Tonga

« Une olympiade femelle serait impratique, inintéressante, inesthétique et incorrecte. » « Femelle » donc… Ce sont les mots, rédigés en français, avec l'aval de ce bon vieux Pierre de Coubertin, le rénovateur des Jeux Olympiques en 1912 sur le compte-rendu officiel de l'édition de Stockholm. Des mots d'une misogynie terrible qui ne sont finalement pas si indissociables de l'actualité moderne. Malheureusement. Dans ces prochaines lignes, vous allez découvrir que certains sports étaient simplement interdits aux femmes il y a encore très peu de temps. Et parfois, les raisons sont très « limite ». PAR RUBEN DIAS. Extrait du WOMEN SPORTS N°31. LE GOLF : LADIES FORBIDDEN ? Inventé en Écosse au cours du XVe siècle, le golf était le sport interdit aux femmes par excellence. Et cela, dès son nom. Le mot « golf » tirerait ses origines d'un acronyme : « Gentlemen Only, Ladies Forbidden », ce qui signifie « Messieurs seulement, femmes interdites ». Bon, ne rêvassez pas trop puisque cette légende urbaine est totalement fausse. Selon le Scottish Golf History, le nom du sport serait plutôt un dérivé d'un vieux mot signifiant « club ». D'ailleurs, avant la création des dictionnaires, il n'existait aucune orthographe standardisée pour ce mot. Les gens écrivaient phonétiquement : Goff, gowf, golf, goif, goiff, gof, gowfe, gouff et golve. Rien à voir aux premiers abords avec une éventuelle interdiction à la gente féminine. D'ailleurs, la première mention sur des femmes jouant au golf se trouve à Bruntsfield Links en 1738… En compétitions officielles pourtant, il a fallu attendre 1990, avant que le golf ne soit officiellement ouvert à ces dernières… La définition d'une blague qui a mal tourné ? LE RUGBY : INTERDIT POUR « PRÉSERVER LA DIGNITÉ DES FEMMES » Pays de l'Ovalie, la France est une pionnière du rugby. Mais si aujourd'hui, selon les chiffres de la fédération, il y a plus de 26 000 joueuses dans le pays, les femmes n'avaient pas le droit de le pratiquer avant les années 20. Précédemment, il était pratiqué de manière clandestine. À cette époque, la docteure en médecine Marie Houdré adapte les règles du rugby pour les femmes. Pourtant, une campagne de presse juge ce sport « inadapté à la morphologie des femmes qui étaient censées devenir des bonnes mères », explique notamment la journaliste Isabelle Collombat dans des propos repris par France Inter. Pour la société, ce sport ne correspond pas à l'image de la femme. D'ailleurs, Suzanne Lenglen, la championne de tennis, elle-même, disait que « ce n'était pas esthétique, pas beau pour les femmes »… Il faudra attendre les années 60 pour que cette vision change. Des étudiantes lyonnaises organisent un événement d'ampleur en proposant aux joueuses de Bourg-en-Bresse de disputer un match et l'événement sera un succès. Le secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports, Marceau Crespin, par le biais d'une lettre au préfet, envoyée dans toute la France, demande de faire en sorte que toutes les infrastructures ne soient pas mises à disposition des femmes… Dis-moi que tu me l'interdis, sans me dire que tu l'interdis. Le rugby féminin se démocratise ensuite comme une activité clandestine. « Les joueuses jouent dans les champs et se lavent dans les rivières, faute de vestiaires », toujours selon Isabelle Collombat. C'est autour de Bourg-en-Bresse, berceau du rugby féminin que les femmes s'organisent, et réalisent même un championnat malgré l'interdiction. Et si aujourd'hui tout cela semble de l'histoire très ancienne, la fédération française de rugby mettra du temps à l'accepter. « Même en 2014, quand la France doit organiser la Coupe du monde de rugby, la fédération n'est pas très enthousiaste », conclut Isabelle Collombat… En 2017, les îles Tonga ont interdit aux filles le rugby, et la boxe, afin de « préserver la dignité des Tongiennes »… Comme quoi, il y a encore du chemin. L'HALTÉROPHILIE AU FÉMININ Les premiers émois de l'haltérophilie féminine datent notamment d'une certaine Pudgy Stockton aux USA dans les années 40. En France, et si ce sport fait parler de lui dès 1840, la pratique ne s'ouvre aux femmes que dans les années 1980. En 1989, elles sont trois-cents à le pratiquer en compétition. En 2016, la fédération comptait environ 31 590 licenciés dont 35% de femmes, en 2022, le constat est une augmentation à 40% selon les chiffres de Sports.Gouv.fr. En compétition officielles, et notamment aux JO, il a fallu attendre 2000 et l'édition de Sydney, pour voir l'haltérophilie, réservée jusqu'alors aux hommes, s'ouvrir aux femmes. LE SAUT À SKI : HISTORIQUEMENT MASCULIN « Ce n'est pas adapté aux femmes d'un point de vue médical », lâchait en 2005 Gian-Franco Kasper, le président de la Fédération internationale de ski… Sauter, se jeter dans les airs, cela était considéré comme bien trop dangereux pour de fragiles guiboles féminines. Certains expliquant même que la décharge de sensations fortes pouvait les rendre stériles… En 1991, le CIO décide enfin que tout nouveau sport doit proposer des épreuves féminines. Presque parfait. Ce n'est qu'en 2014 et les Jeux Olympiques d'hiver à Sotchi que les femmes prennent place pour la première fois en haut des rampes. Alors qu'en 1924, il était déjà autorisé aux hommes. 90 ans d'attente donc. Et comme rien n'est jamais tout rose, en 2022, à Pékin, la FIS a été accusée de « détruire le saut à ski féminin » par l'Allemande Katharia Althaus, vice-championne olympique, disqualifiée comme 4 autres concurrentes pour une combinaison non conforme. Le tout alors qu'aucune concurrente n'avait été disqualifiée lors de l'épreuve individuelle, et aucun homme n'a été disqualifié lors de l'épreuve mixte. Pour le vol à ski, dérivé du saut ou les athlètes volent à plus de 100km/h sur plus de 200 m en l'air, ce n'est qu'à la Coupe du monde 2022/23 que les femmes participeront. Et là encore, c'est encadré, puisque seules celles qui sont majeures peuvent y aller. Pourtant la Slovénie, le Japon, l'Autriche et l'Allemagne avaient posé leur veto. D'ailleurs, cette épreuve ne rentrera pas dans le cadre officiel de la Coupe du monde à cause de la limitation du nombre de sauteuses. Un long combat contre les préjugés pas totalement remporté donc. LA BOXE : SPORT TROP DANGEREUX ? Jugée trop dangereuse, la boxe n'est autorisée aux femmes qu'à partir de 1998. Et si quelques mois auparavant elle est reconnue comme discipline féminine par l'Association internationale de boxe amateur (AIBA), il n'existe toujours pas de compétitions officielles. Pour cela, il faudra encore patienter 3 ans et 2002 pour voir apparaître les premiers championnats du monde féminins. Pour les JO, ce n'est que depuis 2012 et les olympiades de Londres, que les femmes peuvent monter sur un ring. Aujourd'hui, elles sont près de 8 000 licenciées en France selon la FFBoxe. LE CANOË : UN RISQUE POUR DE FUTURES GROSSESSES ? Le canoë a longtemps été interdit aux femmes aux JO. Et cela pour une raison bien particulière. « Concourir à genoux déformerait le bassin et pourrait engendrer des risques pour de futures grossesses », a expliqué Sylvain Landa, historien du sport pour Ouest France. Jusqu'à peu, les femmes ne pouvaient se battre pour l'or qu'en kayak. L'ouverture de ce sport aux femmes ne s'est fait que lors des jeux de 2020, 100 ans après les hommes.Il était peut-être temps. Corps trop frêle, pratiques trop violentes, santé trop fragile… tous les prétextes ont été bons pour interdire aux femmes de pratiquer certains sports.La lutte gréco-romaine est par exemple aujourd'hui toujours interdite aux femmes en compétition. Le combiné nordique (saut à ski et ski de fond) reste lui aussi exclusivement masculin aux JO. Le saut féminin, sur grand tremplin, fera son apparition pour les femmes pour la première fois en 2026…En 1936, Pierre de Coubertin continue de se montrer bien trop hostile à la participation des femmes aux Jeux. « Le seul véritable héros olympique, je l'ai dit, c'est l'adulte mâle individuel. Par conséquent, ni femmes ni sports d'équipes », avait-il lancé. Pourtant les sportifs masculins sont aussi victimes de discriminations. La natation synchronisée et la gymnastique rythmique ne sont pas proposés aux hommes aux JO en raison, d'après le Comité International Olympique, d'un nombre trop peu important de participants. Il y aura donc du travail avant d'atteindre cette fameuse parité aux JO 2024 et 2026 à Paris et Milan. Lire la suite sur sport.fr

  Interrogé par l’Equipe, l’ancien sélectionneur des Tonga, Toutai Kefu, a livré son avis sur notre pilier droit international, Ben Tameifuna : « J'ai eu la chance de l'entraîner avec les Ikale Tahi (31 sélections). Si on avait composé un quinze mondial après la Coupe du monde 2023, il en aurait fait partie. S'il était... L'article Toutai Kefu : “Son plus gros atout, c'est bien sûr son gabarit, et c'est un des meilleurs piliers droits du plateau mondial depuis des années” est apparu en premier sur Rugby Scapulaire. Lire la suite sur rugby-scapulaire.com

« Une olympiade femelle serait impratique, inintéressante, inesthétique et incorrecte. » « Femelle » donc… Ce sont les mots, rédigés en français, avec l'aval de ce bon vieux Pierre de Coubertin, le rénovateur des Jeux Olympiques en 1912 sur le compte-rendu officiel de l'édition de Stockholm. Des mots d'une misogynie terrible qui ne sont finalement pas si indissociables de l'actualité moderne. Malheureusement. Dans ces prochaines lignes, vous allez découvrir que certains sports étaient simplement interdits aux femmes il y a encore très peu de temps. Et parfois, les raisons sont très « limite ». PAR RUBEN DIAS. Extrait du WOMEN SPORTS N°31. LE GOLF : LADIES FORBIDDEN ? Inventé en Écosse au cours du XVe siècle, le golf était le sport interdit aux femmes par excellence. Et cela, dès son nom. Le mot « golf » tirerait ses origines d'un acronyme : « Gentlemen Only, Ladies Forbidden », ce qui signifie « Messieurs seulement, femmes interdites ». Bon, ne rêvassez pas trop puisque cette légende urbaine est totalement fausse. Selon le Scottish Golf History, le nom du sport serait plutôt un dérivé d'un vieux mot signifiant « club ». D'ailleurs, avant la création des dictionnaires, il n'existait aucune orthographe standardisée pour ce mot. Les gens écrivaient phonétiquement : Goff, gowf, golf, goif, goiff, gof, gowfe, gouff et golve. Rien à voir aux premiers abords avec une éventuelle interdiction à la gente féminine. D'ailleurs, la première mention sur des femmes jouant au golf se trouve à Bruntsfield Links en 1738… En compétitions officielles pourtant, il a fallu attendre 1990, avant que le golf ne soit officiellement ouvert à ces dernières… La définition d'une blague qui a mal tourné ? LE RUGBY : INTERDIT POUR « PRÉSERVER LA DIGNITÉ DES FEMMES » Pays de l'Ovalie, la France est une pionnière du rugby. Mais si aujourd'hui, selon les chiffres de la fédération, il y a plus de 26 000 joueuses dans le pays, les femmes n'avaient pas le droit de le pratiquer avant les années 20. Précédemment, il était pratiqué de manière clandestine. À cette époque, la docteure en médecine Marie Houdré adapte les règles du rugby pour les femmes. Pourtant, une campagne de presse juge ce sport « inadapté à la morphologie des femmes qui étaient censées devenir des bonnes mères », explique notamment la journaliste Isabelle Collombat dans des propos repris par France Inter. Pour la société, ce sport ne correspond pas à l'image de la femme. D'ailleurs, Suzanne Lenglen, la championne de tennis, elle-même, disait que « ce n'était pas esthétique, pas beau pour les femmes »… Il faudra attendre les années 60 pour que cette vision change. Des étudiantes lyonnaises organisent un événement d'ampleur en proposant aux joueuses de Bourg-en-Bresse de disputer un match et l'événement sera un succès. Le secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports, Marceau Crespin, par le biais d'une lettre au préfet, envoyée dans toute la France, demande de faire en sorte que toutes les infrastructures ne soient pas mises à disposition des femmes… Dis-moi que tu me l'interdis, sans me dire que tu l'interdis. Le rugby féminin se démocratise ensuite comme une activité clandestine. « Les joueuses jouent dans les champs et se lavent dans les rivières, faute de vestiaires », toujours selon Isabelle Collombat. C'est autour de Bourg-en-Bresse, berceau du rugby féminin que les femmes s'organisent, et réalisent même un championnat malgré l'interdiction. Et si aujourd'hui tout cela semble de l'histoire très ancienne, la fédération française de rugby mettra du temps à l'accepter. « Même en 2014, quand la France doit organiser la Coupe du monde de rugby, la fédération n'est pas très enthousiaste », conclut Isabelle Collombat… En 2017, les îles Tonga ont interdit aux filles le rugby, et la boxe, afin de « préserver la dignité des Tongiennes »… Comme quoi, il y a encore du chemin. L'HALTÉROPHILIE AU FÉMININ Les premiers émois de l'haltérophilie féminine datent notamment d'une certaine Pudgy Stockton aux USA dans les années 40. En France, et si ce sport fait parler de lui dès 1840, la pratique ne s'ouvre aux femmes que dans les années 1980. En 1989, elles sont trois-cents à le pratiquer en compétition. En 2016, la fédération comptait environ 31 590 licenciés dont 35% de femmes, en 2022, le constat est une augmentation à 40% selon les chiffres de Sports.Gouv.fr. En compétition officielles, et notamment aux JO, il a fallu attendre 2000 et l'édition de Sydney, pour voir l'haltérophilie, réservée jusqu'alors aux hommes, s'ouvrir aux femmes. LE SAUT À SKI : HISTORIQUEMENT MASCULIN « Ce n'est pas adapté aux femmes d'un point de vue médical », lâchait en 2005 Gian-Franco Kasper, le président de la Fédération internationale de ski… Sauter, se jeter dans les airs, cela était considéré comme bien trop dangereux pour de fragiles guiboles féminines. Certains expliquant même que la décharge de sensations fortes pouvait les rendre stériles… En 1991, le CIO décide enfin que tout nouveau sport doit proposer des épreuves féminines. Presque parfait. Ce n'est qu'en 2014 et les Jeux Olympiques d'hiver à Sotchi que les femmes prennent place pour la première fois en haut des rampes. Alors qu'en 1924, il était déjà autorisé aux hommes. 90 ans d'attente donc. Et comme rien n'est jamais tout rose, en 2022, à Pékin, la FIS a été accusée de « détruire le saut à ski féminin » par l'Allemande Katharia Althaus, vice-championne olympique, disqualifiée comme 4 autres concurrentes pour une combinaison non conforme. Le tout alors qu'aucune concurrente n'avait été disqualifiée lors de l'épreuve individuelle, et aucun homme n'a été disqualifié lors de l'épreuve mixte. Pour le vol à ski, dérivé du saut ou les athlètes volent à plus de 100km/h sur plus de 200 m en l'air, ce n'est qu'à la Coupe du monde 2022/23 que les femmes participeront. Et là encore, c'est encadré, puisque seules celles qui sont majeures peuvent y aller. Pourtant la Slovénie, le Japon, l'Autriche et l'Allemagne avaient posé leur veto. D'ailleurs, cette épreuve ne rentrera pas dans le cadre officiel de la Coupe du monde à cause de la limitation du nombre de sauteuses. Un long combat contre les préjugés pas totalement remporté donc. LA BOXE : SPORT TROP DANGEREUX ? Jugée trop dangereuse, la boxe n'est autorisée aux femmes qu'à partir de 1998. Et si quelques mois auparavant elle est reconnue comme discipline féminine par l'Association internationale de boxe amateur (AIBA), il n'existe toujours pas de compétitions officielles. Pour cela, il faudra encore patienter 3 ans et 2002 pour voir apparaître les premiers championnats du monde féminins. Pour les JO, ce n'est que depuis 2012 et les olympiades de Londres, que les femmes peuvent monter sur un ring. Aujourd'hui, elles sont près de 8 000 licenciées en France selon la FFBoxe. LE CANOË : UN RISQUE POUR DE FUTURES GROSSESSES ? Le canoë a longtemps été interdit aux femmes aux JO. Et cela pour une raison bien particulière. « Concourir à genoux déformerait le bassin et pourrait engendrer des risques pour de futures grossesses », a expliqué Sylvain Landa, historien du sport pour Ouest France. Jusqu'à peu, les femmes ne pouvaient se battre pour l'or qu'en kayak. L'ouverture de ce sport aux femmes ne s'est fait que lors des jeux de 2020, 100 ans après les hommes.Il était peut-être temps. Corps trop frêle, pratiques trop violentes, santé trop fragile… tous les prétextes ont été bons pour interdire aux femmes de pratiquer certains sports.La lutte gréco-romaine est par exemple aujourd'hui toujours interdite aux femmes en compétition. Le combiné nordique (saut à ski et ski de fond) reste lui aussi exclusivement masculin aux JO. Le saut féminin, sur grand tremplin, fera son apparition pour les femmes pour la première fois en 2026…En 1936, Pierre de Coubertin continue de se montrer bien trop hostile à la participation des femmes aux Jeux. « Le seul véritable héros olympique, je l'ai dit, c'est l'adulte mâle individuel. Par conséquent, ni femmes ni sports d'équipes », avait-il lancé. Pourtant les sportifs masculins sont aussi victimes de discriminations. La natation synchronisée et la gymnastique rythmique ne sont pas proposés aux hommes aux JO en raison, d'après le Comité International Olympique, d'un nombre trop peu important de participants. Il y aura donc du travail avant d'atteindre cette fameuse parité aux JO 2024 et 2026 à Paris et Milan. Lire la suite sur sport.fr

Actuellement au Japon où il évolue avec la franchise des Toshiba Brave Lupus, l’ouvreur néo-zélandais Richie Mo'unga deviendra éligible à la sélection du pays de naissance de son père, les Tonga, à partir de 2026. La... Lire la suite sur rugbyrama.fr

« Une olympiade femelle serait impratique, inintéressante, inesthétique et incorrecte. » « Femelle » donc… Ce sont les mots, rédigés en français, avec l'aval de ce bon vieux Pierre de Coubertin, le rénovateur des Jeux Olympiques en 1912 sur le compte-rendu officiel de l'édition de Stockholm. Des mots d'une misogynie terrible qui ne sont finalement pas si indissociables de l'actualité moderne. Malheureusement. Dans ces prochaines lignes, vous allez découvrir que certains sports étaient simplement interdits aux femmes il y a encore très peu de temps. Et parfois, les raisons sont très « limite ». PAR RUBEN DIAS. Extrait du WOMEN SPORTS N°31. LE GOLF : LADIES FORBIDDEN ? Inventé en Écosse au cours du XVe siècle, le golf était le sport interdit aux femmes par excellence. Et cela, dès son nom. Le mot « golf » tirerait ses origines d'un acronyme : « Gentlemen Only, Ladies Forbidden », ce qui signifie « Messieurs seulement, femmes interdites ». Bon, ne rêvassez pas trop puisque cette légende urbaine est totalement fausse. Selon le Scottish Golf History, le nom du sport serait plutôt un dérivé d'un vieux mot signifiant « club ». D'ailleurs, avant la création des dictionnaires, il n'existait aucune orthographe standardisée pour ce mot. Les gens écrivaient phonétiquement : Goff, gowf, golf, goif, goiff, gof, gowfe, gouff et golve. Rien à voir aux premiers abords avec une éventuelle interdiction à la gente féminine. D'ailleurs, la première mention sur des femmes jouant au golf se trouve à Bruntsfield Links en 1738… En compétitions officielles pourtant, il a fallu attendre 1990, avant que le golf ne soit officiellement ouvert à ces dernières… La définition d'une blague qui a mal tourné ? LE RUGBY : INTERDIT POUR « PRÉSERVER LA DIGNITÉ DES FEMMES » Pays de l'Ovalie, la France est une pionnière du rugby. Mais si aujourd'hui, selon les chiffres de la fédération, il y a plus de 26 000 joueuses dans le pays, les femmes n'avaient pas le droit de le pratiquer avant les années 20. Précédemment, il était pratiqué de manière clandestine. À cette époque, la docteure en médecine Marie Houdré adapte les règles du rugby pour les femmes. Pourtant, une campagne de presse juge ce sport « inadapté à la morphologie des femmes qui étaient censées devenir des bonnes mères », explique notamment la journaliste Isabelle Collombat dans des propos repris par France Inter. Pour la société, ce sport ne correspond pas à l'image de la femme. D'ailleurs, Suzanne Lenglen, la championne de tennis, elle-même, disait que « ce n'était pas esthétique, pas beau pour les femmes »… Il faudra attendre les années 60 pour que cette vision change. Des étudiantes lyonnaises organisent un événement d'ampleur en proposant aux joueuses de Bourg-en-Bresse de disputer un match et l'événement sera un succès. Le secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports, Marceau Crespin, par le biais d'une lettre au préfet, envoyée dans toute la France, demande de faire en sorte que toutes les infrastructures ne soient pas mises à disposition des femmes… Dis-moi que tu me l'interdis, sans me dire que tu l'interdis. Le rugby féminin se démocratise ensuite comme une activité clandestine. « Les joueuses jouent dans les champs et se lavent dans les rivières, faute de vestiaires », toujours selon Isabelle Collombat. C'est autour de Bourg-en-Bresse, berceau du rugby féminin que les femmes s'organisent, et réalisent même un championnat malgré l'interdiction. Et si aujourd'hui tout cela semble de l'histoire très ancienne, la fédération française de rugby mettra du temps à l'accepter. « Même en 2014, quand la France doit organiser la Coupe du monde de rugby, la fédération n'est pas très enthousiaste », conclut Isabelle Collombat… En 2017, les îles Tonga ont interdit aux filles le rugby, et la boxe, afin de « préserver la dignité des Tongiennes »… Comme quoi, il y a encore du chemin. L'HALTÉROPHILIE AU FÉMININ Les premiers émois de l'haltérophilie féminine datent notamment d'une certaine Pudgy Stockton aux USA dans les années 40. En France, et si ce sport fait parler de lui dès 1840, la pratique ne s'ouvre aux femmes que dans les années 1980. En 1989, elles sont trois-cents à le pratiquer en compétition. En 2016, la fédération comptait environ 31 590 licenciés dont 35% de femmes, en 2022, le constat est une augmentation à 40% selon les chiffres de Sports.Gouv.fr. En compétition officielles, et notamment aux JO, il a fallu attendre 2000 et l'édition de Sydney, pour voir l'haltérophilie, réservée jusqu'alors aux hommes, s'ouvrir aux femmes. LE SAUT À SKI : HISTORIQUEMENT MASCULIN « Ce n'est pas adapté aux femmes d'un point de vue médical », lâchait en 2005 Gian-Franco Kasper, le président de la Fédération internationale de ski… Sauter, se jeter dans les airs, cela était considéré comme bien trop dangereux pour de fragiles guiboles féminines. Certains expliquant même que la décharge de sensations fortes pouvait les rendre stériles… En 1991, le CIO décide enfin que tout nouveau sport doit proposer des épreuves féminines. Presque parfait. Ce n'est qu'en 2014 et les Jeux Olympiques d'hiver à Sotchi que les femmes prennent place pour la première fois en haut des rampes. Alors qu'en 1924, il était déjà autorisé aux hommes. 90 ans d'attente donc. Et comme rien n'est jamais tout rose, en 2022, à Pékin, la FIS a été accusée de « détruire le saut à ski féminin » par l'Allemande Katharia Althaus, vice-championne olympique, disqualifiée comme 4 autres concurrentes pour une combinaison non conforme. Le tout alors qu'aucune concurrente n'avait été disqualifiée lors de l'épreuve individuelle, et aucun homme n'a été disqualifié lors de l'épreuve mixte. Pour le vol à ski, dérivé du saut ou les athlètes volent à plus de 100km/h sur plus de 200 m en l'air, ce n'est qu'à la Coupe du monde 2022/23 que les femmes participeront. Et là encore, c'est encadré, puisque seules celles qui sont majeures peuvent y aller. Pourtant la Slovénie, le Japon, l'Autriche et l'Allemagne avaient posé leur veto. D'ailleurs, cette épreuve ne rentrera pas dans le cadre officiel de la Coupe du monde à cause de la limitation du nombre de sauteuses. Un long combat contre les préjugés pas totalement remporté donc. LA BOXE : SPORT TROP DANGEREUX ? Jugée trop dangereuse, la boxe n'est autorisée aux femmes qu'à partir de 1998. Et si quelques mois auparavant elle est reconnue comme discipline féminine par l'Association internationale de boxe amateur (AIBA), il n'existe toujours pas de compétitions officielles. Pour cela, il faudra encore patienter 3 ans et 2002 pour voir apparaître les premiers championnats du monde féminins. Pour les JO, ce n'est que depuis 2012 et les olympiades de Londres, que les femmes peuvent monter sur un ring. Aujourd'hui, elles sont près de 8 000 licenciées en France selon la FFBoxe. LE CANOË : UN RISQUE POUR DE FUTURES GROSSESSES ? Le canoë a longtemps été interdit aux femmes aux JO. Et cela pour une raison bien particulière. « Concourir à genoux déformerait le bassin et pourrait engendrer des risques pour de futures grossesses », a expliqué Sylvain Landa, historien du sport pour Ouest France. Jusqu'à peu, les femmes ne pouvaient se battre pour l'or qu'en kayak. L'ouverture de ce sport aux femmes ne s'est fait que lors des jeux de 2020, 100 ans après les hommes.Il était peut-être temps. Corps trop frêle, pratiques trop violentes, santé trop fragile… tous les prétextes ont été bons pour interdire aux femmes de pratiquer certains sports.La lutte gréco-romaine est par exemple aujourd'hui toujours interdite aux femmes en compétition. Le combiné nordique (saut à ski et ski de fond) reste lui aussi exclusivement masculin aux JO. Le saut féminin, sur grand tremplin, fera son apparition pour les femmes pour la première fois en 2026…En 1936, Pierre de Coubertin continue de se montrer bien trop hostile à la participation des femmes aux Jeux. « Le seul véritable héros olympique, je l'ai dit, c'est l'adulte mâle individuel. Par conséquent, ni femmes ni sports d'équipes », avait-il lancé. Pourtant les sportifs masculins sont aussi victimes de discriminations. La natation synchronisée et la gymnastique rythmique ne sont pas proposés aux hommes aux JO en raison, d'après le Comité International Olympique, d'un nombre trop peu important de participants. Il y aura donc du travail avant d'atteindre cette fameuse parité aux JO 2024 et 2026 à Paris et Milan. Lire la suite sur sport.fr

C'est le jour J au Chambéry Savoie Stadium pour les deux test-matches internationaux d'automne enchaînés entre quatre formations du Top 20 mondial. Japon et Uruguay ouvriront le bal (14 h 30), lancés, comme les Tonga et les États-Unis à 17 h30, dans un rajeunissement de leurs cadres afin de bien figurer lors de la prochaine Coupe du monde en 2027. Lire la suite sur ledauphine.com

Arrivé en 2018 en provenance du Connacht, le trois quart centre néo-zélandais Pita Ahki s'est imposé au centre de l'attaque toulousaine après une blessure au genou. Discret et moins médiatisé que ses coéquipiers internationaux, celui qui a disputé la dernière Coupe du monde avec les Tonga est pourtant la pierre angulaire des lignes arrières et ... Lire la suite sur blog-rct.com

Arrivé en 2018 en provenance du Connacht, le trois quart centre néo-zélandais Pita Ahki s'est imposé au centre de l'attaque toulousaine après une blessure au genou. Discret et moins médiatisé que ses coéquipiers internationaux, celui qui a disputé la dernière Coupe du monde avec les Tonga est pourtant la pierre angulaire des lignes arrières et le sera encore ce dimanche soir face à l'UBB. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Arrivé en 2018 en provenance du Connacht, le trois quart centre néo-zélandais Pita Ahki s'est imposé au centre de l'attaque toulousaine après une blessure au genou. Discret et moins médiatisé que ses coéquipiers internationaux, celui qui a disputé la dernière Coupe du monde avec les Tonga est pourtant la pierre angulaire des lignes arrières et le sera encore ce dimanche soir face à l'UBB (21h05). Mais Ahki le taiseux, véritable force tranquille, a dû forcer sa nature. Avant de trouver sa place et de se bâtir un énorme palmarès avec le Stade Toulousain. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

La scène du rugby international pourrait connaître un rebondissement inattendu. Vaea Fifita et Lukhan Salakaia-Loto, respectivement ex-All Black et ex-Wallaby, seraient en lice pour représenter les Tonga lors de la ... Lire la suite Lire la suite sur xvovalie.com

A un poste de pilier droit en délicatesse à Bordeaux-Bègles, Ben Tameifuna garde le cap de sa Coupe du monde exemplaire avec les Tonga comme en atteste sa partition hors norme samedi dernier face à Bayonne en Top 14, qu'il rêve de rejouer dimanche contre les Saracens (18h30) en Coupe d'Europe. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Gonflé à bloc par sa Coupe du monde avec les Tonga, le pilier droit de l'Union Bordeaux-Bègles a encore frappé fort lors de la victoire face à l'Aviron Bayonnais (24-23) samedi à Chaban-Delmas Lire la suite sur sudouest.fr

Après avoir enrôlé Noa Nakaitaci, l'USA Limoges continue de surprendre avec le recrutement de Paula Ngauamo, talonneur qui a disputé plus de 100 matchs dans l'élite et la dernière Coupe du monde avec les Tonga. Lire la suite sur midi-olympique.fr

L'ancien centre de Toulon, Malakai Fekitoa, évolue désormais du côté du Benetton Trevise. Dans une entrevue avec le Midi Olympique, il partage son expérience lors de cette nouvelle aventure italienne, tout en évoquant sa participation à la Coupe du Monde avec son pays d'origine, les Tonga. Lire la suite sur quinzemondial.com

L'ancien centre de Toulon Malakai Fekitoa joue désormais du côté du Benetton Trevise. Il revient sur sa nouvelle aventure italienne, comme sur cette Coupe du monde disputée avec son pays d'origine, les Tonga, lui le... Lire la suite sur rugbyrama.fr

Lecture zen 22 septembre 2007, stade Félix-Bollaert à Lens : à droite toute, Bruno Gaudefrin, 5 e arbitre de cet Afrique du Sud – Tonga, match de poule sifflé par Wayne Barnes (au centre). Seize ans après, le bizut britannique officiera lors de la finale de cette 10 e Coupe du monde au Stade de France. - AFP Il a passé la main ou plutôt coupé le sifflet. Un an après avoir raccroché sa tenue d'arbitre au clou, Bruno Gaudefrin demeure dans les affaires de l'ovalie. À 57 ans, le CPE d'un «  collège rural, à Lassigny », dans l'Oise, référent arbitre pour la Ligue des Hauts de France, est maintenant « superviseur au niveau national ». Toujours licencié au RC Chauny (Régional 2), – « j'en suis le plus vieux » (rires) – dont le président est également un ex sifflet (Luc Degonville), il a également suivi la Coupe du monde. De fait, quand tout le monde – ou presque – est tombé sur le râble de Ben O'Keeffe, plus « célèbre » depuis près de deux semaines et le quart de finale France -Afrique du Sud (28-29, 15 octobre) que son illustre homologue italien, le théâtral Pier Luigi Collina (football), Bruno Gaudefrin estime le procès facile. « Nous (la France) sommes 50 minutes chez eux, on ne marque pas. Ils viennent deux fois, ils marquent… ». Admettant que la ligne d'avantage pouvait être franchie sur les zones de rucks par des plongeons « sud'afs », le souci est peut-être ailleurs. « Le niveau est tellement serré. Si on décortique à la vidéo, on va trouver, oui. Mais le souci vient peut être plus de l'arbitrage vidéo que de l'arbitre lui-même… C'est un sacré progrès, une aide, mais il y a toujours une part d'humain, au point de moins la demander. Avec de tels enjeux, ce n'est pas simple. Et quand ça se joue à un point, c'est toujours la faute de l'arbitre… ». Celui qui officia en tant que « central en Pro D2 et quelques touches en Top 14 » jusqu'en 2011 a vécu de l'intérieur la Coupe du monde… 2007, dont la France était co-organisatrice. « J'étais nº4 ou nº5 sur trois matches (à Lens), les arbitres étaient déjà professionnels. J'étais sur la touche », en rigole-t-il. Mettant fin à sa carrière d'arbitre « en juin 2022 » au sein de la Ligue, il a même eu droit à une rallonge, malgré la limite d'âge fixée à 55 ans. « J'ai fait une année de plus », rendant son tablier que d'autres l'ont enfilé progressivement. À l'exemple de « l'ancien prof d'EPS », Mathieu Raynal, arbitre français d'une Coupe du monde qui arrive à son épilogue. « Nous étions en stage à Vittel quand il a démarré, nous partagions la même chambre ». Un autre arbitre, de renom, s'ouvrait à l'international e Lire la suite sur lest-eclair.fr

Le troisième ligne Shannon Frizell s'est imposé dans l'effectif des All Blacks, il devrait porter le numéro 6 pour la finale de la Coupe du monde face à l'Afrique du Sud. Lire la suite sur lerugbynistere.fr

Blessé et contraint de déclarer forfait pour la fin du Mondial après une blessure subie face aux Tonga, l'ailier star des Springboks, rentré en Afrique du Sud, a été fêté en héros alors qu'il faisait ses courses. Lire la suite sur leparisien.fr

Jean-Baptiste Lafond s'est confié via Eurosport pour évoquer la demi-finale de Coupe du monde entre l'Afrique du Sud et l'Angleterre. Il mise sur une victoire des Sud-Africains, samedi soir. Extrait: "Les Anglais étaient dans une poule assez facile avec l'Argentine et les Tonga. Dans cette Coupe du monde, il y a des équipes qui n'étaient ... Lire la suite sur blog-rct.com

La Coupe du monde de rugby à XV a eu lieu au Japon du 20 septembre au 2 novembre 2019, une première pour le continent asiatique. Le tournoi se déroule dans les 12 villes hôtes : Chofu, Yokohama, Osaka, Toyota, Sapporo, Kobe, Fukuroi, Fukuoka, Oita, Kumamoto, Kumagaya, et Kamaishi. En tant que pays organisateur le Japon est directement qualifié pour la compétition et donne le coup d'envoi de la compétition lors du match d'ouverture face à la Russie le 20 septembre à Tokyo. Les 19 autres nations sont réparties dans quatre poules de cinq équipes. Le XV de France débutera face à l'Argentine le 21 septembre, avant d'affronter les Etats-Unis puis les Tonga les 2 et 6 octobre prochains. La sélection de Guy Novès termine par le XV de la Rose, le 12 octobre, un match finalement annulé en raison d'un typhon frappant le Japon. La France a finalement été éliminée en quart de finale et l'Afrique du Sud a remporté la compétition devant l'Angleterre. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Plusieurs anciens joueurs de la Nouvelle-Zélande et de l'Australie ont participé à la Coupe du monde avec les Tonga et les Samoa. Ont-ils vraiment pesé ? Lire la suite sur lerugbynistere.fr

Lecture zen Le Stade de France et tout un pays espèrent chavirer ce dimanche 15 octobre. Car ce dimanche, se disputera le dernier quart de finale de la Coupe du monde de rugby entre la France et l'Afrique du Sud. Premiers de leurs poules et auteurs d'un sans-faute, les Bleus rencontrent les champions du monde en titre springboks qui ont laissé la première place de leur groupe à l'Irlande après le match perdu face au XV du Trèfle. Le coup d'envoi de ce choc entre deux des favoris du Mondial sera donné à 21h. La rencontre sera diffusée sur TF1. Le Néo-Zélandais Ben O'Keefe sera au sifflet. Le vainqueur affrontera celui d'Angleterre-Fidji en demi-finale. Le programme complet des quarts à retrouver ci-dessous. À lire aussi Horaires, diffusion… tout savoir sur les quarts de finale de la Coupe du monde de rugby Retour de Dupont ? Le sélectionneur Fabien Galthié a annoncé la composition du XV de France ce vendredi. Antoine Dupont, qui a repris les entraînements avec un casque en début de semaine, sera bien titulaire et reprend le capitanat. Côté sud-africain, le demi-d'ouverture titulaire sera Mannie Libbok, en manque de réussite au pied face à l'Irlande. Il a été préféré au champion du monde 2019 Handré Pollard, titulaire lors du dernier match face aux Tonga. Consultez l'actualité en vidéo Un seul précédent en Coupe du monde France-Afrique du Sud est une affiche régulière en test-match mais quasi inédite lors d'un Mondial. Le XV de France et les Springboks ne se sont rencontrés qu'une seule fois en Coupe du monde, en demi-finale de la Coupe du monde 1995. Dans des conditions dantesques et sous le déluge de Durban, les Boks remportent le match 19 à 15. Cette année-là, le capitaine François Pienaar et ses coéquipiers vont au bout et gagnent le premier de leurs trois trophées William Webb-Ellis. La victoire est bien plus que sportive pour l'Afrique du Sud. Le pays était tout juste sorti de l'apartheid, Nelson Mandela de prison. Les Springboks avaient été bannis des deux précédentes éditions. Mis en ligne le 13/10/2023 à 12:50Sur quelle chaîne et à quelle heure regarder le quart de finale du XV de France face à l'Afrique du Sud ? France-Afrique du Sud, c'est la dernière affiche de ces quarts de finale de la Coupe du monde de rugby 2023. Horaires, diffusion, effectif on vous explique tout avant la rencontre. Lire la suite sur lardennais.fr

Après avoir mené de véritables combats balle en main, les joueurs de rugby passent aux soins. Bains glacés, massages, les techniques sont nombreuses pour régénérer les corps meurtris. Depuis que les projecteurs du stade se sont éteints dimanche soir à l’issue de la dernière rencontre de Coupe du monde entre le Tonga et la Roumanie, la pelouse du stade est elle aussi aux petits soins. En opérati... Lire la suite sur lavoixdunord.fr

Lecture zen Photo Pierre Rouanet la Voix du Nord.Une petite semaine à patienter avant le début de la phase finale de la Coupe du monde de rugby. Supporters du XV de France, passionnés de passes après contact, chandelles et autre chisteras, voici le programme de ces quarts de finale du Mondial. Pays de Galles – Argentine, ouvrira le bal ce samedi 14 octobre à 17h. Le match se disputera sur la pelouse du Vélodrome à Marseille et sera diffusé sur France 2. Le choc de la soirée opposera l'Irlande aux All Blacks. Le coup d'envoi sera donné à 21h et la rencontre sera retransmise sur TF1. Retour au Vélodrome pour le premier match du dimanche : Angleterre – Fidji à 17h. Un match diffusé sur M6. Un dernier quart et un nouveau choc ce dimanche à 21h au Stade de France. Après sa promenade de santé au Groupama Stadium  face à l'Italie, la pente s'élèvera pour le XV de France qui affronte l'Afrique du Sud pour une place en demi-finale. Les téléspectateurs pourront suivre la rencontre sur TF1. À lire aussi Place aux choses sérieuses pour les Bleus, qui seront opposés aux Boks Consultez l'actualité en vidéo Retour de Dupont ? Absent du dernier match face à l'Italie, le capitaine des Bleus, Antoine Dupont a repris les entraînements avec contacts, a annoncé ce lundi la Fédération française de rugby. Les Springboks, deuxièmes de leur groupe, ont aussi vu le retour d'un taulier de l'équipe. Le buteur Handré Pollard, champion du monde avec les Boks en 2019, a été titularisé pour le dernier match de poules face aux Tonga. À lire aussi Rugby/Quiz: 10 questions pour tester vos connaissances sur les légendes du XV de France Le tableau de la phase finale Le palmarès des équipes encore en lice Parmi les équipes qualifiées pour les quarts, trois ont déjà remporté la compétition. L'Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande ont toutes les deux soulevé le trophée Webb-Ellis à trois reprises. Les Springboks sont d'ailleurs les vainqueurs de la précédente édition en 2019. L'Angleterre est la seule nation européenne à avoir remporté la compétition en 2003. Le titre suprême échappe toujours à la France, trois fois finaliste (1987, 1999, 2011). Le meilleur résultat des Gallois et des Argentins est une troisième place. Lire la suite sur lest-eclair.fr

Engagés dans la Poule B de cette Coupe du Monde de rugby, les Tongiens disputaient ce dimanche 8 octobre leur dernier match. Face à la Roumanie (de Valentin URSACHE), l’équipe des Tonga s’est imposée sur le score de 45 à 24, avec le bonus offensif. Pour les Aigles de Mer, c’est un premier succès dans […] Lire la suite sur oyonnaxrugby.com

Après la victoire des Tonga face aux Roumains, le groupe B est terminé. L'heure du bilan est donc venue dans la poule de la mort. Les Irlandais ont été impressionnants sur leurs quatre matchs, alors que les Roumains... Lire la suite sur rugbyrama.fr

Le Tonga a battu la Roumanie ce dimanche lors de la 4e journée de phase de poules de la Coupe du monde de rugby 2023. Une victoire 45-24 qui permet au Tonga (4e du groupe B) de finir devant la Roumanie (5e). Les deux nations étaient déjà éliminées.  Accès au direct La Roumanie voudra conclure […] Lire la suite sur sport.fr

Pour leur dernier match en poule B, les Tongiens ont remporté leur premier succès (45-24), bonifié, dimanche après-midi à Lille, face à la Roumanie dans cette Coupe du monde. Lire la suite sur lequipe.fr

"Duel d\u0027équipe qui cherchait une première victoire à l\u0027occasion de cette dernière journée de la phase de poules. A ce jeu-là, les Tonga ont pris le meilleur sur la Roumanie (45-24) grâce à six essais contre trois seulement aux Roumains qui achèvent cette Coupe du monde avec quatre défaites au compteur." Lire la suite sur eurosport.fr

COUPE DU MONDE DE RUGBY 2023 - Le dernier match de la poule B a livré son verdict. Les Tonga terminent leur Coupe du monde avec une victoire face à la Roumanie (45-24). Un résultat qui a mis du temps à se dessiner puisque les Roumains ont livré une belle opposition pendant une bonne heure.  Lire la suite sur dicodusport