Angleterre

Mercredi 17 avril 2024
23:22 -

Les magnifiques propos de David Ribbans : "Dès que j'enfile un maillot, je veux que l'adversaire comprenne qu'il aura mal à chaque plaquage"

Arrivé au Rugby Club Toulonnais à l'issue de la Coupe du monde avec l'Angleterre, le deuxième ligne international Anglais David Ribbans a tout de suite convaincu le staff Toulonnais mais également les supporters. Interrogé via Var-matin, le puissant joueur du RCT tente d'expliquer pourquoi, contrairement à d'autres recrues, il a rapidement réussi à s'adapter à ... Lire la suite sur blog-rct.com

Mardi 16 avril 2024
17:08 -

L'attente est interminable pour Josua Tuisova : Il pourrait être privé de compétition pendant encore 1 mois !

L'ailier ou centre international Fidjien Josua Tuisova s'était gravement blessé durant la Coupe du monde de rugby. Victime d'une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche à la suite d'un plaquage dangereux du troisième-ligne ligne anglais Tom Curry, le surpuissant joueur Fidjien avait dû se faire opérer. Celui qui venait de s'engager en faveur ... Lire la suite sur blog-rct.com

Mardi 09 avril 2024
20:26 -

Les présidents du Top 14 seraient très favorables à la Coupe du monde des clubs !

L'idée d'une Coupe du monde des clubs de rugby, évoquée par la presse anglaise, est plutôt d'ordre à plaire aux formations du Top 14, qui préféreraient même que la compétition voie le jour plus tôt que prévu. Une petite révolution dans le monde du rugby. Selon la presse anglaise, le projet d'une Coupe du monde des ... Lire la suite sur blog-rct.com

19:29 -

Rugby : une Coupe du monde des clubs devrait voir le jour en 2028

Un accord de principe est annoncé par la presse anglaise entre les principaux championnats de rugby afin de créer une Coupe du monde des clubs. Lire la suite sur dailysports.fr

19:05 -

Une Coupe du monde des clubs en rugby? Le Top 14 est plutôt pour

L'idée d'une Coupe du monde des clubs de rugby, évoquée par la presse anglaise, est plutôt d'ordre à plaire aux formations du Top 14, qui préféreraient même que la compétition voie le jour plus tôt que prévu. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

17:39 -

International – Ce que changerait dans le calendrier la Coupe du monde des clubs, qui devrait voir le jour en 2028

D’après la presse anglaise, les principaux championnats du monde du rugby ont trouvé un accord de principe pour la Coupe du monde des clubs. Elle concernerait huit équipes européennes et la première édition pourrait... Lire la suite sur rugbyrama.fr

12:25 -

Le calendrier du Top 14 va être bouleversé, la Champions Cup n'aura pas de vainqueur une fois tous les quatre ans : Explications !

La presse anglaise annonce un accord de principe entre les principaux championnats de rugby autour de la création d'une Coupe du monde des clubs. Si le format reste à peaufiner, et notamment les participants, cette nouvelle compétition serait jouée tous les quatre ans pendant le mois de juin et débuterait en 2028. Après l'arrivée des ... Lire la suite sur blog-rct.com

10:23 -

Rugby : vers une première Coupe du monde des clubs en juin 2028

Selon les médias anglais, un accord de principe a été trouvé. Le calendrier domestique sera bouleversé tous les quatre ans pour laisser la place à cette nouvelle compétition. Lire la suite sur le figaro

Lundi 08 avril 2024
23:52 -

Rugby : vers une Coupe du monde des clubs à partir de 2028

Selon la presse anglaise, un accord aurait été trouvé entre les principales ligues du rugby international pour la création d’un Mondial des clubs. La compétition aurait lieu tous les quatre ans au mois de juin, à partir de 2028. Lire la suite sur leparisien.fr

22:55 -

Rugby: vers une première Coupe du monde des clubs en 2028

La presse anglaise annonce un accord de principe entre les principaux championnats de rugby autour de la création d'une Coupe du monde des clubs. Si le format reste à peaufiner, et notamment les participants, cette nouvelle compétition serait jouée tous les quatre ans pendant le mois de juin et débuterait en 2028. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Jeudi 04 avril 2024
19:57 -

Scientologie et JO : Tom Cruise, tracts, bus... Les dessous de l'inauguration du siège à Saint-Denis

Des vans défilent. Un noir, puis un blanc. A tour de rôle, les véhicules s'engouffrent dans les entrailles du nouveau siège de la Scientologie en France. A leur bord : des adeptes, seuls ou en famille. Ce polygone de 7 000 m² de verre, fraîchement rénové à Saint-Denis, à deux pas du Stade de France, n'a encore pas ouvert, que déjà les invités s'y bousculent. Privilège des "ministres", le nom donné à ceux qui dirigent les offices scientologues. En cette journée de mars, les rendez-vous s'enchaînent. Sur le parking, à l'arrière, des ouvriers nettoient, enduisent, découpent. Le lieu, une nouvelle église, le troisième espace dédié à la scientologie en Ile-de-France, doit être inauguré dans les semaines à venir. Un moment charnière, l'apogée des efforts d'"expansion" de l'organisation dans l'Hexagone, dit-elle dans ses communiqués. Le jardinier qui peaufine la devanture, la vingtaine, ne parle qu'anglais. Il aime les pelouses à ras, comme ses cheveux. Au-dessus de lui, des lettres pendent, recouvertes de plastique noire. A la nuit tombée, quand les derniers préparatifs seront terminés, elles scintilleront, comme les enseignes des grandes entreprises d'à côté. On pourra y lire : "Eglise de Scientologie", depuis la rue, de l'autoroute A1, toute proche, ou en allant au stade à pied, pour un match ou pour les Jeux olympiques. Le directeur, Tom Cruise et des "bus affrétés" Avec son centre aquatique construit pour l'événement planétaire, le quartier promet d'être un des cœurs battants de la compétition, et tout en même temps le poumon de la scientologie française. Rien d'étonnant : Euro de football en 2016, épreuves de surf à Lacanau (Gironde)… Les adeptes ont pris l'habitude d'écumer les compétitions sportives pour se faire connaître, recruter, et récolter des dons. Ils étaient là, le 5 novembre dernier, soir de finale de la Coupe du monde de rugby. "Dès qu'il y a un rassemblement, ils viennent avec des gilets fluo", décrit Daniel Sisco, président de l'ADFI-Paris, association qui défend les victimes de sectes. À trois mois des Jeux olympiques, l'organisation soigne sa cérémonie d'ouverture. Selon nos informations, son directeur David Miscavige doit s'y rendre. Tom Cruise aussi. L'acteur est l'un des plus fiers représentants de l'organisation. "Il y a forcément du monde et des célébrités, quitte à affréter des bus. Une inauguration, c'est une démonstration de force", relève Lucas Le Gall, ancien haut gradé scientologue qui officiait aux Etats-Unis et auteur de Un milliard d'années (Cherche midi, 2020). La date ? Elle est désormais connue : ce sera le 6 avril, à en croire les échanges de L'Express avec ses membres. L'organisation a tellement invité qu'elle a dû déposer des demandes d'occupation de voirie à la préfecture de Seine-Saint-Denis, a-t-on appris. La fête risque de déborder sur la rue, où siègent, pêle-mêle, plusieurs agences d'intérim, une division du fisc, et la rédaction du quotidien 20 Minutes. Autant de flirts potentiels. Depuis la mise en examen par la justice française de plusieurs de ses membres en 2022, pour des faits de "complicité de banqueroute" et d'"abus de biens sociaux", l'Église de Scientologie fait l'objet d'accusations de "noyautage". Des membres qui se font rares Aussi reluisant soit-il, l'édification de ce nouveau lieu de culte relève plutôt du baroud d'honneur. Depuis sa condamnation en 2012 pour escroquerie, l'organisation américaine étouffe dans l'Hexagone, où elle n'a jamais réussi à recruter les stars qui ont fait son succès Outre-Atlantique. Officiellement, elle dit compter 40 000 membres français. En 2005, une commission d'enquête parlementaire avançait le chiffre de 2 000. "Cela se résume à quelques centaines désormais", croit savoir Lucas Le Gall, aujourd'hui en rupture de ban avec l'organisation. Sur Internet, une liste circule, sans qu'on connaisse exactement sa provenance. Datant de 2015, elle recense tous les Français dont les liens sont avérés. Il y en a moins de 400. Ces difficultés de recrutement s'ajoutent à la réponse des autorités françaises. Contrairement aux Pays-Bas, ou à la Grèce, des pays qui ont reconnu récemment l'organisation comme un culte à part entière, la France ne lui accorde qu'un statut d'association, ce qui de fait, limite son champ d'action. Selon nos informations, plusieurs demandes ont encore été déposées en 2023, pour obtenir le statut de religion. Sans succès. "Ils essayent un peu partout, mais ils n'ont aucune chance", souffle un agent de préfecture chargé de ces questions. Reste qu'elle n'est, en l'état, ni totalement morte, ni interdite. Ce qui limite les recours. En 2019, la mairie de Saint-Denis a tenté de s'opposer à l'achat du site de la nouvelle église. Sans succès, faute de motif suffisant. Depuis, les scientologues investissent les environs à pas de loup. "Ils ont demandé pour déposer des tracts, puis on ne les a jamais revus", raconte un restaurateur, non loin. Des gens "pas méchants, mais très aériens", dit-il, en vissant son torchon dans une tasse. Plusieurs passants s'étonnent : "ah bon, la scientologie, ici, chez nous ?". "On est vigilant", rétorque la Maison des Associations, alertée par les pouvoirs publics. Une discrète installation Certains voisins bien informés s'agacent sur les réseaux sociaux, lorsqu'ils reçoivent des tracts dans leur boîte aux lettres. Ils postent un message lorsqu'ils repèrent les associations liées, comme "Non à la drogue", et du "Chemin du bonheur", des structures qui rabattent en militant contre les stupéfiants et pour l'apaisement des quartiers populaires. Pas de logo, ni de références explicites, mais à chaque fois, des louages à Ron Hubbard, le fondateur du mouvement, et des publications sur le site officiel. Selon un décompte de L'Express à partir des communiqués de la scientologie, la majorité des actions de ces deux collectifs se déroulent désormais à Saint-Denis, ou aux alentours. 11 février 2024 : 1 300 livrets distribués, devant les commerces. 4 février, 1 000, en bas des logements étudiants. 17 décembre 2023, 700, sans compter les cadeaux et les friandises, données à l'orée d'une cité. 19 juillet. Opération "Message de paix", à la gare RER, suite aux émeutes liées à la mort du jeune Nahel à Nanterre. 10 juin : Nettoyage dans les rues. Le reste ? A Paris, Marseille ou Lyon, pour la plupart. La scientologie organise aussi régulièrement des manifestations. Comme à Grenoble, où ses adeptes avaient fait le pied de grue en juillet 2023 devant le Congrès de psychiatrie et de neurologie de langue française. Parfois, la presse ignore à qui elle a affaire, et relaie sans recul. "Le groupe a recours à un organisme distinct de l'Eglise de Scientologie mais entièrement contrôlé par cette dernière : la Commission des citoyens pour les droits de l'homme", précise la Mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), dans son dernier rapport. Elle qualifie ces mobilisations d'"opérations de déstabilisation". La bataille judiciaire En 2023, plus d'une dizaine d'hôpitaux ont aussi été assignés en justice par la scientologie. Si l'anonymat des patients est préservé, la loi permet d'obtenir à la demande certains documents administratifs. Montreuil, Mayenne, Morlaix, Faye-l'Abbesse, Le Mans… Les scientologues réclament le décompte des internements. La preuve que la psychiatrie est violente, selon eux. Mieux vaudrait les tests, les préceptes de "développement personnel", les séances de plusieurs heures de sauna, les cures de vitamines par sauts proposés par ses partisans, pour se "libérer". Toutes sont payantes. C'est, selon les services de l'Etat, l'ensemble de l'administration française qui est en réalité visée par les procès. Jusqu'à la presse, les particuliers. La scientologie attaque en justice, dès qu'elle est qualifiée de "secte", dès qu'elle est accusée d'"emprise", ou d'extorquer les fonds de ceux qui y croient. Avec 1 milliard de dollars de liquidité, selon les témoignages d'anciens endoctrinés, ses fonds judiciaires sont quasiment illimités. Le bâtiment à Saint-Denis, son auditorium de 700 places, des salles d'études et de rencontres, le tout à 33 millions d'euros ? Une broutille, à en croire ces sources. Mais un lieu qu'elle espère stratégique pour recruter. Lire la suite sur lexpress.fr

Mercredi 03 avril 2024
19:59 -

Top 14 : blessé depuis la Coupe du monde, Tuisova a repris l'entraînement collectif avec le Racing 92

Recrue phare du club francilien, le centre fidjien avait été touché aux ligaments croisés contre l'Angleterre en quarts de finale du dernier Mondial. Lire la suite sur le figaro

Mercredi 27 mars 2024
16:36 -

Stade Rochelais. Uini Atonio : « Je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas faire deux ou trois ans de plus »

Auteur d'un match très solide face à l'Angleterre, le pilier droit rochelais Uini Atonio (34 ans, 62 sélections) se projette un peu plus vers la prochaine Coupe du monde Lire la suite sur sudouest.fr

15:10 -

"Des putains de menteurs !" : le discours musclé d'Erasmus lors d'Angleterre-Afrique du Sud

RUGBY. Le documentaire sur la campagne des Springboks à la Coupe du monde de rugby 2023 poursuivant sa diffusion, on découvre le discours d'Erasmus lors la de la demi-finale. Lire la suite sur actu.fr

10:35 -

Zach Mercer vers le RC Toulon ? Bernard Lemaître fait le point !

Ces derniers jours, une rumeur circule sur les bords de la Rade. Celle-ci laisse entendre que les dirigeants du Rugby Club Toulonnais rêveraient de recruter le troisième ligne international Anglais Zach Mercer, lequel a récemment évolué du côté de Montpellier avant de rejoindre Gloucester dans le but de disputer la Coupe du monde avec le ... Lire la suite sur blog-rct.com

Mardi 26 mars 2024
04:35 -

Le Top 14 dépouille l'Angleterre, voilà pourquoi !

Le Top 14 dépouille l'Angleterre, voilà pourquoi !

Il est assez habituel de voir des stars étrangères signer en Top 14, surtout lors des saisons post-Coupe du monde. Mais cette fois le phénomène du côté anglais est d'une ampleur assez inattendue, avec Billy Vunipola et Manu Tuilagi qui ne sont que les derniers d'une très longue liste de nouvelles… Lire la suite sur le10sport.com

01:04 -

Danny Care annonce la fin de sa carrière internationale !

Ce lundi, le demi-de-mêlée international Anglais Danny Care a annoncé qu'il mettait un terme à sa carrière internationale. Le joueur de 37 ans compte 101 sélections avec le XV de la Rose. Après les retraites de Courtney Lawes, Ben Youngs et Jonny May après la Coupe du monde, c'est au tour de Danny Care de ... Lire la suite sur blog-rct.com

Samedi 23 mars 2024
20:32 -

France 38-17 -Irlande (F) : "On a envie de remplir les stades", Mignot savoure le succès et l'affluence des Bleues

Portées par un public venu en nombre au Mans, les Bleues se sont imposées 38 à 17 face à l'Irlande en ouverture du Tournoi des VI Nations. Une victoire plus étriquée que les années passées : "le niveau se resserre", a apprécié le co-entraîneur David Ortiz. " "Les 55.000 à Twickenham, ce sont pas que les Anglaises. On veut donner envie aux gens de traverser la Manche l'année prochaine pour nous soutenir à la Coupe du monde", a complété sa consœur sur le banc, Gaëlle Mignot. Lire la suite sur rmcsport.bfmtv.com

Mercredi 20 mars 2024
21:53 -

Farrell ne ferme pas la porte à un éventuel retour international

« Je n’ai rien dit, je ne sais pas », a déclaré le demi d’ouverture Owen Farrell, qui a décidé de faire une pause avec l’équipe d’Angleterre de rugby pour se ressourcer mentalement après la Coupe du monde 2023, interrogé mercredi sur ... Lire la suite sur vibrez-rugby.com

19:29 -

XV de France : ce qu'a dit Fabien Galthié au Centre national du rugby

Lecture zen Fabien Galthié garde le cap et ses ambitions. - AFPMaintien des joueurs expérimentés, élimination en quarts de finale de la Coupe du monde 2023 dans l'Hexagone : quelques jours après un Tournoi des Six nations laborieux, le sélectionneur du XV de France, Fabien Galthié, a défendu sa stratégie, mercredi, lors d'une conférence de presse donnée à Marcoussis (Essonne), cadre du Centre national du rugby (CNR). « On a le potentiel, les joueurs, le talent pour rivaliser avec les meilleurs », a assuré le technicien, malgré l'impression mitigée laissée par la France, 2e du Tournoi, qui a certes fini sur une bonne note contre l'Angleterre (33-31) à Lyon mais avait été balayée par l'Irlande (17-38) à Marseille en ouverture et piteusement accrochée par l'Italie (13-13) à Lille. Il a notamment insisté sur le traumatisme de la douloureuse défaite au Mondial devant les Sud-Africains (28-29) à Saint-Denis, pas digérée par ses joueurs au moment d'entamer le Six nations, pour expliquer son choix de reconduire la majorité de ses cadres plutôt que d'apporter du sang neuf, comme il l'a fait en fin de compétition. « Comment expliquer à des joueurs qui ont perdu un match sur du contenu sportif mais aussi sur des décisions arbitrales qu'ils ont perdu leur place ? », s'est interrogé celui qui a, au passage, confié avoir échangé avec Ben O'Keeffe, l'arbitre néo-zélandais de cette rencontre face aux Springboks, « pas du tout satisfait de sa performance ». Le coach a cependant reconnu « des signaux faibles » qui auraient pu l'alerter, lui et l'encadrement, indiquant avoir retrouvé des joueurs rincés physiquement par l'enchaînement des matches et mentalement par cet échec en quarts. « Je vais citer Thomas Ramos : ‘Quand on a vu les images (du quart de finale), ça nous a fait mal.' », a rapporté Galthié, qui a estimé que « les joueurs n'avaient pas fait ce travail d'acceptation, de dépassement, de digestion comme le staff a pu le faire ». Pour effacer les doutes de ses joueurs, l'entraîneur a choisi de les protéger. « Souvent, quand je perdais, je me disais que c'était la dernière fois que je mettais le maillot de l'équipe de France », se souvient l'ancien demi de mêlée international, qui a donc choisi de leur renouveler sa confiance. « Les joueurs n'ont pas fait ce travail d'acceptation, de dépassement, de digestion comme le staff a pu le faire » Fabien Galthié Pas question non plus de se passer de ses cadres, y compris ceux déjà trentenaires, comme le pilier droit Uini Atonio ou encore le deuxième ligne Romain Taofifenua. « Ça serait dommage que l'âge soit un critère éliminatoire », a t-il déclaré, répétant que « notre ambition est d'amener quasiment la totalité de cet effectif en capacité de jouer la Coupe du monde 2027 ». Pour cela, il y aura cependant « un travail de fond à mener avec eux et leurs clubs », pour éviter que les cadences infernales du Top 14 et de la Champions Cup n'usent trop les joueurs. Un chantier qui sera au programme des prochai Lire la suite sur lunion.fr

Mardi 19 mars 2024
12:00 -

Thibaud Flament au Figaro : «J'ai trouvé les critiques sur le XV de France précipitées»

Rappelé pour les deux derniers matchs du Tournoi, le deuxième-ligne toulousain raconte comment les Bleus se sont remis sur la bonne voie. Et assure que la victoire contre l'Angleterre solde l'échec de la Coupe du monde. Lire la suite sur lefigaro.fr

Dimanche 17 mars 2024
20:57 -

France - Angleterre. François Cros (XV de France) : "On a tiré les leçons du quart de finale de la Coupe du monde"

Une nouvelle fois débordant d'activité et irréprochable dans le combat face à l'Angleterre, le troisième ligne du Stade toulousain a apprécié le caractère affiché par son équipe tout au long de la compétition et en... Lire la suite sur rugbyrama.fr

18:43 -

XV de France : les points positifs et négatifs du Tournoi des six nations

ANALYSE - Sonnés par leur échec en Coupe du monde et encore convalescents, les Bleus semblent sur la voie de la guérison. Leur succès arraché face aux Anglais constitue le meilleur remède. Lire la suite sur lefigaro.fr

15:31 -

6 Nations 2024 - L'Angleterre accomplit sa belle révolution malgré la défaite face au XV de France

Troisième de la dernière Coupe du monde mais jusqu’ici assise sur un fond de jeu erratique, l’équipe d’Angleterre, certes battue sur le gong par les Bleus, est en passe d’accomplir sa métamorphose. Lire la suite sur rugbyrama.fr

14:41 -

Six nations : le « Tournoi d'enfer » du XV de France

Lecture zen L'ailier Louis Bielle-Biarrey et l'arrière Léo Barré se congratulent au terme du France – Angleterre victorieux de samedi à Lyon, rendez-vous attendu qui concluait cette édition 2024. - AFPUne victoire et un classement en trompe-l'œil : celle arrachée samedi soir à Décines-Charpieu (Lyon) au détriment de l'Angleterre (33-31), synonyme de deuxième position à l'arrivée dans le Tournoi des Six nations, ne saurait occulter les nombreuses scories, notamment défensives, du XV de France. Sur le papier, le bilan est plutôt positif : deuxième place derrière l'Irlande lauréate – la quatrième en cinq ans –, deuxième attaque, Thomas Ramos meilleur réalisateur (63 points)… Mais ces chiffres cachent la réalité d'une édition 2024 laborieuse, commencée par une déroute face au XV du Trèfle (17-38) à Marseille et pas vraiment rattrapée par le succès heureux sur l'Écosse (20-16) à Édimbourg et le nul piteux devant l'Italie (13-13) à Villeneuve-d'Ascq (Lille). Les deux résultats contre le Pays de Galles (45-24) à Cardiff et le XV de la Rose sauvent un peu l'ensemble. « On a vécu un Tournoi d'enfer, au sens propre et au sens figuré. Sans répit, tout le temps brûlant, tout le temps sur la brèche. On était parfois sur la cime, parfois sur la tranche… Il fallait être solide. Et les joueurs l'ont été », dixit l'entraîneur national. Les adversaires de la France ont aplati à quatorze reprises à eux cinq, le pire total depuis le début du mandat du sélectionneur Près de six mois après le quart de finale de Coupe du monde dans l'Hexagone perdu face à l'Afrique du Sud (28-29), le 6 octobre 2023 à Saint-Denis, la France n'a pas encore complètement digéré la déception engendrée par cette sortie de route prématurée. Au Groupama Stadium, lieu de la précédente partie gagnée à domicile (60-7 contre l'Italie), le 6 octobre, les hommes de Fabien Galthié ont vécu un condensé de leur Tournoi-2024 : ils ont, tour à tour, été enthousiasmants puis assommants, consistants puis creux, fébriles puis impressionnants de caractère. « On a eu des hauts et des bas mais on est tous restés ensemble. (…) On est passés par pas mal d'états durant ce Tournoi et ça va nous faire grandir en tant que joueurs mais aussi en tant qu'équipe. On a connu des moments pas faciles, ça va nous servir », a résumé l'ailier Louis Bielle-Biarrey. « Il y a eu une remise en question de tout le monde. On ne s'est pas reconnus sur le premier match. On se devait de réagir. On a été touchés dans notre orgueil, dans notre ego », a estimé de son côté le troisième ligne François Cros. Sans Dupont, Ntamack ni Jelonch Malgré le trou d'air traditionnel, sanctionné par trois essais anglais et un 0-21 sec infligé en l'espace de six minutes, les Français ont gardé le meilleur pour la fin, s'imposant au forceps sur une pénalité salvatrice de Ramos (80e). Cette « force de caractère » pour tenir et revenir, vantée par le troisième ligne et capitaine Grégory Alldritt, a donc permis aux siens d'aller chercher un bon cl Lire la suite sur lest-eclair.fr

10:15 -

XV de France : quand reverra-t-on jouer les Bleus, maintenant que le Tournoi des 6 Nations 2024 est terminé

Après leur victoire face à l'Angleterre ce samedi à Lyon (33-31), les Bleus terminent à la deuxième place d'un Tournoi 2024 qui avait bien mal débuté, quelques mois seulement après la désillusion de la Coupe du monde.... Lire la suite sur ladepeche.fr

08:20 -

Fabien Galthié après la victoire du XV de France contre l'Angleterre : « Sauf qu'à la fin, on gagne »

Après la victoire arrachée contre l'Angleterre (33-31), le sélectionneur des Bleus s'est réjoui de ce deuxième succès consécutif, le seul à domicile dans le Tournoi, et reconnu que ce match lui avait rappelé le quart de finale de la Coupe du monde face à l'Afrique du Sud. Lire la suite sur lequipe.fr

06:03 -

France-Angleterre. "Le scénario rappelle celui du quart de finale" : les Bleus face à leurs démons

RUGBY. Vainqueur de justesse contre l'Angleterre pour son dernier match du Tournoi des 6 Nations 2024, le XV de France a définitivement tourné la page de la Coupe du monde. Lire la suite sur actu.fr

00:45 -

Galthié : «On est passés par tous les états d'âme» - Rugby - Tournoi

Après la victoire arrachée contre l'Angleterre (33-31), le sélectionneur des Bleus Fabien Galthié s'est réjoui de ce deuxième succès d'affilée et reconnu que ce match lui avait rappelé le quart de finale de la Coupe du monde face à l'Afrique du Sud. - sports.orange.fr Lire la suite sur sport.orange.fr

00:28 -

Rugby : les Bleus achèvent le Tournoi des Six nations sur une note positive

Lecture zen La botte de l'ouvreur Thomas Ramos, auteur de dix-huit points sur les trente-trois marqués par son équipe, a permis aux Bleus d'arracher un succès symbolique. - AFPAu moment d'entrer sur la pelouse du Groupama Stadium à Décines-Charpieu (Rhône) face à l'Angleterre, samedi soir dans la banlieue de Lyon, le XV de France, qui devait l'emporter de justesse (33-31) et terminer 2e du Tournoi des Six nations 2024 derrière l'Irlande, avait déjà pris connaissance de la victoire du XV du Trèfle devant l'Écosse (17-13) à Dublin, un résultat synonyme de sixième succès dans la compétition depuis 2000 – et de deuxième sacre de suite – et le passage à 6. C'est la première fois depuis le doublé du XV de la Rose en 2016 et 2017 qu'un pays conserve son titre. Malgré tout, les hommes de Fabien Galthié ont donc rempli leur part du contrat, dominant les Anglais pour s'offrir la deuxième place pour la quatrième fois sous le mandat du sélectionneur. Un bilan positif qui ne saurait occulter les débuts laborieux des Français, marqués par un lourd revers contre les Irlandais (17-38) à Marseille. La suite n'a pas été beaucoup plus heureuse, avec une victoire un brin chanceuse sur l'Écosse (20-16) suivie d'un nul piteux avec l'Italie (13-13) à Villeneuve-d'Ascq. Les Bleus ont fini par relever la tête face au Pays de Galles (45-24) à Cardiff, avant de conclure en beauté. Il s'agit de la première victoire à domicile depuis la dérouillée infligée aux Italiens en phase de poules du Mondial disputé sur le sol français, le 6 octobre 2023 Dans la capitale des Gaules, la France, bien en place, a pu compter sur des essais du jeune demi de mêlée Nolann Le Garrec (20e), de l'arrière Léo Barré (56e) et du centre Gaël Fickou (60e) pour faire la différence. La terrible désillusion de la Coupe du monde 2023 dans l'Hexagone, achevée au stade des quarts de finale (28-29) devant l'Afrique du Sud, future lauréate aux dépens de la Nouvelle-Zélande (12-11), ne semble pas totalement digérée, et ce succès étriqué au détriment de l'Angleterre a d'ailleurs été un résumé de son Tournoi : du bon et du franchement moins bon, en particulier des absences coupables, notamment en défense, et des actions offensives de classe. Si les coéquipiers de Grégory Alldritt ont joué avec le feu, ils ont également su se redresser alors qu'ils semblaient acculés et incapables de réagir. D'autant que, pour une fois, le banc, à commencer par le talonneur remplaçant Peato Mauvaka, a apporté sa pierre à l'édifice. Le demi d'ouverture Thomas Ramos s'est aussi signalé en finissant meilleur réalisateur de l'épreuve devant l'Écossais Finn Russell avec un total de 63 points, dont 18 contre les Anglais. Il avait déjà signé un tel exploit l'an passé, inscrivant alors 84 pts. Mais tout cela est resté secondaire puisque l'Irlande a poursuivi sa marche inexorable vers son vingt-quatrième couronnement, histoire de fêter la Saint-Patrick avec un jour d'avance. Les Français, eux, ont remporté leur première rencont Lire la suite sur lest-eclair.fr