Russie

Jeudi 07 décembre 2023
05:58 -

JO 2024 : la cybersécurité, première épreuve des Jeux

"L'alerte est rouge cramoisi." Voici la réaction typique d'un spécialiste en cybersécurité interrogé à l'aube des Jeux olympiques d'été de Paris. D'abord, parce que le danger ne cesse de progresser d'édition en édition. Pas moins de 200 millions de menaces avaient été recensées à Londres, en 2012. Quelque 500 millions à Rio, quatre ans plus tard. Puis environ 4 milliards à Tokyo en 2021 - pour rappel, la crise du Covid avait conduit à repousser d'un an les Jeux. Il est promis à la capitale française un déluge biblique à l'été 2024 : "dix fois plus" d'alertes qu'au Japon, redoute le Comité d'organisation des Jeux olympiques, le Cojo. Chacune d'entre elles pouvant, en bout de course, affecter les sites, la billetterie, pourquoi pas mettre en panne la climatisation dans la chambre d'un athlète avant une épreuve décisive ou le chronomètre d'un arbitre. Les principales catégories de risques ont été identifiées : le sabotage, la fuite de données, l'atteinte à l'image et la fraude. "La technologie est partout", justifiait fin novembre, lors d'un point presse le directeur délégué à la sécurité des systèmes d'information de Paris 2024, Franz Regul. Téléphones, ordinateurs, objets connectés, réseaux Wi-Fi… Les failles potentielles se trouvent aussi facilement que l'oxygène dans l'air. La cybermenace est toujours plus sournoise : des attaques par déni de service (DDoS) pouvant mettre à terre un site Web en quelques secondes, aux rançongiciels bloquant l'accès à des données contre une somme d'argent. Toujours plus sophistiquée, également. Certains groupes de hackeurs, les APT, sont notoirement financés par des Etats comme la Russie ou la Chine. Et puis, il y a le contexte géopolitique, chargé : le conflit au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine… Les JO sont l'événement sportif international le plus suivi au monde. L'opportunité de faire entendre son message, ou de dénigrer le pays hôte. "L'image dégagée par ces Jeux sera associée à celle du pays", souligne Franz Regul. Le destructeur d'Olympiades Faut-il pour autant perdre la tête face à ces chiffres ? "Ils sont trompeurs. Il est en réalité facile d'obtenir 10 milliards, voire 50 milliards de menaces, puisque des bots - ou robots - peuvent à eux seuls générer plusieurs millions d'attaques simultanément. Mais toutes ne se valent pas", indique Karim Benslimane, à la tête de la compagnie DarkTrace, spécialisée dans la cyber-sécurisation de grands évènements sportifs. La plupart sont traitées automatiquement par des outils nourris à l'intelligence artificielle. Reste que la probabilité qu'une seule puisse atteindre son but, et véritablement perturber les Jeux, demeure importante. "Une balle suffit", résume Karim Benslimane. Le "Waterloo" cyber des JO est encore frais dans toutes les têtes. Le 9 février 2018, à Pyeongchang, en Corée du Sud, quelques minutes avant la cérémonie d'ouverture de ces Jeux d'hiver, le programme Olympic Destroyer [destructeur d'olympiades], entre en piste. Soudain, les réseaux deviennent instables, l'application officielle des Jeux ne répond plus, de même que certains portiques de sécurité du stade. Panique à bord. Personne ne l'avait vu venir. "L'intrusion dans les systèmes avait débuté, en silence, depuis trois ans…", souffle Karim Benslimane. Vertigineux. Le Cojo a commencé sa préparation cyber il y a cinq ans… juste après Pyeongchang. "Le recrutement des équipes a été réalisé plus tôt que les éditions précédentes", indique l'organisation cyber parisienne. Dans les services de renseignements, l'état d'esprit flirte avec la paranoïa. "La question n'est pas de savoir si l'événement va être attaqué mais de savoir quand et comment. […] Il est plausible qu'un ou plusieurs systèmes d'information concourant à l'organisation des JO de Paris 2024 soient déjà compromis et permettent à terme de lancer une attaque potentiellement coordonnée sur plusieurs sites", disait avant l'été une note du commandement de la gendarmerie dans le cyberespace, exhumée par BFMTV. Les pirates ont toujours une longueur d'avance. Un exemple récent : en dépit de l'attention portée à la Coupe du monde de rugby, organisée cet automne en France, la Fédération française avait été frappée par un puissant rançongiciel deux mois avant l'ouverture de la compétition. "Solidarité numérique" A son crédit, le Cojo n'a pas lésiné pas sur les moyens pour muscler son dispositif. Fin 2022, le budget dédié à la cybersécurité a été rallongé de 10 millions d'euros. L'américain Cisco et le français Atos, traditionnels partenaires des Jeux, chapeautent ensemble les systèmes, accompagnés par le très sérieux gendarme de la cybersécurité française, l'Anssi. Plusieurs dizaines de personnes seront ainsi réunies durant les Jeux dans le TOC, le Centre des opérations technologiques, véritable QG de la cyber. Place, en ce moment, à "l'affinage". "Comme tout athlète qui participe aux Jeux, on se met en condition pour être prêt le jour J. Nous allons lancer un important programme de tests et d'exercices pour continuer à améliorer nos contrôles, nos politiques et nos procédures, et renforcer la cyber-résilience des systèmes de Paris 2024", prévient-on au Cojo. Au menu : "bug bounty" - chasse à la faille - et autres piratages "éthiques". La plateforme Yes We Hack va se charger de tester les limites du dispositif cyber des Jeux. "On utilise les mêmes techniques que les méchants", explique Guillaume Vassault-Houlière, son PDG, plutôt confiant à l'approche des Jeux : "Nous sommes l'un des pays les plus matures au monde sur la cyber. Notamment sur l'expertise humaine." Karim Benslimane appelle néanmoins à ne pas baisser la garde. "Il y a quasiment 70 sites olympiques et aucun au même niveau de préparation cyber. Les assaillants n'iront pas se casser les dents sur les meilleures forteresses." Attention, enfin, à ne pas sous-estimer la force de frappe de ces derniers, qui peuvent attaquer partout. Les hôpitaux, les gares et les transports, régulièrement visés, seront tout aussi stratégiques lors des Jeux. "Pour faire du grabuge et embêter le pays, pas besoin de viser le Cojo", juge le patron de DarkTrace. Les amateurs de rançongiciels pourraient utiliser l'événement pour mettre encore plus de pression sur leurs cibles et récupérer davantage d'argent. Les organisateurs en ont bien conscience. "Nous disposons aussi d'une stratégie plus large mobilisant les acteurs de la cybersécurité du tissu économique français. Une "solidarité numérique", pour être plus forts et plus sûrs ensemble", détaillent-ils. Sans vouloir céder à la panique, le message est clair : personne ne sera à l'abri. Lire la suite sur lexpress.fr

Dimanche 15 octobre 2023
21:12 -

Coupe du monde rugby 2019

La Coupe du monde de rugby à XV a eu lieu au Japon du 20 septembre au 2 novembre 2019, une première pour le continent asiatique. Le tournoi se déroule dans les 12 villes hôtes : Chofu, Yokohama, Osaka, Toyota, Sapporo, Kobe, Fukuroi, Fukuoka, Oita, Kumamoto, Kumagaya, et Kamaishi. En tant que pays organisateur le Japon est directement qualifié pour la compétition et donne le coup d'envoi de la compétition lors du match d'ouverture face à la Russie le 20 septembre à Tokyo. Les 19 autres nations sont réparties dans quatre poules de cinq équipes. Le XV de France débutera face à l'Argentine le 21 septembre, avant d'affronter les Etats-Unis puis les Tonga les 2 et 6 octobre prochains. La sélection de Guy Novès termine par le XV de la Rose, le 12 octobre, un match finalement annulé en raison d'un typhon frappant le Japon. La France a finalement été éliminée en quart de finale et l'Afrique du Sud a remporté la compétition devant l'Angleterre. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Vendredi 06 octobre 2023
08:05 -

La matinale. Des fourmis fantômes à Lyon ; le crash de Prigojine et les "morceaux de grenade" ; le XV de France face à l'Italie... L'essentiel de l'actu de ce vendredi 6 octobre

Des fourmis invasives d'un nouveau genre qui pourrissent la vie des habitants d'un immeuble lyonnais, des « morceaux de grenade » retrouvés dans les corps des victimes du crash d'avion qui a coûté la vie en Russie à Evguéni Prigojine, chef du groupe paramilitaire Wagner, les rugbymen tricolores opposés à la Squadra Azzurra au stade de l'OL en Coupe du monde, le journaliste Bruce Toussaint sur TF1... Voici l'essentiel de l'actu de ce vendredi 6 octobre. Lire la suite sur leprogres.fr

Mardi 26 septembre 2023
12:33 -

Sergo Gujaraidze, « Lelos » de Champagne, savoure pleinement la Coupe du monde de rugby

Lecture zen Avec Martin Johnson, capitaine anglais champion du monde en 2003 (en haut à droite), sous les couleurs d'Epernay quelques saisons plus tard puis avec l'un de ses fils au Stade de France le 9 septembre dernier : Sergo Gujaraidze fait toujours corps avec le ballon ovale. - Montage l'union LA silhouette ne passe pas inaperçue. Agent de sécurité à la ville de 1,96 m – « j'ai perdu deux centimètres à cause d'opérations » –, ayant notamment opéré les jours de match à Delaune (foot), il y a quelques saisons, Sergo Gujaraidze est, pourtant, d'une nature plutôt discrète. Arrivé en France en 2001, dans le sillage « de l'ancien sélectionneur de l'équipe nationale, Claude Sorel », passé par Le Creusot, Lons-le-Saunier, Arras et Épernay jusqu'en 2013, marquant la fin de carrière, Sergo Gujaraidze est devenu parmi les plus Français des Géorgiens. C'est aussi à cette époque que le 2e ligne, originaire de la région, montagneuse, de Kazbegui, au nord du pays, à la limite de la frontière avec la Russie, prend son envol. Son nom tourne sur les radars des Lelos (qui veut dire essai dans la langue mais renvoie surtout à une pratique ancestrale avec un ballon de cuir noir), surnom donné à l'équipe nationale, qui dispute sa toute première Coupe du monde. « J'ai fait deux matches de préparation avant la Coupe du monde 2003, contre des équipes françaises, Béziers, Tyrosse », se souvient le gaillard, père de trois enfants et marié à Suzanna Klimesova. Laquelle devint, à son arrivée à Reims, joueuse de Saint-Jacques Reims, le Champagne Basket féminin de l'époque, qui évoluait au plus haut niveau français. S'il ne dispute pas la première sortie contre les Anglais du capitaine Martin Johnson, futurs champions du monde, il rentre dans l'arène contre l'Afrique du Sud (19-46). « Je me souviens de quelques “chatouilles” avec Bakkies Botha et Johan Van Niekerk », relate Sergo, qui enchaîne dans la foulée devant l'Uruguay (12-24), malgré une blessure contractée contre les rugueux Sud-Africains. Un revers qui sonne presque comme un chant du cygne international pour Sergo Gujaraidze. La blessure ? « Une hernie discale » qui va nécessiter une intervention. « Je me souviens de quelques « chatouilles » avec Bakkies Botha et Johan Van Niekerk… » Deux sélections plus loin, son compteur va se figer « à six ». Mais Sergo ne range pas les crampons, pas à 25 ans. Après avoir débarqué en France au Creusot-Montchanin en 2001, il signe « un pré-contrat d'avant-saison » à Béziers. Mais sa blessure australienne a raison de ses desseins héraultais. Lons-le-Saunier (Jura), puis Arras et enfin Épernay seront ses points de chute successifs. Quid de son arrivée en Champagne ? Pilier au Rec, son compatriot Lire la suite sur lest-eclair.fr

Mercredi 31 mai 2023
18:24 -

Ce qu'il ne fallait pas manquer dans l'actu ce mardi 31 mai

Tous les jours, nous vous proposons une sélection des informations de la journée. Fausses promotions épinglées, alerte aux orages dans le Sud-Ouest, drapeau interdit en Russie, chiffres de l'immigration, J -100 avant la Coupe du monde de rugby... Voici ce qui a fait l'actu ce mardi 31 mai sur TF1info. Lire la suite sur lci.fr

Dimanche 07 mai 2023
08:00 -

Tourisme : comment la France a compensé l'absence des Chinois

Trois longues années, autant dire une éternité. C'est le temps qu'il aura fallu au gouvernement chinois pour autoriser ses habitants à quitter le territoire et redécouvrir les joies du tourisme. Trois années au cours desquelles leurs droits étaient limités au strict minimum. Mais, depuis le 8 janvier, les habitants de Pékin, Shanghai, Canton, ou encore Shenzhen peuvent de nouveau voyager à travers le monde. En 2019, la deuxième puissance économique mondiale occupait la première place, devant les Etats-Unis, du classement des pays envoyant le plus de touristes à l'étranger, avec 155 millions de voyageurs. Cette même année, 2,2 millions de visiteurs chinois s'étaient rendus sur le territoire français, injectant au total 3,5 milliards d'euros dans notre économie. Une manne non négligeable que le secteur est parvenu, depuis, à compenser : "Il n'y a pas eu de conséquences majeures, car, pour une bonne partie, le tourisme à Paris, comme ailleurs en France, est reparti avec une forte augmentation du nombre de visiteurs européens et nord-américains et, dans le même temps, une hausse du chiffre d'affaires", explique Frédéric Hocquard, adjoint d'Anne Hidalgo chargé du tourisme à la mairie de Paris. En 2022, la France a en effet connu une année record avec 58 milliards d'euros de dépenses des touristes, soit 1,2 milliard de plus qu'en 2019. Le tout sans un seul visiteur chinois. Ce phénomène se prolongera-t-il ? "La clientèle de substitution ne tournera plus à plein régime, mais il en restera. On peut compter sur le changement de comportement des Européens, qui voyagent moins loin pour plusieurs raisons : géopolitique, empreinte carbone…" détaille Vanguelis Panayotis, président de MKG Consulting, un cabinet d'analyse de l'activité touristique. Même constat du côté de la Côte d'Azur. "Les touristes américains et canadiens, ainsi que ceux en provenance du Moyen-Orient, ont réussi à compenser cette absence. C'est une clientèle à très forte valeur ajoutée", assure la sénatrice (LR) Alexandra Borchio Fontimp, présidente du comité régional du tourisme Côte d'Azur France, qui n'oublie toutefois pas la Chine : "Cela reste une clientèle très intéressante pour nous. Nous avons beaucoup de personnels qui parlent chinois. C'est un marché en pleine expansion, avec une économie florissante qu'il faut garder en tête." Le marché chinois représentait 3 % des séjours sur la Côte d'Azur en 2019. Une ligne directe entre Nice et Pékin avait même été ouverte. Elle est aujourd'hui fermée. Un retour au ralenti Pour l'heure, le retour des touristes chinois est encore timide. Deux difficultés se posent : les avions des compagnies françaises en provenance d'Asie ne peuvent plus survoler la Russie. "C'est un sujet multifacette sur lequel nous sommes alertés, assure-t-on au cabinet d'Olivia Grégoire, ministre du Tourisme. Il en est de même pour le ministère des Transports. Nous encourageons un retour des touristes chinois, mais la question, qui dépasse notre position, est avant tout diplomatique. Nous sommes au fait du caractère essentiel du tourisme chinois en France. Le contournement de l'espace aérien russe pose plusieurs problèmes : la desserte de l'Asie est complexe et le coût du kérosène se révèle élevé." Par ailleurs, la délivrance de visas se fait au compte-gouttes. "Pour voyager, on a besoin de visibilité, de connaître les conditions. Les Chinois partent loin, avec un choc culturel, ils doivent prendre leur visa, cela représente beaucoup d'argent… Quand un Américain peut, d'un week-end à l'autre, aller à Paris, c'est beaucoup plus simple", relève Vanguelis Panayotis, de MKG Consulting. La reprise du trafic est encore progressive. Actuellement, 16 vols hebdomadaires sont effectués entre la Chine et la France. "L'Etat et Air France doivent tout mettre en œuvre pour augmenter leur nombre. Le risque est que les touristes se tournent vers d'autres destinations", prévient Hamida Rezeg, vice-présidente chargée du tourisme à la région Ile-de-France. Une demande en partie entendue : à partir du 10 juin, une cinquantaine de vols auront lieu chaque semaine, un rythme qui reste inférieur de moitié à celui de l'été 2019, quelques mois avant le début de la pandémie de Covid-19. "Par rapport aux autres pays, nous serons dans une fourchette élevée. On compte actuellement 10 rotations par semaine entre la Chine et le Canada, et 20 avec les Etats-Unis", précise-t-on au cabinet d'Olivia Grégoire. En réalité, le tourisme chinois semble pour l'instant se limiter aux frontières du pays, avec un coup d'accélérateur lié au Nouvel An lunaire. D'après l'Académie du tourisme de Chine, les recettes engrangées au cours des cinq jours de congé autour du 1er Mai se sont rapprochées de celles de la même période en 2019. Le pouvoir chinois n'a en réalité pas forcément intérêt à laisser partir ses citoyens. "Un habitant qui vient changer ses devises à l'étranger pour acheter une montre ou un parfum, c'est de la perte de richesse. La Chine se dit : si on peut les garder chez nous, ce n'est pas plus mal", souligne Vanguelis Panayotis. Un contexte géopolitique et social encore défavorable A l'avenir, si la situation se débloque, les touristes chinois devraient revenir en nombre. "Nos bureaux ont toujours continué à essayer de garder le lien avec le grand public chinois et avec les professionnels des tour-opérateurs. Cela porte ses fruits. On constate que, dans les intentions de voyage, la France est la première destination en Europe",indique l'opérateur de tourisme Atout France. Mais le travail est encore loin d'être achevé. "Il y a beaucoup de Chinois qui, avec le Covid, n'ont plus de papiers d'identité, de passeport, c'est un frein pour partir à l'étranger. Si on veut que les touristes reviennent, il va falloir aller les chercher", estime Patrick Vicériat, fondateur du cabinet Détente Consulting et président de l'Association francophone des experts et scientifiques du tourisme. Le secteur craint toutefois que le contexte géopolitique de la guerre en Ukraine, toujours présent dans la tête des touristes étrangers, et le climat social lié à la mobilisation contre la réforme des retraites ne jouent en sa défaveur. "Les manifestations sont très relayées à l'étranger, et pas de façon positive. J'ai échangé avec des patrons d'hôtels haut de gamme, ils sont victimes de multiples annulations le week-end. C'est complètement lié aux événements du pays", estime Franck Delvau, coprésident de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie Paris-Ile-de-France. La conjoncture touristique s'annonce toutefois radieuse pour la France dans les prochains mois avec la Coupe du monde de rugby et les Jeux olympiques. "En 2012, lors des JO de Londres, des millions de visiteurs avaient débarqué dans la capitale britannique. Cela a ensuite généré beaucoup de tourisme", rappelle Hamida Rezeg, de la région Ile-de-France. L'Association des châteaux de la Loire, avec ses 100 sites, compte bien capitaliser dessus. "Pour les hébergeurs haut de gamme, il va y avoir une opportunité de travailler avec les touristes qui souhaitent s'échapper de Paris. Au niveau de l'association, on fait un gros travail de digitalisation de nos offres, ce qui va dans le sens d'un meilleur accueil des touristes chinois", raconte Laurence Bizard Hamilton, sa présidente. Un rendez-vous qu'il ne faudra pas manquer pour le secteur. A condition que la contestation sociale ne gâche pas la fête. Lire la suite sur lexpress.fr

Dimanche 11 décembre 2022
13:37 -

Quand Jonny Wilkinson apprenait à Harry Kane à tirer... au-dessus !

"INTERNATIONAL - Drôle de clin d\u0027œil de l\u0027histoire : en 2018, la BBC (groupe de télévision publique anglaise) avait préparé la Coupe du monde de football en Russie avec un clip mêlant foot et rugby. L\u0027histoire : Harry Kane, buteur des Three Lions, s\u0027entraîne à frapper des penalties quand arrive soudain... Jonny Wilkinson. L\u0027occasion de quelques conseils sur \"comment devenir champion du monde\"..." Lire la suite sur rugbyrama.fr

Mercredi 06 avril 2022
07:26 -

Coupe du monde 2023 en France : Greenpeace appelle à renoncer au sponsor TotalEnergies

Coupe du monde 2023 en France : Greenpeace appelle à renoncer au sponsor TotalEnergies

GreenPeace interpelle Claude Atcher, directeur général de la Coupe du monde de rugby et demander à arrêter tout partenariat avec TotalEnergies, qui maintient ses activités en Russie. Lire la suite sur le figaro

06:00 -

Le nouveau plaquage de Greenpeace contre TotalEnergies, sponsor officiel de la Coupe du monde de rugby 2023

Le nouveau plaquage de Greenpeace contre TotalEnergies, sponsor officiel de la Coupe du monde de rugby 2023

Dans une lettre ouverte, l’association de défense de l’environnement reproche à l’entreprise de maintenir ses grands projets gaziers en Russie, un pays « dont le régime est coupable de crimes de guerre ». Lire la suite sur lemonde.fr

Mardi 15 mars 2022
19:54 -

Mourad Boudjellal dévoile son rêve : Voir un match France - Algérie au Vélodrome lors du Mondial 2023

Dans sa chronique "Mourad de Toulon" diffusée sur Rugbyrama, l'ancien président du Rugby Club Toulonnais, Mourad Boudjellal a évoqué le retrait de l'équipe de Russie des qualifications à la Coupe du monde de 2023. Il explique s'en foutre totalement puisque la Russie aurait de toute façon "mangé" lors de cette Coupe du monde. Extrait: "L'équipe ... Lire la suite sur blog-rct.com

Vendredi 11 mars 2022
00:17 -

Rugby : la Géorgie qualifiée pour la Coupe du monde 2023 après la disqualification de la Russie

Déclarés vainqueurs de leur match face aux Russes, les Géorgiens terminent en tête de leur groupe de qualification.  Lire la suite sur francetvinfo.fr

Jeudi 10 mars 2022
16:09 -

Coupe du monde 2023 : la suspension de la Russie qualifie la Géorgie

La Géorgie est qualifiée pour la Coupe du monde 2023 en France, en raison de la suspension de la Russie de toutes les compétitions internationales, a annoncé jeudi World Rugby. La Russie, comme le Belarus, a été suspendue de toutes les compétitions de rugby international à la suite de l’invasion russe de l’Ukraine. En conséquence, […] Lire la suite sur sport.fr

14:33 -

La Russie suspendue : La Géorgie qualifiée pour le Mondial de 2023 !

Ce jeudi, World Rugby a annoncé que la Géorgie était mathématiquement qualifiée pour la Coupe du monde de 2023 qui se jouera en France. C'est suite à la suspension de la Russie que la Géorgie profite directement de cette place qualificative pour le Mondial de 2023. Extrait: « La suspension de la Russie induit qu'elle ... Lire la suite sur blog-rct.com

14:03 -

La Géorgie qualifiée pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 après la suspension de la Russie

La Géorgie qualifiée pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 après la suspension de la Russie

Conséquences de la suspension de la Russie, la Géorgie est mathématiquement qualifiée pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 en France. Lire la suite sur lerugbynistere.fr

13:26 -

Rugby: la Géorgie qualifiée pour le Mondial 2023 après la suspension de la Russie

En raison de la suspension de la Russie de toutes les compétitions internationales, la Géorgie se retrouve qualifiée pour la Coupe du monde 2023 en France. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

13:15 -

La Géorgie en habituée

La Géorgie est devenue officiellement ce jeudi la quinzième nation qualifiée pour la Coupe du monde 2023 en France. Les Géorgiens, qui profitent des quatre points obtenus sur tapis vert après la suspension de la Russie et de la Biélorussie, disputeront leur sixième Mondial consécutif. Lire la suite sur sports.fr

13:11 -

Coupe du monde 2023 : La Géorgie officiellement qualifiée

La Géorgie est devenue officiellement ce jeudi la quinzième nation qualifiée pour la Coupe du monde 2023 en France. Les Géorgiens, qui profitent des quatre points obtenus sur tapis vert après la suspension de la Russie et de la Biélorussie, disputeront leur sixième Mondial consécutif. Cet article Coupe du monde 2023 : La Géorgie officiellement qualifiée est apparu en premier sur Rugby 365. Lire la suite sur rugby365.fr

12:42 -

Rugby - CM - La Russie écartée, la Géorgie qualifiée pour la Coupe du monde 2023

Rugby - CM - La Russie écartée, la Géorgie qualifiée pour la Coupe du monde 2023

Le conseil d'administration de la Coupe du monde ayant décidé ce jeudi que les matches de qualification impliquant la Russie seraient abandonnés, la Géorgie se retrouve qualifiée pour la Coupe du monde 2023. Lire la suite sur lequipe.fr

11:54 -

International : la 15ème nation qualifiée pour le Mondial 2023 est connue

International : la 15ème nation qualifiée pour le Mondial 2023 est connue

Elle bénéficie de l'exclusion de la Russie pour se qualifier directement pour la coupe du Monde 2023. Lire la suite sur quinzemondial.com

Mardi 01 mars 2022
10:13 -

Guerre en Ukraine : World Rugby suspend la Russie et le Bélarus "jusqu’à nouvel ordre"

Après le foot, le basket, le handball ou encore le hockey, la Russie est privée "jusqu'à nouvel ordre" par World Rugby de toutes les compétitions internationales sous son giron, alors que la Coupe du monde 2023 en France approche. Le Bélarus a également été suspendu. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

06:17 -

Guerre en Ukraine: la Russie et le Bélarus suspendus par World Rugby "jusqu'à nouvel ordre"

Après le foot, le basket, le handball ou encore le hockey, la Russie est privée "jusqu'à nouvel ordre" par World Rugby de toutes les compétitions internationales sous son giron, alors que la Coupe du monde 2023 en France approche. Le Bélarus a également été suspendu. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Lundi 24 mai 2021
21:06 -

Coupe du Monde : Trois gros prétendants pour 2027

Alors que l’Australie a récemment officialisé sa candidature et que la Russie est également intéressée, la course à l’organisation de la Coupe du Monde de rugby 2027 pourrait finalement se jouer à trois avec le Qatar qui serait prêt à entrer dans la danse. Lire la suite sur sports.fr

19:55 -

Coupe du Monde : L’Australie et la Russie pourraient être concurrencées par le Qatar pour 2027

Alors que l’Australie a récemment officialisé sa candidature et que la Russie est également intéressée, la course à l’organisation de la Coupe du Monde de rugby 2027 pourrait finalement se jouer à trois avec le Qatar qui serait prêt à entrer dans la danse. Cet article Lire la suite sur rugby365.fr

10:01 -

Mondial 2027 : l’Australie candidate, le Qatar y pense

Mondial 2027 : l’Australie candidate, le Qatar y pense

La Fédération australienne a confirmé jeudi dernier sa volonté d’organiser la Coupe du monde de rugby 2027. L’Australie, qui avait déjà organisé le Mondial 2023, devrait être en concurrence avec la Russie mais aussi... Lire la suite sur midi-olympique.fr

Jeudi 20 mai 2021
09:55 -

Coupe du Monde : La Fédération Australienne a lancé sa candidature pour 2027

Coupe du Monde : La Fédération Australienne a lancé sa candidature pour 2027

Alors que la Russie est également sur les rangs, la Fédération Australienne de rugby a confirmé être candidate à l'organisation de la Coupe du Monde de rugby en 2027. Lire la suite sur 24matins.fr

Lundi 08 mars 2021
15:15 -

Rugby - Coupe du monde 2023 - La Russie fait son entrée dans le Top 20 mondial au détriment du Portugal

La première journée du Rugby Europe Championship 2021, comptant également pour les qualifications pour la Coupe du monde 2023, a vu la Russie venir... Lire la suite sur sport24

Vendredi 05 mars 2021
14:50 -

Rugby - Coupe du monde 2023 - Russie-Roumanie lancera ce samedi les qualifications à la Coupe du monde 2023

Ce samedi 6 mars 2021 débute le processus de qualification pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 en France. Pour le Mondial 2019 au Japon, il avait... Lire la suite sur sport24

Mercredi 29 juillet 2020
09:16 -

La Russie candidate pour 2027, Veredamu à Clermont... Les 5 infos de ce mardi

"La Russie officiellement candidate à l'organisation de la Coupe du monde 2027, l'international français à 7 Tavite Veredamu signe à Clermont, un espoir du rugby écossais rejoint les Harlequins... Voici les 5 infos de ce mardi 28 juillet." Lire la suite sur rugbyrama.fr