseph, précieux par son abattage, et Lenni Nouchi, efficace dans ses plaquages, ou encore le pilier Georges-Henri Colombe, surpuissant et dominateur. De quoi voir la vie en rose pour les Bleus. Rugby : la France s'impose en Argentine, une première depuis 2016 Le XV de France, largement remanié et r Lire la suite sur paris-normandie.fr

Lecture zen Les Pumas sont tombés sur un XV de France new look, parfaitement symbolisé par un Antoine Frisch (R), auteur du 2e des trois essais français. - AFPDes Bleus pas si verts. Le XV de France, largement remanié et rajeuni, s'est imposé sans trembler en Argentine (28-13), ce samedi 6 juillet à Mendoza, une première depuis 2016. Quelques mois après un Tournoi des six nations mi-figue mi-raisin, terminé à la deuxième place derrière l'Irlande, les Français lancent leur tournée estivale par un succès plus que probant. Après un début de match timide, les Bleus, privés de plusieurs joueurs majeurs et très inexpérimenté (24, 5 ans et 7 sélections de moyenne), ont su se libérer pour inscrire trois essais, par le capitaine et demi de mêlée Baptiste Serin (36e) puis le centre Antoine Frisch (46e) et l'ailier Théo Attissogbe (67e). Mieux, les Bleus ont su résister à l'entreprise de démolition argentine, tout en mettant en place leur jeu: résultat, les Pumas ont été limités à deux essais, ceux du talonneur Julian Montoya (61e) et du centre Matias Orlando (78e). Les demi-finalistes de la Coupe du monde comptaient pourtant, dans leur XV de départ, six joueurs à plus de cinquante sélections : le talonneur Julian Montoya (95 sél.), le deuxième ligne Matias Alemanno (94), les troisièmes lignes Pablo Matera (98) et Marcos Kremer (64) ainsi que la paire de centres Jeronimo de la Fuente (76) et Matias Moroni (83). Neuf des Pumas du jour avaient même disputé la dernière demie, perdue face à la Nouvelle-Zélande (44-6). Mais cet écart d'expérience ne s'est pas fait ressentir face à des Bleus qui totalisaient, eux, 236 sélections au total sur la feuille de match, dont 44 pour le seul Serin. Frisch première Qu'importe, les hommes de Fabien Galthié et leur huit joueurs sans sélection ont fait mieux que résister: ils ont tenu tête aux Pumas, notamment en mêlée. Solides en conquête, grâce à leurs novices Hugo Auradou et Oscar Jegou, impressionnants d'activité, ils ont également su défendre avec rage et conviction. De quoi voir venir avant de retrouver les Argentins, dans une semaine, à Buenos Aires. Entretemps, les Bleus affronteront l'Uruguay, le 10 juillet à Montevideo, avec une équipe à nouveau totalement renouvelée pour un match amical situé en dehors de la fenêtre internationale et n'offrant donc pas de sélection. Galthié peut donc avoir le sourire: ses troupes ont décroché le troisième succès français en Argentine depuis le début des années 2000, après une démonstration 49-10 en 2012 et un succès 27-0 quatre ans plus tard. Ses Bleus en herbe ont aussi, et surtout, montré de belles choses, à commencer par le centre Antoine Frisch, dans tous les bons coups offensifs et défensifs pour sa première cape. A noter aussi les belles performance des troisièmes lignes Jordan Joseph, précieux par son abattage, et Lenni Nouchi, efficace dans ses plaquages, ou encore le pilier Georges-Henri Colombe, surpuissant et dominateur. De quoi voir la vie en rose pour les Lire la suite sur lest-eclair.fr