Afrique du Sud

Actuellement quatrième du classement mondial derrière l'Afrique du Sud, l'Irlande et la Nouvelle-Zélande, l'équipe de France pourrait retrouver le podium pour la première fois depuis la dernière Coupe du monde. Mais à l'unique condition de battre les Irlandais à Dublin samedi. Et pas sur n'importe quel score de surcroît. Cet article Classement mondial : Les Bleus de retour dans le Top 3 dès ce week-end ? est apparu en premier sur Rugby 365. Lire la suite sur rugby365.fr

  Ce vendredi midi, la Géorgie U20 recevait à Tbilissi l’Afrique du Sud. Pour cette rencontre, qui devait servir de préparation à la prochaine Coupe du Monde de la catégorie cet été, notre jeune trois-quarts centre, Giorgi Khaindrava, débutait comme titulaire, après avoir fait un passage en équipe première lors du Rugby Europe Championship. Comme... L'article Une défaite pour Giorgi Khaindrava et le Géorgie U20 est apparu en premier sur Rugby Scapulaire. Lire la suite sur rugby-scapulaire.com

  Ce dimanche, du côté de Tbilissi, l’équipe de Géorgie U20 affrontait l’Afrique du Sud dans le cadre de sa préparation pour la Coupe du Monde U20 qui aura lieu cet été. Un joueur de l’UBB était concerné par cette rencontre. Il s’agit de notre jeune deuxième ligne, Levan Kepuladze. Ce dernier débutait la rencontre... L'article L’équipe de Géorgie U20 s’incline face à l’Afrique du Sud est apparu en premier sur Rugby Scapulaire. Lire la suite sur rugby-scapulaire.com

Double champion du monde en 2019 et 2023, le pilier des Springboks Steven Kitshoff est contraint de mettre fin à sa carrière à 33 ans à cause d'une sérieuse blessure au cou. Steven Kitshoff est contraint de mettre un terme à sa carrière, après avoir subi une grave blessure au cou. Les Stormers, franchise sud-africaine de Super Rugby ont annoncé la nouvelle sur leur compte X. Le pilier gauche s'était blessé l'année dernière durant un match de la Currie Cup - le mythique Championnat des provinces d'Afrique du Sud - avec la Western Province. « Il est évidemment incroyablement décevant que ma carrière se termine de cette manière, mais malheureusement le risque pour mon bien-être était tout simplement trop élevé » a déclaré le joueur de 33 ans. Steven Kitshoff avait fait ses débuts avec les Stormers à l'âge de 18 ans en 2011. Il a connu ses premières sélections avec l'Afrique du Sud en 2016. Il compte 138 capes au total et avait participé aux deux dernières éditions de la Coupe du monde, en 2019 et 2023, remportées par les Springboks. Kitshoff avait joué durant deux saisons à Bordeaux-Bègles, entre 2015 et 2017. https://twitter.com/THESTORMERS/status/1894280355546280334?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1894280355546280334%7Ctwgr%5Eb68d53b3b653d8ee4e23e6c7098157e5504d11ef%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.lequipe.fr%2FRugby%2FActualites%2FLe-pilier-des-springboks-steven-kitshoff-double-vainqueur-de-la-coupe-du-monde-contraint-de-mettre-fin-a-sa-carriere%2F1542553 Lire la suite sur sport.fr

Suite à une sérieuse blessure au cou, le pilier sud-africain Steven Kitshoff, qui avait remporté la Coupe du monde en 2019 et 2023 avec les Springboks, doit mettre fin à sa carrière, à 33 ans. Lire la suite sur lequipe.fr

Non sélectionné depuis le début du Tournoi des 6 Nations, le demi de mêlée Maxime Lucu fait son retour en Italie. Un an après une édition douloureuse, lors de laquelle il avait remplacé Antoine Dupont parti à 7, où les critiques étaient allés jusqu'à atteindre sa famille, le Bordelais a expliqué à RMC Sport qu'il n'avait jamais lâché. Et qu'il reste persuadé du potentiel des Bleus, dans le Tournoi ou en vue de la Coupe du monde en Australie. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Le XV de France affrontera les champions du monde sud-africains en novembre, deux ans après la défaite des Bleus face aux Springboks lors de la Coupe du Monde 2023, en France. Le XV de France affront... Lire la suite sur ouest-france.fr

Pour affronter l'Italie, dimanche à 16h, l'équipe de France devrait opter pour une nouveauté sur le banc de touche. En plus de se priver de Matthieu Jalibert et Damian Penaud, Fabien Galthié devrait mettre sur le banc sept avants et un seul trois quart, Maxime Lucu. Une première en équipe de France mais une expérience tentée à de multiples reprises par l'Afrique du Sud, notamment lors de la finale de la Coupe du monde 2023. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

La défaite face aux Anglais samedi dernier (26-25) a fait remonter les mauvais souvenirs de l'élimination en quarts de finale de la Coupe du monde face à l'Afrique du Sud (29-28). Les deux matches sont-ils comparables ? Il en a été question dans le podcast « Crunch » de la semaine. Lire la suite sur lequipe.fr

Battus d'un point par l'Angleterre, les Bleus ont dit adieu au Grand Chelem dès la deuxième journée du Tournoi des Six Nations et ont ravivé les mauvais souvenirs du quart de finale de la Coupe du monde face à l'Afrique du Sud. Pourquoi le XV de France vacille-t-il dans les moments clés ? Que peut-on espérer pour la suite du Tournoi ? Éléments de réponses dans Crunch. Lire la suite sur lequipe.fr

Le consultant rugby Richard Dourthe s'est confié via L'équipe pour évoquer la défaite des Bleus concédée contre l'Angleterre, samedi à Twickenham. Ce-dernier estime que cette défaite contre l'Angleterre ressemble étrangement à la défaite des Bleus contre l'Afrique du Sud, en quart de finale de Coupe du monde. Il ne manque pas de remettre en cause ... Lire la suite sur blog-rct.com

Avec 8,1 millions de téléspectateurs et un pic à 9,5 millions, le Crunch entre l'Angleterre et la France (26-25) a réalisé un carton d'audience sur France 2. La rencontre est la plus suivie pour les Bleus depuis leur quart de finale perdu contre l'Afrique du Sud lors de la Coupe du monde 2023. Lire la suite sur lequipe.fr

Lecture zen Attaque/défense sur la ligne d'en-but lors de la séance d'entraînement de veille de match à Twickenham. Les Bleus ont bien l'intention de se tenir à distance de la leur et de franchir à plusieurs reprises celle des Anglais pour aplatir. - AFPL'équipe de France de rugby se rend à Londres, samedi, pour y défier l'Angleterre dans le cadre de la deuxième journée du Tournoi des Six nations avec en ligne de mire la volonté de renforcer son statut de favori dans la compétition. L'opposition sera bien plus relevée que l'échauffement face au tendre Pays de Galles (43-0) en ouverture, vendredi dernier à Saint-Denis, quand bien même la précédente visite des Bleus à Twickenham, en 2023, avait tourné au triomphe (10-53). Ce match est déjà hors des mémoires, ont assuré d'une seule et même voix les joueurs et le staff tout au long de la semaine. Dans une année impaire a priori pas favorable aux victoires dans le Tournoi pour eux, les Français ont toujours la pression de soulever un deuxième trophée depuis le début de l'ère Fabien Galthié, en 2020. Et pour s'offrir une éventuelle « finale » contre les Irlandais à Dublin lors de la quatrième levée, la route passe par une victoire chez les Anglais. Un succès permettrait aussi d'étendre la supériorité du XV de France sur celui de la Rose comme rarement : ce serait le quatrième de suite, une série réalisée seulement deux fois dans l'histoire, entre 1975 et 1979 ainsi qu'entre 1995 et 1998. Et pour retrouver la trace de deux matches gagnés consécutivement dans le temple du ballon ovale, il faut remonter à 1981 et 1983. « Notre objectif est de les laisser le plus loin de notre ligne d'en-but, donc d'aller jouer le plus haut possible » Thomas Ramos, arrière L'objectif semble atteignable pour les hommes de Galthié : leurs rivaux restent sur sept revers d'affilée devant des nations de l'élite. Cela a débuté en mars 2024 en France (33-31) et s'est poursuivi le week-end passé en Irlande (27-22). Seul le Japon, battu en juin et en novembre (52-17 et 59-14), a permis de sauver l'honneur du sélectionneur Steve Borthwick dans l'intervalle. Si la France est privée de certains cadres (Charles Ollivon, Gaël Fickou, Thibaud Flament) comme pour sa première sortie, elle récupère Damian Penaud sur l'aile. Sans Romain Ntamack, suspendu après son carton rouge reçu contre les Gallois, Matthieu Jalibert sera aligné à l'ouverture pour une nouvelle page de son histoire contrariée avec l'équipe nationale. Rendez-vous aux chandelles En face, le capitaine Maro Itoje prévient : « Nous voulons être collectivement agressifs, être dans l'avancée, aller au contact et les stopper dans leur élan. » Les partenaires d'Antoine Dupont devront également encore rassurer sur un secteur : la réception des coups de pied sur les chandelles. Depuis le désastre observé dans ce domaine lors du quart de finale de la Coupe du monde 2023 à domicile perdu face à l'Afrique du Sud (28-29), le doute persiste sur ses ballons à double tranchant. Il Lire la suite sur lunion.fr

Sous pression après deux Tournois des Six Nations décevants, Steve Borthwick s'apprête à vivre une édition 2025 cruciale pour son avenir à la tête du XV de la Rose. Arrivé en décembre 2022 après l'éviction d'Eddie Jones, le sélectionneur anglais n'a pas encore réussi à convaincre, malgré une médaille de bronze inattendue lors de la dernière Coupe du monde. En 2023, l'Angleterre avait sombré à la quatrième place, avec une défaite humiliante à domicile face à la France (10-53). L'an passé, le bilan s'est légèrement amélioré, mais les Bleus ont encore eu le dernier mot à Lyon (33-31). Cette fois, la Rugby Football Union fixe la barre haut : quatre victoires sont attendues. En cas de nouvel échec, Borthwick, sous contrat jusqu'en 2027, pourrait bien voir sa position menacée, d'autant que les dirigeants pointent l'instabilité de son staff, marqué par des départs en série, comme ceux de Felix Jones et Aled Walters. Le calendrier s'annonce redoutable avec une entrée en matière à Dublin face à l'Irlande ce samedi, suivie d'un affrontement contre la France à Twickenham. Avec un bilan inquiétant en 2024 (7 défaites pour 5 victoires) et des matchs perdus de peu face à des géants comme la Nouvelle-Zélande, l'Australie ou l'Afrique du Sud, le XV de la Rose devra montrer plus de solidité mentale. En guise de changement, Borthwick a confié le brassard à Maro Itoje, reléguant Jamie George au second plan. Suffisant pour redresser la barre ? Réponse dans les prochaines semaines. Lire la suite sur sport.fr

  Interrogé par France Bleu Gironde, notre ailier international, Damian Penaud, n’est pas spécialement revanchard à l’idée de retrouver une équipe sud-africaine après la défaite contre l’Afrique du Sud lors de la dernière Coupe du Monde : « Non, pas spécialement. On a perdu mais pour moi c'est derrière. On l'a toujours en travers de la... L'article Damian Penaud : « J'étais très content de jouer avec Bordeaux et je le suis toujours » est apparu en premier sur Rugby Scapulaire. Lire la suite sur rugby-scapulaire.com

Le Stade Toulousain se déplace chez les Sharks en Champions Cup,principaux pourvoyeurs du XV de France et de l'Afrique du Sud. De quoi raviver des souvenirs du quart de finale de la Coupe du monde 2023 ? Flament et Dupont n'y pensent pas. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Si Antoine Dupont a finalement pu être au rendez-vous du quart de finale de la Coupe du monde face à l'Afrique du Sud, sa blessure face à la Namibie a coûté très cher aux Bleus. Lire la suite sur sports.fr

2024 n'a pas réservé de grands chamboulements, comme c'est souvent le cas dans les années post-Coupe du monde : les équilibres de 2023 se sont confirmés avec, au sommet de la pyramide, toujours l'Afrique du Sud… Lire la suite sur midi-olympique.fr

Plus d'un an après le quart de finale de Coupe du monde perdu par le XV de France contre l'Afrique du Sud, Jonathan Danty en veut toujours aux Springboks. Lire la suite sur sport.orange.fr

Le controversé arbitre du quart de finale de Coupe du monde entre la France et l'Afrique du Sud va atteindre le cap des 50 test-matches internationaux lors du Tournoi des 6 Nations. Mais il ne croisera pas la route des Bleus. Lire la suite sur sports.fr

Comme Billy Vunipola, cinq autres Anglais titulaires en finale du Mondial 2019 face aux Springboks (12-32) évoluent en France. Tous, hormis Owen Farrell qui a raté ses débuts, donnent satisfaction. Pour «L'Équipe», le troisième-ligne de Montpellier fait les présentations. Lire la suite sur lequipe.fr

À Cardiff, le pays de Galles a subi une lourde défaite face à l'Afrique du Sud (45-12), enregistrant un 12e revers consécutif. Déjà dominés la semaine précédente par l'Australie (52-20), les hommes de Warren Gatland n'ont opposé qu'une faible résistance aux champions du monde. Les Springboks, impériaux, avaient plié la rencontre dès la mi-temps avec un score de 26-5. Les Gallois ont encaissé sept essais signés Mostert, Etzebeth, Arendse, Louw, Fassi, Steenekamp et Hendrikse. Seules deux réalisations galloises, par Rio Dyer et James Botham, sont venues adoucir la débâcle. Sans victoire depuis octobre 2023 (contre la Géorgie en Coupe du monde), le pays de Galles débutera le Tournoi des Six Nations face à la France, le 31 janvier. Lire la suite sur sport.fr

L'équipe de France a parfaitement conclu sa tournée d'automne en battant l'Argentine (37-23), ce samedi 22 novembre. Pour la plus grande satisfaction du sélectionneur Fabien Galthié. Lire la suite sur ladepeche.fr

Ce vendredi, le XV de France croise le fer avec les Pumas d'Argentine pour leur dernier test-match de l'année. L'occasion de revenir sur l'histoire du rugby dans ce pays où le football règne en maître, mais où l'ovalie a su se forger une place singulière et prestigieuse. L'histoire du rugby argentin est celle d'un sport devenu un élément essentiel de l'identité sportive du pays, porté par une passion collective et des exploits mémorables. Depuis ses origines modestes jusqu'à son ascension au sommet de la scène internationale, voici un résumé de cette épopée. Les débuts : un sport d'expatriés britanniques Le rugby a été introduit en Argentine à la fin du XIXe siècle par des immigrants britanniques. En 1873, la première équipe de rugby est formée à Buenos Aires, principalement composée de travailleurs et de résidents britanniques. Le premier match officiel recensé a lieu en 1874 entre deux clubs locaux. Le rugby reste alors un sport confidentiel, pratiqué surtout par les communautés anglo-saxonnes. Les premières structures En 1899, l'Union Argentine de Rugby (UAR) est créée pour organiser et promouvoir le sport dans le pays. Les clubs commencent à se multiplier, notamment dans la capitale, et le rugby se développe lentement mais sûrement à travers les provinces. Les Pumas : un symbole national Dans les années 1960, l'équipe nationale argentine commence à s'affirmer sur la scène internationale. C'est lors d'une tournée en Afrique du Sud en 1965 que l'équipe adopte le surnom de "Pumas". Contre toute attente, les Argentins battent les Junior Springboks, un exploit qui marque le début de leur reconnaissance internationale. Les années 1990 : une montée en puissance Le rugby argentin entre dans une nouvelle ère dans les années 1990 grâce à une génération talentueuse de joueurs, comme Hugo Porta (58 sélections - 593 points), considéré comme l'un des meilleurs demi-d'ouverture de son époque. La participation régulière à la Coupe du Monde de Rugby, à partir de 1987, permet à l'équipe de s'aguerrir face aux meilleures nations. 2007 : un tournant historique Le point culminant de l'histoire des Pumas survient lors de la Coupe du Monde de 2007 en France. Sous la direction d'Agustín Pichot, Mario Ledesma, Felipe Contepomi, Juan Martin Hernandez ou Patricio Albacete, l'Argentine termine troisième, battant notamment la France à deux reprises, dont lors du match d'ouverture. Ce résultat historique propulse le rugby argentin sur le devant de la scène et accroît sa popularité dans le pays. Ce fut certainement la meilleure équipe argentine de son histoire. L'intégration au rugby mondial En 2012, l'Argentine rejoint le Rugby Championship, le tournoi qui réunit l'Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande et l'Australie. Cette intégration dans l'élite du rugby mondial renforce la compétitivité des Pumas. En parallèle, les Jaguares, franchise argentine, sont intégrés au Super Rugby en 2016, permettant aux joueurs locaux d'évoluer au plus haut niveau de compétition de clubs. Un sport en pleine expansion Aujourd'hui, le rugby argentin s'est solidement ancré dans la culture sportive du pays. Il bénéficie d'une base de pratiquants en constante augmentation et d'un soutien populaire renforcé par les exploits récents, comme la victoire historique contre les All Blacks en 2020. L'histoire du rugby argentin est celle d'une progression constante, portée par une passion nationale et un esprit combatif, qui ont permis aux Pumas de s'imposer parmi les grandes nations du rugby mondial. Francia 2007. 🥹¡Compartinos tu recuerdo de ese mundial! 👇#SomosLosPumas pic.twitter.com/DWBTGTnE3g— Los Pumas (@lospumas) November 20, 2024 Lire la suite sur sport.fr

Lors d'un entretien accordé au Midi Olympique, le talonneur international Français Peato Mauvaka s'est confié sur la Coupe du monde de 2023. Il est bien évidemment revenu sur la défaite des Bleus concédée contre l'Afrique du Sud en quart de finale de la Coupe du monde. Il avoue ne pas avoir revu le quart de ... Lire la suite sur blog-rct.com

Lecture zen Un sacré baptême du feu que celui que s'apprête à vivre Romain Buros, l'un des choix forts de Fabien Galthié. - AFPEn 2021, la victoire flamboyante de la France aux dépens de la Nouvelle-Zélande (40-25) avait été un moment marquant du mandat de Fabien Galthié, annonçant une année 2022 exceptionnelle, que la sélection avait achevée invaincue, Grand Chelem à la clé lors du Tournoi des Six nations. Celle de 2023, en ouverture de la Coupe du monde dans l'Hexagone, avait été conquise dans la douleur (27-13), annonciatrice de certaines lacunes, notamment en défense. Des faiblesses qui allaient coûter cher dès le quart de finale, perdu (28-29) devant l'Afrique du Sud, future lauréate de l'épreuve planétaire. Un succès aux dépens des All Blacks version 2024, aujourd'hui (21 h 10) à Saint-Denis, offrirait quelques certitudes à des Bleus impuissants lors du Tournoi face à l'Irlande (38-17), mis en échec par l'Italie (13-13), vainqueurs de l'Angleterre (33-31) en tremblant et toujours en recherche d'un match référence cette année. La partie trop facile contre le Japon, éparpillé (52-12) le week-end passé, n'a pas pu donner beaucoup d'enseignements mais a servi de « match de préparation », des mots mêmes de Galthié, avec quelques bribes d'un jeu davantage porté sur la possession du ballon qu'auparavant. La leçon pourrait prendre une autre tournure face aux Blacks, « une équipe en train de régler ses comptes après avoir vécu certaines années difficiles. Ils veulent reprendre le leadership mondial », a prévenu le technicien des Bleus, jeudi à Marcoussis (Essonne), en annonçant la composition d'équipe. « Ça fait longtemps qu'on n'a pas joué les All Blacks à ce niveau-là. Le défi est immense... » Fabien Galthié Finalistes malheureux du dernier Mondial, 2es du Rugby Championship, les hommes de Scott Robertson semblent avoir trouvé la bonne carburation cet automne. Implacables dans le combat, redoutables d'efficacité sur leurs ballons d'attaque, les Néo-Zélandais ont rappelé qu'il ne fallait pas les enterrer trop vite, gagnant avec autorité en terrain anglais (22-24) et sur le sol irlandais (13-23). La Nouvelle-Zélande est « capable de répondre à toutes les formes de rugby, c'est une équipe qui est très bonne sur les phases de conquête pure, dans le combat, sur le jeu au sol, le jeu aérien, et avec toujours autant de vitesse », a énuméré Galthié. « Ça fait longtemps qu'on n'a pas joué les All Blacks à ce niveau-là. Le défi est immense. » Comme celui qui se présente à Romain Buros, balancé dans le grand bain pour sa première cape, un des choix majeurs de Galthié que ce match doit valider. Ce dernier a écarté les inquiétudes sur ce saut dans l'inconnu, plutôt que de reconduire Léo Barré. Cette rencontre, Matthieu Jalibert aurait forcément aimé la disputer. Rentré à Bordeaux, l'ouvreur de l'UBB ne sera pas sur la feuille, autre décision forte. La lourde tâche d'occuper l'ouverture face à Beauden Barrett (132 sélections, meilleur joueur du monde Lire la suite sur lunion.fr

Le controversé arbitre du quart de finale de Coupe du monde entre la France et l'Afrique du Sud a été critiqué pour sa prestation lors d'Angleterre-Australie samedi. Lire la suite sur sports.fr